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08/04/2006

DEVENONS LIBRE

DEVENONS LIBRE

 

 

Nous voyons poindre de-ci de-là des messages qui tentent de parler de déconnection. Cela devrait tous nous réjouir. Certain doivent peut être voir en cela quelque tentative de déstabilisation et d’égarement malveillant, mais il n’en est rien. A leur place (celle des maîtres ascensionnés) j’aurais sûrement commencé par là, mais en y regardant de plus près je pense qu’ils ne pouvaient pas faire autrement compte tenue de ce besoin qu’a cette humanité à se sentir soutenue au travers d’une certaine dépendance d’avec des êtres qu’elle sait être au-dessus d’elle, en oubliant le plus naturellement du monde que le divin ne peut faire pour chacun que ce qu’il peut faire par chacun, et c’est ce « par chacun » qui coince et semble passer inaperçu mais n’en demeure pas moins fondamental. L’on nous a proposé des techniques, des connections avec des forces, des rayons de toutes les couleurs, etc… Qu’en avons-nous retiré, sinon peut être le fait de ressentir, au mieux, quelques sensations, mais honnêtement, pouvaient vous affirmer avoir progressé dans la voie de la maîtrise ?  Ils nous ont, et je pense que c’était là le but poursuivi, ouvert à une certaine réalité, ou plus exactement au « paysage » de notre réalité. Dans ce paysage il nous reste maintenant à y trouver notre propre demeure, nous-même.

Il est une évidence, celle qui consiste à se défaire impérativement de cette fausse idée qui consisterait à croire que nous pouvons nous retrouver en essayant de rassembler les pièces d’un certain pulzze ; en effet les partie ne rendront jamais compte du tout. Il nous faut repartir du point « zéro », celui dans lequel nous sommes Dieu, dieu avant qu’il y ait quelque création que ce soit, dieu avant même qu’il ne veuille connaître et ensuite comprendre tout ce qu’il est, car le but du jeu est bien là.

 

 

 

Voici quelques phrases essayant de donner une idée de ce que peuvent être les relations éternelles entre Dieu, le dieu que nous sommes et l’humain que nous sommes sensés être, conformément à sa pensée divine.

 

Dieu pense, dieu se pense ; qu’il stope ce processus il nous nous retrouverions immédiatement Êtant Dieu Lui-Même.

 

L’Homme est la forme idéale de la pensée de Dieu et Dieu est l’idéal de la pensée de l’homme.

 

Dieu prend forme par la conscience et la conscience est l’Homme.

 

Nous ne pouvons prendre contact qu’avec ce dont nous aurons préalablement pris conscience.

Partant de cette réalité nous pouvons facilement en déduire que le contact avec Nous-Même ne peut être effectif qu’à condition d’avoir pris conscience de la forme idéale qui est la nôtre. Cette forme idéale n’est-elle pas notre loi de manifestation de notre divinité au sein même de notre expérience ? N’est-elle pas Christ ; non pas le christ Jésus mais la loi qui gouverne toute Vie ? Alors avant de projeter vers l’extérieur l’expérience harmonieuse de la Joie n’est-il pas alors indispensable d’être cette forme d’Être idéale, d’être l’Homme-christ ? Avant de manifester quoi que se soit dans l’expérience de la Vie ne faut-il pas un préalable celui de s’assurer que nous sommes bien cela, non pas mentalement mais bel et bien en réalité énergétique, une énergie qualifiée ? Pour ce faire ne faut-il pas poursuivre le but divin que nous nous étions donné afin de faire l’expérience de tout ce que nous sommes, le poursuivre en le reprenant là même où nous l’avions laissé avant de devenir amnésique ?

 

L’amour que l’humain porte à Dieu ou aux autres ne le maintient connecté qu’à la matrice de l’inconscient collectif et le maintient dans les enfers, quant à l’Amour que Dieu porte à Dieu est le seul et véritable Amour ouvrant les portes du paradis. La connaissance par le moyen de l’Amour devient alors l’accomplissement.

