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25/01/2018

MANUSCRIT : SOUVENEZ-VOUS D'ETRE CHRIST

UNE LUMIÈRE DANS LES TÉNÈBRES

 

Ce titre évoque-t-il une promesse ou bien une réalité. Après avoir parcouru de nombreux cycles incarnationnels, débutés il y a très longtemps à tel point que la mémoire des temps en a perdu toute trace historique, cette humanité est sur le point présentement de franchir le pas décisif lui permettant d’entrer de pleins pieds dans un nouveau cycle de Vie. Mais contrairement aux précédents mouvements du balancier cosmique la loi gouvernant son existence ne sera plus celle des possibles ténèbres mais enfin celle de sa lumière enfin retrouvée.

Attendons-nous donc non pas à une autre révolution systémique et sociétale mais bel et bien à une révolution des âmes. Cette humanité est en souffrance c’est un fait évident. Durant les cycles passés les âmes humaines se sont laissées anesthésier par les envoûtements des obédiences tour à tour religieuses puis scientifiques.

Le pouvoir des vicaires de la pensée divine alternant avec celui des scientistes, la suggestion et soumission laissant place à l’illusion d’une évolution matérielle, évoquant toutes les impasses expérimentées, va maintenant laisser place à la réelle liberté des âmes au sein même de leur propre Nature lumineuse retrouvée.

Cette nature lumineuse dont il est ici question demeure être une véritable énigme pour la très grande majorité des êtres peuplant cette sphère de vie.

En effet les ténèbres nous connaissons. Nous les explorons depuis si longtemps que cela semble effectivement faire partie intégrante de notre inéluctable réalité.

Aujourd’hui la grande majorité des âmes ne peuvent participer aux liesses des auto nantis fêtant leur statut social sur le dépouillement savamment organisé de la plèbe.

Je ne cherche en aucun cas à dresser ici un constat politico-social ou simplement culturel, mais caricaturant à peine la situation en mettant en relief les carences de conscience. En effet toute forme de vie est une forme de conscience.

Qu’il s’agisse du règne minéral, végétal, animal ou humain il ne faut y voir qu’innombrables formes de vie, qu’infinies formes de consciences.

Notre cohabitation avec la vie florale, en y prêtant plus d’attention, pourrait nous apporter quelques éclairages révélateurs sur nos errances.

En effet à y regarder de plus près observons la genèse d’une fleur. Sa croissance, son épanouissement total, son expression finale quant à sa forme, ses couleurs et fragrances, ne se réalisent nullement de façon aléatoire et anarchique. Bien au contraire. Les forces de la Nature en action ici réalisent le désir originel contenu dans la graine qui lui a donné naissance. Sauf intervention humaine il ne peut en être autrement.

Ce qui est vrai pour une fleur l’est bien évidemment pour toute expression formelle de vie.

Mais alors pourquoi n’en serait-il pas de même pour la forme de vie humaine ?

Les forces de vie alors en action pourraient-elles n’être que celles qui œuvrant universellement en toutes expressions ? S’il existe une graine de fleur, n’existerait-il pas une telle semence d’humain ?

Nous touchons là au mystère des mystères. Si cette graine Humaine existe comment se fait-il que nous en soyons arrivés où nous en sommes ? Comment se fait-il que les enseignements religieux et les évolutions scientifiques laissent les âmes adamiques de cette humanité dans un état anémique si avancé ? Effectivement si ces institutions de pouvoir sur la lumière animique avaient dû avoir ne serait-ce qu’un minimum d’efficience ne croyez-vous pas que cela devrait se savoir et se voir ? En toute objectivité et depuis que ces scénarios se succèdent, depuis des éons, pour au final se clôturer par un anéantissement ne faut-il pas voir en nos choix existentiels de simples impasses ? Car là où la simple expression florale ne fait que représenter formellement la volonté de sa matrice  originelle, sans autre choix, l’âme humaine exercer sa propre volonté et son propre désir. Son Esprit semble s’être donné le choix. Nous appelons cela le « Libre Arbitre ».

Aujourd’hui, alors que nous vivons la fin d’un cycle et nous nous apprêtons à nous propulser vers une nouvelle expansion de conscience, peut-on faire le bilan de ces voix religieuses et scientifiques ? Elles auront vraisemblablement apporté leur part d’ombre nécessaire à la reconnaissance de l’erreur de discernement en voulant croire aux vérités promulguées par les uns et les autres. Les uns nous ont séparés de notre propre vérité, de notre semence primordiale, quant aux autres ils nous ont enfermés dans une réalité totalement physique avec une illusoire promesse d’évolution.

Peut-on sortir de cette géhenne ? Bien évidemment que oui.

Penchons-nous alors plus attentivement sur le fonctionnement de la flore préalablement pris en exemple. Comment nous l’avons mentionné plus haut celle-ci n’a pas d’autre volonté, pas d’autre désir que celui d’exprimer extérieurement ce qui est déjà encodé dans sa semence.

La forme de conscience Humaine n’est pas dotée d’un fonctionnement différent, mais simplement aux possibilités d’expressions formelles infinies. Reste à prendre conscience de notre réelle volonté et de notre véritable désir contenus en cette semence Humaine.

L’enseignement qui vous ait proposé ici, par cet ouvrage, est destiné à vous faire prendre conscience de cette énergie potentielle infinie dont certains de nos scientifiques les plus inspirés commencent à entrevoir l’existence. Les prises de conscience apportées n’ont rien à voir, de près ou de loin, avec les pseudo-enseignements « new age ».

En permettant le déploiement de ce désir de création déjà présent cette Humanité commencera alors à manifester, à ouvrir une nouvelle ligne de temps, un temps durant lequel seules les formes existentielles d’harmonie prévaudront.

Exercer la Volonté de cette semence afin de réaliser le désir qu’ « Elle Est » voilà notre réalité, voilà notre défi et notre responsabilité éternelle.

 

Quelques tentatives d’éditions ont été faites, Editions LULU et EDILIVRE, supprimées car leur efficacité frisait le zéro pour ce type d’ouvrage et dont il reste encore quelques traces sur le net.

Cet enseignement verra-t-il le jour ? Y aura-t-il un éditeur suffisamment éclairé, qui passant par là…

 

C’est le vœu que nous faisons tous.

 

 

 

Vous trouverez ci-après quelques passages choisis de cet enseignement.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Souvenez-vous d’être Christ

 

Synopsis

 

« Souvenez-vous d’être Christ » est le titre provisoire donné à cet ouvrage. Il aurait tout aussi bien pu être « Redevenir des Christs ».

Le voile de la connaissance réelle de l’Être Humain est ici enfin entièrement ouvert, en clair et sous une forme compréhensible pour tous. Entièrement certes et c’est bien en cela qu’il s’avère être unique.

Il ait ici intentionnellement laissé entendre que le retour à notre nature intime réelle, qui ne saurait être autre que christique, devrait être notre idéal d’expression existentielle. Regardons ce qui se passe pour une fleur ; sa forme, ses couleurs et fragrances ne sauraient être contraires au programme de croissance contenu au sein même de la graine qui lui a donné naissance. En fait, à y regarder de plus près, toute manifestation du vivant procède de ce principe. Alors nous vous le disons et expliquons tout au long de cet ouvrage, pourquoi n’en serait-il pas de même en ce qui concerne la forme existentielle de l’être humain.