Une toute petite minorité de cette humanité commence à concevoir parfaitement que la clé qui ouvre les portes de notre paradis ici sur cette planète réside dans la plus grande des forces qui soit, celle de l’Amour. Mais il est bien clair que la nature même de cette force échappe encore à la conscience de cette humanité en phase d’ascension. Compte tenue de ce qui précède nous comprenons bien qu’il nous faut, afin de prendre réellement contact avec elle et l’incorporer, prendre préalablement conscience de sa vraie nature. Cet Amour n’est pas en soi une certaine émotion, une certaine sensation de bonheur, ne cantonner cette force sublime qu’à ces aspects ne reviendrait qu’à ce que nos corps ne soient que notre unique réalité ; bon, je sais, c’est bien là la seule réalité dans laquelle est enfermée la très grande majorité de cette humanité qui s’éveille. Laissons-nous nous imaginer, en tant que Dieu, et voyons ce que peut signifier pour nous s’aimer et voir en découler toutes les conséquences.

 

En fait il nous ait demandé de manifester cet Amour en une forme Humaine et non humaine, nous même et non avec l’aide de quoi que ce soit et qui que ce soit, quoi que situés hors de notre portée conceptuelle mais quoi qu’on en dise ne seront tout de même qu’extérieurs à nous-même, même si au fond elles font partie de nous.

Notre propre loi christique sait parfaitement ce qu’il faut faire pour faire de nous tous des Humain-christ, sans pour autant savoir quoi que ce soit sur les techniques, les rayons, etc…

Prenons conscience que nous sommes cette réalité, toutes ces qualités et vertus divines DEJA accomplies et comme les mains du potier projetons cette pensée Humaine dans la glaise cosmique qui la REALISERA dans l’ordre divin et ce sans se prendre la tête de savoir comment.

 

A la question : « Ne faudrait-il pas en fin de compte devoir in fine se déconnecter aussi du libre-arbitre ? »

 

Se déconnecter du libre arbitre, voilà bien là peut être le dernier qui nous retiendrait encore en arrière lorsque nous progressons vers Nous-Même. Qui dit libre arbitre dit aussi choix, des choix que nous serions sans cesse entrain de faire à chaque instant. Dire, en tant qu’humain, il est bien mieux pour moi de faire ceci plutôt que cela, ou pire encore devoir faire ces choix non seulement pour soi mais pour les autres et surtout pour le bien des autres, c’est se montrer bien ignorant de la loi qui gouverne la Vie. Agir ainsi c’est conditionner l’Amour que nous sommes sensés exprimer dans l’expérience.

Le choix le plus parfait, le plus sublime qui puisse exister pour soi à chacune de nos respirations n’est- il pas déjà totalement accompli en Christ, l’Amour divin fait Homme ? Si cela s’avère vrai pour l’Homme-Dieu cela n’est-il pas tout aussi vrai pour celui là même qui ici est incarné, celui que nous sommes, ou que nous devrions être ?

Dans l’action il devient bien évident que ce n’est pas l’humain qui ici doit agir mais celui là même qui devrait être là à notre place.

Agir ainsi c’est permettre à l’infinité des occurrences célestes de trouver celle qui ici doit se réaliser et correspondre parfaitement, idéalement, à ce qui peut être extériorisé, aujourd’hui, en fonction de notre hauteur de conscience et en harmonie parfaite par rapport aux autres, à l’ensemble de l’humanité et avec l’univers manifesté.

La solution idéale demeure en christ, notre loi d’expression de l’Amour que nous sommes, et non en notre mental inférieur. Le « libre arbitre » n’a alors aucun sens.

HISTOIRE D'UN PARCOURS

HISTOIRE D’UN PARCOURS PARMI TANT D’AUTRES

 