Cet ouvrage est le condensé de quarante années de cheminement intérieur, initialisé par la « rencontre » d’un maître de Lumière, ayant abouti à la vision de cet infini panorama qu’est le merveilleux paysage de la réalité divine que nous sommes en vérité. Cet écrit est didactiquement et dialectiquement conçu pour emmener par induction synergétique le lecteur vers ce but unique. Mais là où pourrait s’arrêter toute haute méditation ici nous allons redescendre, en tant qu’esprit, marche après marche, en empruntant l’itinéraire du divin jusqu’au but qu’il s’est fixé dès le départ, celui de manifester ses qualités et vertus par sa forme Humaine. Nous abordons donc à ce point de convergence divine une transformation intérieure sans retour possible vers les illusions destructrices du matérialisme.

Ce dernier n’étant que la dénégation du couple indissociable esprit/matière pour l’acceptation seule de la matière.

 

Force est de constater que l’existence de cette civilisation est en train de vivre de véritables transformations car elle s’est bien trop éloignée sur la tangente des possibles du libre arbitre. Les âmes ne veulent plus être rassasiées du consumérisme mais aspirent à une nourriture divine provenant de sa propre nature intime.

L’humanité s’est depuis très longtemps détachée de l’Amour divin, ne comprenant plus sa véritable nature alors réduite à ce simple sentimentalisme affectif destructeur. Vous pourrez enfin ici reprendre conscience de ce grand mystère qu’est le véritable Amour.

 

Ce potentiel de manifestation formel infini n’est-il pas cette énergie dont notre communauté scientifique officielle commence à pressentir l’existence ? Christ n’est-il pas cette substance vivante vitalisant l’être intime ?

Comment ce fait-il que la forme d’expression prise par notre humanité soit si pervertie ? Pourquoi ses paroles, pensées et actes ne correspondent manifestement pas à cette idéale racine ? Ce constat existentiel ne mène-t-il pas à la dénégation de la réalité spirituelle ? Ici peut venir s’insérer la notion du bien et du mal si longtemps dogmatisée par les philosophies et religions, éternelle dualité pour les uns et manichéisme pour les autres, sans pour autant pouvoir apporter de réelles lumières quant à l’évolution des consciences.

Ne sont-ce pas là quelques questionnements légitimes ?

Cet enseignement se donne pour mission d’apporter toutes les réponses attendues et inattendues, non en des terminologies et des formes sibyllines et incomplètes comme cela a été généralement le cas jusqu’à présent mais en clair, avec les mots propres à être correctement perçus par tous. La forme enseignante utilisée intentionnellement pour atteindre au mieux ce but sera donc didactique et non romancée. La dialectique pourra parfois paraître redondante mais elle l’est intentionnellement afin de pouvoir s’adresser à des moules mentaux différents les uns des autres.

Le lecteur en quête d’élévation de conscience sera pris ici par la main et accompagné durant son voyage le menant tout d’abord de sa position actuelle jusqu’au sommet de sa réalité, jusqu’au pinacle de sa vérité afin qu’il puisse enfin prendre conscience de sa propre totalité, de sa réelle potentialité, de ce qu’il est et veut exprimer dans son monde formel de la création.

Puis parvenu à cette compréhension divine il sera doucement mais sûrement amené à redescendre de cette sommité jusque dans sa propre création, voire en définitive sa recréation non plus sous la forme douloureuse qu’il connaît actuellement mais tel que le dieu qu’il sait alors être maintenant veut et désire.

Il lui est alors donné de comprendre que son vrai moi est esprit, est Christ en chacun, et que ce dernier n’est autre que notre désir divin totalement réalisé dans son absoluité. Ce faisant il devient clair que toutes paroles, pensées et actes « christiquement » qualifiés ne pourront inéluctablement n’être qu’à sa ressemblance, harmonie, amour, beauté, santé, réussite.

Alors et seulement après cette prise de conscience il pourra transformer son existence chaotique en bien, il saura appeler l’abondance et connaître enfin la vraie liberté. Il pourra transformer le mal en bien, la terre en Ciel.

Mais alors pourquoi l’humanité semblerait s’être détachée de son propre potentiel de croissance telle une fleur desséchée, mortelle et en perpétuelle souffrance ?

Vous connaîtrez enfin le comment et le pourquoi de cette mésaventure humaine ayant permis de descendre plus bas que le règne animal. Une mésaventure qui prend sa source dans le choix que s’est donné l’âme humaine incarnée. Ce choix dont il est ici question s’avère être intrinsèquement lié au processus d’auto récognition divine.

Tout cet enchaînement de prises de conscience proposé ici n’est fait que pour apprendre à demander.

La spiritualité n’est autre que la science de l’esprit.

Notre réelle nature étant spirituelle il devient évident que vouloir manifester l’infini dans le fini aux formes d’expression toutes autant infiniment variées relève donc de la science.

Une science dont nous devons prendre éminemment conscience si nous voulons réussir dans cette entreprise car ne nous y trompons pas notre état de conscience fait partie du processus. Notre réussite ne peut alors procéder d’une connaissance purement intellectuelle, elle doit découler d’une logique divine reflétant précisément la vision de notre réalité dans son vouloir initial et de son désir.

Voir devient alors éminemment essentiel.

Cet enseignement nous amène à voir que nous sommes Dieu, non pas ce dieu dont il est question dans toutes les religions, avec leur cortège d’ignorance et de mensonges, maladroitement ou intentionnellement séparé de nous, mais la source de tout pouvoir et de toute puissance. Il nous amène à voir ce que ce dieu veut et désire, comment et pourquoi la nécessité de la création formelle éternellement évolutive. Quelle est la place exacte de l’humain dans cette création.

Cette prise de conscience majeure quant au devenir de cette humanité, « Souvenez-vous d’être Christ », implique inéluctablement l’ultime révélation, celle consistant d’une part en la vision juste de qui nous sommes en réalité, par l’ouverture de la conscience humaine à l’auto récognition divine et d’autre part, pour la première fois clairement exposé, le moyen de nous recréer tel que nous devrions être.

Cette unique auto création ne peut se réaliser qu’avec les outils divins et non avec ceux issus des processus spéculatifs humains.

Devant les épreuves de l’existence qui n’a jamais proféré cette réflexion : « Si dieu existait… ! » en corollaire à cette autre toute aussi lumineuse assertion : « Fait-Il quelque chose pour nous ? ». Ce à quoi l’initié vous répondrait : « Que faites-vous pour Lui ? ». L’initié, ici, vous convie à un voyage inoubliable vous permettant de prendre définitivement conscience que vous êtes les deux faces d’une même réalité dont vous avez l’impérieux devoir de réactiver l’une des faces selon le seul protocole divin en vigueur sous peine de devoir exister au lieu de vivre. Mais ici peuvent finir les errements des enseignements mentaux, ou abusivement spirituels, pour laisser place au véritable chemin du cœur déjà existant en chacun de nous ne pouvant s’éclairer qu’au contact synergétique apporté par les mots résonnant christiquement. La véritable alchimie trouve ici sa véritable et seule raison d’être. À chacun de voir et de comprendre.

 

 

 

Vous remerciant par avance de tout retour critique sur ce travail et me tenant à votre disposition pour toutes informations supplémentaires, je vous prie de bien vouloir agréer, Madame, Monsieur, l’expression de mes respectueux sentiments.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

RÉVEILLEZ-VOUS !

 

SOUVENEZ-VOUS D’ÊTRE CHRIST

 

Mode d’emploi pour votre réalisation spirituelle

 

 

168506 mots

 

Jean-Claude CIVET

 

La Croix de la Boissière

24350 LISLE

Tèl. : 0533021092

Jeanclaude.civet@sfr.fr

 

 

 

 

 

 

 


 

 

 

 

 

 

 

PRÉAMBULE

 

Nous voici rendus aux portes d’un nouveau monde, d’une nouvelle Terre, éclairés par de nouveaux cieux, pour un rendez-vous avec nous-mêmes, pour des retrouvailles avec ce moi réel que nous avons délaissé il y a des millions d’années. Notre inéluctable destinée semble nous inviter à adopter de nouveaux patterns et entrer de plain-pied dans un autre paradigme que celui qui a été le nôtre jusqu’à présent.