Par son manque de recul et d’objectivité se raconter est toujours un exercice assez délicat. Un parcours pourrait évoquer un cheminement géographique alors qu’ici il ne s’agira que d’un sur place, que d’une modification de conscience. Il ne s’agit ici que de changer son propre aspect inférieur afin de retrouver notre véritable nature. Cette démarche ne relève en aucune manière d’un certain opportunisme existentiel mais résulte inévitablement de l’impulsion d’une force plus intérieure déclenchant chez ceux qui se sentent concernés l’irrépressible invitation à redevenir ce « quelque chose » qu’ils sentent devoir être. Ce déclanchement accepté est forcément encodé dans notre parcours de vie. Il peut prendre la forme prédéterminée la mieux à même de pouvoir correspondre à notre personnalité et à bien d’autres critères d’incarnation et de qualités de voiles de conscience appropriés et acceptés ; cela peut prendre des formes diverses et variées telles que celle de la visitation laissant au sein du réceptacle une telle empreinte qu’il ne peut que se reconnaître et croître vers Lui-même, soit encore celle d’un phénomène moins invasif et soudain, celle de clés de conscience à saisir sur un chemin et des rencontres prédéterminées, afin d’ouvrir les portes nécessaires à la reconnection, et c’est cette voie qui fut la mienne. Peu importe le chemin, pourvu qu’il soit authentique ; cette authenticité intrinsèque à la véritable initiation. Peu importe la manière le fond doit rester identique quelle que soit la voie initiatique empruntée, celle permettant et procédant de la loi d’Amour, de Christ.

Ainsi, pour ce qui me concerne, je suis tombé très tôt dans les études ésotériques et celles de l’occultisme. Puis, le moment venu, j’ai rencontré la personne éveillée qui devait m’aider à finaliser ma reconnection. Que c’est il passé, je ne saurais l’expliquer ; qui était elle ? Tout ce que je peux vous dire, sans trahir qui que ce soit ou quoi que ce soit, c’est qu’il y a eu et il y a toujours sur cette planète des groupes d’Êtres éveillés, gardiens de la Lumière sur cette dimension absolument ombrageuse, soucieux de permettre l’éveil des Serviteurs que nous sommes. Serviteurs du divin répondant au nouvel appel pour l’éclosion d’une nouvelle dimension de Vie issue de ce cloaque que nous connaissons aujourd’hui. De ce cloaque il ne restera rien, absolument rien, cela a été prédit depuis bien longtemps. La troisième, tout aussi bien que les quatrième et cinquième densité de ce point de la création seront entièrement vidées de toutes formes de vie. Je suis parfaitement conscient qu’une telle déclaration puisse choquer certains d’entre vous, mais avouez qu’il est tout à fait illusoire de vouloir reconstruire un Eden planétaire dans une poubelle ; ces mots vous dérangent, soit, mais cela ne saurait rien changer à la réalité. Si vous pensez que l’avenir de cette humanité est de renaître de replâtrages, fussent même spirituels, c’est que votre vision, par manque d’ambition, s’avérerait être bien trop étriquée. Le plan divin que je perçois est bien plus ambitieux que tout ce que l’on a pu vous raconter jusqu’à présent. En effet, les éveillés issus de cette humanité vont devoir vivre sur la sixième densité et au-delà. Mais je m’envole et j’oubli de vous parler de mon propre parcours.

Nous pouvons essayer toutes les techniques ésotériques, mystiques, énergéticoméditayogaïques que nous décréterons comme idéales et uniques, bien qu’apportant quelques soulagements, nous ne ferons d’effleurer l’initiation véritable. Alors que nous faut-il entendre par véritable initiation ; c’est la voie unique qui mène au Père, celle du christ, celle qui consiste à détruire, non sans douleurs, la fausse image de notre personnalité inférieure pour la remplacer par le pur miroir dans lequel puisse enfin se refléter ce que nous sommes en réalité. Cette alchimie ne peut se réaliser que de l’intérieur sous la gouverne de la véritable loi d’Amour. L’impulsion première, la mise sur les rails, doit donc se faire par l’ouverture du moyen près incarnationnel dont nous avons parlé plus haut. Ce moyen toutes les âmes, qui ont désiré connaître dieu dans cette incarnation, le possèdent. Quant aux autres elles suivent leur parcours karmique, car tel est leur choix.