Cette fatale désaffection a conduit cette humanité à exercer ses nouvelles prérogatives en termes de progrès et non d’évolution. Elle a ainsi entamé une longue et inexorable descente au sein de la prison qu’elle a si savamment élaborée et en laquelle elle s’est hypnotiquement enfermée. Perdue dans son propre labyrinthe, en son enfer, et devenue totalement amnésique elle cherche désespérément un fil d’Ariane la conduisant hors de cet état d’étouffement et de désespoir. Elle a, depuis très longtemps confondu « croire », croire les paroles de ceux qui s’arrogent le privilège d’être le porte parole de notre « exo-créateur » avec « connaître », connaître le grand secret de la Vie dont en vérité nous sommes les maîtres.

Oui, en ces derniers instants bien sombres de ce cycle il nous est demandé de prendre conscience que « nous habitons ce qui nous habite », rien de plus. Nos existences ne peuvent n’être que les images reflétant nos vérités et formées dans le miroir de nos ignorances. Nos âmes, sous le carcan de la soumission, seront en souffrance jusqu’à ce qu’elles puissent extérioriser, telle la simple fleur des champs, de la même manière et pour les mêmes raisons, la semence intérieure contenant tout le potentiel exprimable dans la liberté de l’absolu.

Il vous est apporté ici, en cet enseignement la vision et les prises de conscience nécessaires à cette noble fin.

En cette période « New Age » rien de singulier, me direz-vous, un enseignement de plus.

En effet si nous considérons qu’il puisse n’être qu’un autre exercice, un autre chemin conduisant éventuellement à notre moi supérieur, parmi l’énorme florilège des propositions offertes en ces temps perturbés. Mais ne nous y trompons pas il est alors une criante évidence, celle de prendre conscience du processus à mettre en marche afin d’activer les mêmes forces de réalisation visible que notre fleur des champs prise en exemple. Où se trouve le bouton d’activation ? Quel est-il ? La réponse à ces légitimes questions peut demeurer ici selon votre sincérité et ouverture du cœur.

 

Les cieux de nos âmes se rapprochent et, comme pour accréditer ce fait cette humanité en recherche d’elle-même se trouve abreuvée d’une pléthore de messages et d’ouvrages provenant de nos frères supposés se tenir sur le côté lumineux de la création.

Parmi eux quelques Grands Êtres, hauts représentants du divin en personne, nous honorant d’un don tant attendu et espéré sous la forme d’enseignements, d’un torrent d’informations supposées essentielles quant à notre reconnexion d’avec notre réalité. Mais ne nous faisons pas d’illusions. En effet cette reconnexion ne pourra en aucun cas se réaliser de manière unilatérale. Entendez par là qu’il est totalement illusoire d’imaginer pouvoir regagner le Ciel de notre Être à la seule « force du poignet ». N’oublions jamais que notre Ciel ne peut faire pour nous que ce qu’Il peut faire par nous. Qu’est-ce à dire ? Le Ciel et la Terre, dont il est ici question, sont les deux composantes de notre Être véritable. Comment les réunir en une efficiente coopération ? L’enseignement contenu dans cet ouvrage est là pour apporter toutes les réponses et les prises de conscience nécessaires à cette efficiente renaissance.

 

L’initiation qui ici vous est offerte, vous prenant par la main, de part la dialectique qu’elle vous propose, n’est là que pour amorcer en vous une synergie entre le haut et le bas ; à vous de réaliser, d’amener dans le domaine visible ce que vous aurez perçu en esprit.