Cette initiation aboutissant à retrouver la Vision de notre réalité. Que faut-il entendre par là ? Sans cette vision juste il nous ait im..po..ssi..ble de terminer l’œuvre de notre reconstruction alors divinement initialisée. En d’autres termes nous pouvons prétendre au but tant désiré, au but ultime, à notre propre réalisation que si nous savons nous réaliser intérieurement, si nous comprenons parfaitement le fonctionnement de notre co-création inférieure, si nous savons finir divinement ce qu’en un temps nous avions commencé en temps qu’Être divin et interrompu lors de notre descente dans une cristallisation extrême de notre substance. C’est un chemin tout aussi difficile que celui qui nous a amené jusque là, difficile car il faut s’armer de persévérance et de patience, pas difficile comme lors de la première étape remplie du doute de la recherche et de constantes remises en question, bien qu’il ait été toujours évident pour moi que le christ est notre vrai moi, mais un cheminement différent car à ce stade plus rien ne peut nous faire changer d’un iota dans notre façon de faire, non avons acquis la vision juste et en celle-ci la manière de faire avec grande acuité. Lorsque nous en sommes à ce stade notre langage change par le simple fait que nous pensons voyons et agissons en temps qu’entité trinitaire, en regardant du haut vers le bas, le bas qui n’est autre que notre humanité christ. Lorsque nous nous éveillons à notre réalité la nature du Saint Esprit est celle que nous rencontrons en premier ; puis nous nous identifions et comprenons que nous sommes le christ, ce dernier mène directement au Père, notre JE SUIS. Ainsi, préalablement à toute pensée infusée, à l’origine de toute action, il y a notre courant de vie obligatoirement qualifié par la loi d’Amour, par Christ. Prétendre exprimer le Verbe divin par simple invocation n’est qu’un leurre largement diffusé par les faux enseignements du new age.

Parvenus à ce stade nous comprenons qu’il faut faire un dernier pas qui consiste à aller au-delà du Père que nous sommes, aller jusqu’à Dieu. Dieu prend forme par la conscience et la conscience c’est l’Homme dans la pensée de dieu, l’Homme dans le Ciel de notre Être ; et nous ne prenons contact réellement qu’avec ce dont nous aurons préalablement pris conscience. Tout est intimement lié.

En se co-créant Lui-Même, en devenant l’incarnation de son Verbe divin, l’humain-christ sert l’humanité toute entière car il ne désire rien pour Lui-Même mais pour la compréhension de tout ce qu’il sait être au travers le son humanité.

Au plus haut demeure notre conscience, aussi parfaite devient notre forme, au plus haute sera atteinte l’expression de notre œuvre. C’est vers cela que nous tendons éternellement.

En l’état de notre présente humanité il est clair que pour chacun d’entre nous les choses n’ont jamais été simples et ne le sont toujours pas. Pour beaucoup d’entre vous je présume que depuis que vous êtes en age de penser vous avez dû percevoir les mêmes troubles et les mêmes désagréments, cette drôle impression de ne pas comprendre le monde qui vous entoure, ne pas ressentir de liens familiaux normaux, et peut être culpabiliser à ce sujet. Vous voyez la réalité et pourtant personne ne semble vouloir l’entendre accentuant si besoin en était encore ce sentiment de solitude qui est notre lot en ce monde. Je suis certain que certains ont dû avoir envie d’écrire et d’être déçu au bout du compte de ne pas arriver à être publié. Vous ne channelez pas, vous n’êtes donc pas crédibles, circulez, il n’y a rien à voir. Moi-même ai écrit sur cette vision et sur le mécanisme de cette co-création divine, mais ayant accusé une fin de non recevoir au niveau des éditeurs, gavés d’ouvrages de channeling, j’ai décidé de le mettre en téléchargement gratuit sur mon blog ; j’ai reçu, je me devais de ne pas garder et retenir ainsi ce courant de Vie destiné à l’humanité, dont je fait partie.

Une réaction symptomatique d’un cheminement, inconsciemment mise en œuvre et souvent rencontrée, réside dans le fait de refuser la parole extérieure, alors même que si dieu lui-même se présentait devant eux, imaginons, ils lui proposeraient un stage, quelques lectures, ou quelques visites chez un thérapeute de leur connaissance. J’ai souvent rencontré des êtres qui vous affirment avec un superbe aplomb qu’eux ne sont pas sur la voie, vous laissant voir en cette affirmation une garantie de leur sérieux et crédibilisant ce qui va suivre, et vous sortant : « mais toi je peux te dire que tu n’y est pas de tout, mais alors pas du tout ! ». Imaginez un aveugle de naissance qui vous affirme que ce que vous voyez n’existe pas ! Il y a en ce monde un vieux syndrome bien ancré dans le subconscient qui pourrait se résumer ainsi : « Je veux bien trouver et devenir cette grande Lumière mais à une condition, c’est que les autres ne l’aient pas ». Cette seule démarche, par le simple fait que les autres c’est nous, nous coupe de cette possibilité de recevoir ce que nous refusons aux autres. En fait les êtres en incarnation sont encodés pour reconnaître prioritairement la vérité non extérieurement mais en utilisant seulement le processus interne de reconnection.