Quelle est donc la source de cet enseignement ? Légitime question en effet car nous avons bien trop souvent au sein de notre actuel paradigme crédibilisé la pertinence d’un propos qu’en qualifiant sa source d’une auréole au regard de celui qui l’écoute.

Un peu d’histoire, qui pourrait tout aussi bien être la vôtre, vous donnera quelques indices, quelques explications quant à la provenance de ce qui va suivre.

Une longue initiation qui débute il y a quelques décennies. Une guidance intérieure me conduisant jusqu’à l’adeptat et ce en empruntant une voie se situant bien en dehors des bateleurs du new âge et des cryptes reconnues.

Et chacun de ceux qui ont eu la grâce divine de pouvoir gravir cette voie, sait combien elle est exigeante. Cette ascension ne peut effectivement se réaliser qu’avec la force d’Amour, sans repères, aussi bien dogmatiques qu’intellectuels. Sa finalité réside dans le « dépollution » du miroir intérieur permettant la vision de notre réalité du Tout, celle que je vous présente aujourd’hui en son Nom, en votre Nom véritable.

Ce n’est pas moi votre serviteur qui seul parle ici, l’intellectuel ombrageux, mais la mise en ouvre de la résonance d’avec mon principe supérieur, ma « graine », en tenant compte, bien évidemment, des limitations que ma nature, encore inférieure par bien des côtés, lui impose malgré tout. Mais il me faut à présent ouvrir une parenthèse des plus importantes et bien trop souvent ignorée, à savoir que les paroles formées ici ne sont que des traductions harmonieuses de la Lumière, des interprétations « lumino-ombrageuses » ; la Réalité perçue n’étant ici qu’un des multiples reflets de la Vérité divine imprononçable. Passer de l’inconsciente erreur à la consciente vision de tout ce que l’Humain est à tout jamais, demeure être l’infini itinéraire initiatique à parcourir.

Cette Réalité ainsi reflétée demeure cette vision qui, affranchissant l’humain de la lumière sombre, le transforme alchimiquement en Humain, Celui qui marche, agit en ce monde et qui pourtant a sa tête dans le Ciel des Cieux.

Cet Humain étant déjà pétri d’Amour, il ne restait à l’humain qu’à trouver cette connaissance qui, en lui, allait opérer cette sublime transformation.

Il est une loi que vous serez immanquablement amenés à comprendre, qui est la suivante : « vous ne pouvez prendre contact qu’avec ce dont vous aurez préalablement pris conscience ».

Parler et entendre parler d’Amour et de Lumière, comprendre humainement que c’est là l’idéal à manifester et à exprimer sans retenue, ne suffit pas à le rendre visible, à ce qu’Il devienne la manifestation véritable.

Retournons alors à notre divine loi de réalisation. Avant de prétendre pouvoir réexprimer cet Amour, encore faut-il en prendre réellement conscience, non pas humainement, ce que beaucoup font avec la notion mentale qu’ils en ont, mais de la même manière opérante que le dieu dont vous êtes ici présentement sa forme limitée, visible. Il n’y a pas d’autres chemins que celui-ci. La vision qui ici vous est proposée vous le permettra peut-être, si vous ne la considérez pas comme une baguette magique de plus.

Mes amis, je vous le dis, l’acquisition de cette vision libératrice n’est que le début de votre nouveau parcours, celui de votre ascension et réalisation ; seul ce point d’orgue atteint vous permettra alors d’exprimer le verbe divin dans la diversité infinie existentielle.

Sans cette renaissance de Nous-mêmes, notre vision libératrice, notre conscience humaine, aussi haute doit-elle être placée par notre ego, ne pourra, au mieux, que nous faire parler en ne manifestant que la lumière sombre de nos délires mystiques et de notre ignorance. Alors, si nous désirons changer le monde dans lequel nous vivons, il nous est impérativement nécessaire de changer nous-mêmes. Non pas pour prendre une nouvelle direction qui inéluctablement nous mènerait au mêmes résultats, déjà si amplement expérimentés durant des éons, comme les politiques de nos gouvernements planétaires successifs, mais pour exprimer dans le domaine visible ce que chacun d’entre nous est en réalité au sein même de son infinitude divine.