Peu importe la forme que peu prendre notre vision elle n’est qu’une portion du cercle infini de la réalité sur lequel nous nous positionnons chacun ; mais le simple fait de se situer sur ce cercle nous rend efficient par l’investissement du Christ. Toute notre évolution spirituelle est destinée à faire progresser cet arc de cercle jusqu’à embrasser tout le cercle donnant ainsi au verbe divin que nous sommes l’opportunité de s’expérimenter toujours plus parfaitement.

Lorsque j’agis je ne le fais pas en évoquant ou invoquant la sainte trinité mais en étant celle-ci ; pour être celle-ci il est bien évident qu’il il a un préalable qui réside dans le fait essentiel et incontournable qui est d’être l’incarnation de verbe divin. Comme tout un chacun je m’imaginais qu’il fallait obligatoirement être pleinement réalisé pour permettre à cette trinité d’Être d’agir comme elle le veut dans le monde de la création ; eh bien non, mes amis, et certains l’ont bien compris et en ont parfaitement conscience. Ils l’ont bien compris dans la mesure où ils qualifient préalablement leur courant de Vie par Christ afin que la force qui agisse ici en ce monde soit celle du corps de Lumière et de nul autre. Aucun sentiment ni aucune pensée ne vient interférer alors dans cette action ainsi non conditionnée. Agissant ainsi l’Être que nous sommes le fait pour et par son humanité.

L’être de chair et de sang, émotionnel et mental est la base du pilier de l’Être qui n’est pas de ce monde mais qui agit en ce monde. Il doit donc obligatoirement être investi, il doit représenter la force de cet Être créée par Lui-Même et par nul autre.

Aujourd’hui, personnellement je pense que tout Serviteur éveillé n’a pas à prendre son bâton de pèlerin et parcourir le monde et ainsi s’exposer bien inutilement au fracas des forces d’opposition ; le seul fait qu’il devienne progressivement la forme que sa nouvelle conscience lui permet maintenant d’être fait qu’il devient le « canal » qui accepte que le divin agisse intérieurement en son humanité et en cette dimension de vie. C’est à ce titre que les Serviteurs ne sont pas venus afin d’appliquer des pansements d’Amour sur une humanité qui a décidé de dormir, mais sont venus déclancher le fracas des épées. Les Serviteurs vont s’asseoir au centre de la conscience de leur Être et regarder l’ancien monde s’auto détruire et permettre que ceux qui au travers de cet électrochoc accepteront de suivre la voie qui mène vers le divin en eux. C’est sûrement dans cette position que l’on pourrait parler de véritable méditation. Ce ne sont pas les Serviteurs qui font cela mais le Père en eux qui le fait.

14:59 Publié dans Spiritualité | Lien permanent | Commentaires (1) |

PROBLEME DU BIEN ET DU MAL

VISION SUR LE PROBLEME DU BIEN ET DU MAL

 

 

Lorsque nous abordons la compréhension et l’origine du mal, le simple fait d’évoquer cette thématique soulève généralement une foultitude d’interrogations et amène tout naturellement à une infinité de solutions et variantes laissant, au bout du compte, les uns et les autres tout aussi incertains quant à la vision de cette réalité.

Désirer à tout prix plaquer sur cette pensée une idéologie, un substrat religieux, voire même un essai d’œcuménisme planétaire, nous ont menés, durant toute l’histoire de notre civilisation, à des drames humains sans bornes.

Nous ne savons en fait que faire de ce binôme, bien et mal, sans qu’inévitablement nous ne tombions dans les rets de cette pseudo réalité qui est celle de la dualité qu’inconsciemment et par voie de conséquence nous élevons jusqu’au sommet de la divinité ; allant bien évidemment jusqu’à faire de ce Dieu un dieu de Lumière et un dieu des ténèbres comme les deux faces éternellement inséparables d’une même pièce de monnaie.

Afin d’y voir un peu plus clair dans cette affaire cosmique il faudrait préalablement redéfinir ce que pourrait être le bien d’une part et son compère le mal d’autre part.

Pour faire court et simple nous pourrions dire que le bien demeure l’expression, dans le monde de la création, du Verbe divin selon la loi d’Amour ; le mal, quant à lui, c’est tout autant l’expression, formelle, en ignorant ce savoir faire divin qu’est la loi d’Amour, mais en utilisant la loi humaine du non amour.

Nous voyons tout de suite l’importance primordiale que revêt alors la qualification de l’énergie par l’esprit. Il devient dès lors bien évident que l’humain doit, s’y veut manifester le divin dans le monde de la création toute entière, préalablement reprendre les affaires divines là où il les a laissées tomber dans sa descente en cette dimension d’extrême cristallisation de la substance divine ; il doit obligatoirement finir d’être ici et maintenant ce qu’il veut être, soit l’Humain-Divin, le prolongement, la continuité de ce qu’Il EST. S’il, l’humain, n’est pas investi de sa propre identité et nature divine, comment espérer qu’alors il puisse prétendre à l’extériorisation de ce qu’Il EST ?

Espérer faire sans cet investissement divin en soi n’est que contraindre, en tant que petit dieu, très cancre, les forces de la Mère cosmique, à produire des extériorisations qui seront en disharmonies dans le tout, générant par répercussions diverses et varies des troubles et souffrances.

 

On ne peut pas aborder cette réalité sans entendre parler d’ombre et de lumière. Là aussi, pour faire tout aussi court que précédemment, nous dirions que la Réalité absolue, sans temps ni espace, au-delà de toute implication créationniste, afin de Se comprendre, est la Lumière Une. S’impliquant au sein de l’univers des univers créés, cette Lumière Une doit restreindre ses propres prérogatives, sa radiance, afin de prendre formes. Cette expérience formelle Lui permettant de prendre conscience de ses propres qualités et vertus ne peut alors qu’être évolutionnaire ; en effet vous trouverez toujours une forme plus proche de l’expression absolue exprimant le bien mais toutefois sans pouvoir jamais espérer l’atteindre dans son absoluité, sinon de façon asymptotique. En d’autres termes le Bien est absolue au sein de la Lumière Une primordiale, il devient quelque chose de Bon dans le domaine de la création restrictive de la forme en constante évolution.

 

Nous avons vu la MANIERE divine de s’exprimer dans la création, celle de qualifier l’énergie par la loi d’Amour, en d’autres termes par Christ. Maintenant abordons le MOYEN de cette extériorisation qui n’est rien d’autre que votre Grande Mère cosmique, votre Esprit Saint, votre corps de pure Lumière. C’est au sein même de cette force de Lumière et ce cette substance divine que les confusions naissent généralement. Il y a au sein de cette force deux composantes, l’une qui tant à l’expansion et l’autre à la constriction. En effet il faut bien que nous diminuions cette Lumière infinie en exerçant sur Elle un amoindrissement temporaire afin qu’Elle prenne conscience de ce qu’Elle Est au travers de l’expression formelle qu’ici nous lui proposons. Nous lui proposons une direction et la loi christ sait infiniment mieux que la conscience humaine ce qui est le mieux en conservant l’harmonie du tout.

C’est alors le christ en soi qui dirige les opérations, dirige les deux forces précédemment mises en évidence. La force d’expansion est appelée lumière, quant à sa sœur elle est nommée ombre, d’où cette confusion généralement répandue avec le mal. Christ apporte un peu ou beaucoup de voile sur la grande Lumière afin qu’elle puisse apparaître.