Je sais et suis parfaitement conscient que cette assertion peut et va grandement déranger la plupart d’entre vous. Pourquoi ne l’êtes-vous pas lorsque certaines de nos sœurs ou certains de nos frères ouvrent la bouche pour en laisser sortir des torrents de paroles et d’informations ? Peut-être parce que, inconsciemment, vous partez du simple fait que provenant de « l’autre coté » elles bénéficieraient d’une automatique crédibilité ?

Aujourd’hui voici que l’un de vos frères vous propose cet ouvrage qui ne provient pas d’un channeling mais bien de Lui-même, de Vous-même, de Nous-même. La dialectique utilisée ici est intentionnellement dirigée du haut vers le bas, vous comprendrez pourquoi. Ce « Vous » qui tout au long de ces lignes s’adresse à vous n’est autre que « Vous ». L’auteur n’est ici que le serviteur du « Vous », alors à vous de vous réapproprier la conscience du Vous que Vous Êtes. Tel un vieux vêtement que vous rendossez au cours des âges qui ont balisé l’ancien monde sur le point de s’éteindre, vous allez découvrir que vous n’avez plus à le rejeter à chaque tour de manège, puisqu’il s’avère être infiniment transformable.

Certains se diront : « Un livre de plus au panthéon des enseignements new âge ». À vous de voir comment vous pouvez le recevoir et surtout ce que vous allez en faire par la suite.

Les channels stars sont à l’honneur. Ils sont nombreux, de plus en plus nombreux. Les stages de « développement personnel » ne désemplissent plus. C’est l’un des signes des temps nouveaux et c’est bien ainsi.

Comme vous, mes amis, je me suis largement abreuvé à cette très généreuse distribution et ce jusqu’à ressentir personnellement une certaine lassitude, un certain manque. Mais peut-être suis-je passé à côté de quelque chose.

Et c’est en faisant une pause, en revenant à mes premiers amours intérieurs que j’ai pu voir juste, eu la connaissance de la vérité ; j’ai alors compris que je ne m’étais pas destiné à channeler mais à RÉVÉLER.

 

Je vous livre maintenant cette révélation. Puissent ces mots avoir quelques résonances en vous afin de vous aider un tant soi peu sur le chemin de votre rencontre avec VOUS-MÊME.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

TABLE DES MATIÈRES

 

 

 