Certains diront que le mal est la contrepartie du bien sans lequel nous ne pourrions pas trouver le bien, taratata… Taratata…

Lorsque nous en bavons, nous finissons par arrêter de nous faire chier et si nous ne trouvons pas forcément rapidement la solution pour changer les choses en nous changeant nous-même, nous prenons au moins conscience que quelque chose ne tourne pas comme il devrait être ; mais par contre lorsque quelqu’un fait chier les autres il n’est pas évident qu’il en prenne rapidement conscience, vous aussi vous avez remarqué ?

Nous avons ainsi dans le cosmique, il ne faut pas l’oublier et le négliger, toute une large panoplie de forces négatives qui oeuvrent selon la loi du non amour car elles-mêmes issues de cette loi durant des âges et des éons. Des égrégores négatifs jusqu’aux entités désincarnées l’éventail est large.

 

En résumé le bien c’est Bien, il n’y a rien à redire. Quant au mal ce n’est en aucune manière, de près ou de loin la contrepartie nécessaire au bien ; le mal c’est mal, un point c’est tout. L’unité prend conscience de ce qu’elle est par le bien et non par le mal. Exprimer le verbe divin nécessite, comme nous l’avons vu plus haut, un préalable qui est celui d’être l’incarnation de ce même verbe. Quant au mal il demeure l’expression de la loi d’ignorance.

 

Nous nous devons ici d’ajouter à ce qui a été dit quelque éléments sur l’ampleur de la résurgence des « contacts » avec l’autre coté du voile.

Considérons, si vous le permettez, les choses de la façon suivante : Il est indéniable que l’Entité que nous connaissons sous le nom de Terre et dont le corps, les corps, font partie intégrante de la Grande Mère cosmique, voit son énergie progresser lentement mais sûrement vers une nouvelle matrice de Vie. Le seul point d’interrogation est : son humanité actuelle pourra t-elle suivre vers cette nouvelle matrice. Personnellement, sauf une surprise de dernière minute bienheureusement cachée dans le plan, permettez moi d’émettre de gros doutes.

Soit, le plan vibratoire terrestre doit donc traverser ce qui pour l’ancien monde représentait le plan des démons du bas astral. L’ensemble de ces entités se nourrissant d’une certaine qualité de notre éthérique afin de perdurer dans leur forme, éthérique ne pouvant être généré que si il y a incarnation, voient mal votre éventuelle disparition de ce plan. Elles feront et font tout ce qui est en leur pouvoir pour que vous y restiez. Cet inéluctable rapprochement de leur plan permet la multiplication des contacts. Ceci n’est bien évidemment que l’un des aspects de la trame de la grande falsification des temps nouveaux.

L’humanité est largement investie dans tous ses corps par ces entités. Cela vous affole t-il ? Vous avez fait avec jusqu’à maintenant. Invitez-les à quitter votre demeure, non pas avec notre mental, mais en vous co-créant divinement, en désirant l’investissement du divin que vous êtes et qui attend derrière la porte de votre être en vous disant « C’est quand tu veux ».

Négliger ces infections astrales reviendrait à garder des l’élastiques reliés au bas. Nous pouvons constater cette emprise sur les personnes qui semblent abonder dans votre sens de vision de la réalité et qui une fois à peine les talons tournés ont déjà rechutées dans leur propre paradigme.

 

Investissez vos corps en disant : « Qui commande ici ! Je suis (Un tel) Christ et je prend la direction des affaires du monde dans lequel j’ai décidé d’agir ». Il n’y a que l’Un qui doit vivre et parler, ici comme ailleurs. Je sais que vous percevrez ce que j’entends par là. Vos corps deviendront alors les diverses cristallisations de votre corps de Lumière, demeure de votre Verbe divin attendant derrière la porte.

J’entends vos requêtes : « C’est bien gentil, je comprends vers quoi nous devons tendre, mais comment permettre l’investissement du divin en nous ? »

Aucune technique « extérieure » ne pourra vous y mener. Il est bien question ici de se mettre à votre vraie place, celle du divin, en vous, derrière la porte, et de continuer ce que vous aviez momentanément interrompu ; demandez à la Mère d’enfanter l’enfant christ que vous aviez entrepris de devenir afin d’agir en ce monde et dans tous les mondes. A vous de voir et de comprendre. Voir vous rend libre afin de vous permettre de comprendre ce QUE VOUS ETES.

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