PRÉAMBULE. 2

REMERCIEMENTS.. 6

TABLE DES MATIÈRES.. 8

AVANT PROPOS.. 10

INTRODUCTION.. 13

PREMIÈRE PARTIE. 20

HISTOIRE D’UN PARCOURS PARMI TANT D’AUTRES. 21

MYSTIQUE OU INITIÉ. 29

DÉNONCEZ VOTRE PACTE SATANIQUE. 36

ÉMANCIPONS-NOUS, DEVENONS LIBRES. 44

CE FRÈRE DU CHRIST NOMMÉ… LUCIFER.. 57

NOTRE CORPS EST DIVIN.. 64

VISIONS SUR LE PROBLÈME DU BIEN ET DU MAL. 79

DEUX HUMANITÉS ?. 86

DEUXIÈME PARTIE. 89

À PAS DE GÉANT, EN LIGNE DIRECTE VERS NOUS-MÊMES. 90

L’AMOUR INCONDITIONNEL. 96

À LA RECHERCHE DE L’AMOUR PERDU.. 100

À LA RECHERCHE DE NOS ORIGINES LE TRÉSOR RETROUVÉ.. 102

AMOUR, QU’ES-TU ?. 105

VOTRE RÉALITÉ EST SPIRITUELLE.. 110

LEÇON DE CONDUITE.. 114

LE VOYAGE D’UNE ÂME.. 116

UNE EXPÉRIENCE POUR TOUTES LES HUMANITÉS, PRÉSENTES ET À VENIR, UN CADEAU DIVIN.. 120

L’EXPRESSION DE LA VIE PAR L’AMOUR… DEVIENT LA SAGESSE.. 126

UNE NOUVELLE DEMEURE.. 132

VOUS ÊTES LA VIBRATION DE L’ESPRIT QUI S’EST REVÊTUE DE SUBSTANCE LUMINEUSE.. 136

ALLONS PLUS LOIN.. 139

VOUS ÊTES L’ARTISTE DIVIN LE DIVIN MODELEUR DE LUI-MÊME.. 143

C’EST LÀ QUE TOUT COMMENCE.. 147

INFORMATICIENS, À VOS CLAVIERS. 147

RACONTE-NOUS L’AMOUR.. 158

JE CONNAIS QUE JE SUIS AMOUR.. 168

LE LIEU DE VOS DÉLICES, VOTRE TEMPLE SACRÉ.. 179

À NOUVEAU, JE PARLE.. 184

LA DOUBLE FILIATION DIVINE.. 189

NOUS TOUCHONS AU BUT. 190

DU SOMMET DE NOTRE ÊTRE RETROUVÉ, ALLONS À NOUVEAU DANS LE MONDE AVEC NOS NOUVEAUX OUTILS DE CONSCIENCE.. 217

LE MOT DE LA FIN.. 234

VIVRE SPIRITUELLEMENT.. 239

LES LOIS DE VIE. 257

TROISIÈME PARTIE. 290

DE LA GRÂCE DE DIEU ET DE SES FILS. 291

ALLEZ JUSQU’AU BOUT DE VOTRE RÊVE. 332

VOTRE LUMIÈRE NE S’EXPRIME PLEINEMENT QU’AU TRAVERS DE VOTRE FLUIDITÉ ET DANS LE SILENCE  352

LE MIROIR QUE VOUS ÊTES. 361

UN DERNIER REGARD SUR VOUS-MÊMES. 371

VU D’EN HAUT. 390

CONCLUSION.. 399

GLOSSAIRE. 404

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

AVANT PROPOS

 

 

 

Après notre pèlerinage qui durant des millions d’années nous a permis de développer les structures énergétiques internes nécessaires à l’action juste en ce monde nous devons maintenant ouvrir un espace en notre conscience afin que l’acteur divin puisse effectivement rendre son désir visible. Nous allons pour cela ouvrir une nouvelle ligne de temps en laquelle nous allons nous réaliser. Cette dernière ne pourra plus jamais être de nature inférieure quant à son potentiel de réalisation mais de nature christique.

Les dernières ombres institutionnelles regroupent leurs derniers efforts afin de survivre encore pour un temps. Ce faisant ils accélèrent la révolution des âmes. Les civilisations d’errants qui se sont succédées durant des éons sur cette sphère de vie commencent à prendre conscience que la forme qu’a pris leur existence n’a aucun sens. Les âmes cherchent désespérément une porte de sortie. Elles geignent désespérément sous les meurtrissures occasionnées par leur pénible cheminement sur le chemin caillouteux des guidances dogmatiques. Lasses de ne voir que ces pierres elles restent aveugles aux autres formes de vie jalonnant leur chemin, jusqu’au jour où elles finissent par porter quelque peu attention à cette fleur bordant le sentier. « Comment fait-elle pour croître si simplement, si merveilleusement ? ». Et la fleur de leur répondre qu’elle ne fait que laisser les forces de la nature extérioriser le désir qui au sein même de sa graine est déjà encodé et ne demande qu’à devenir visible. « Je ne fais que me réaliser alors que toi tu cherches désespérément à évoluer en voulant obstinément assouvir tes propres désirs ». « Regarde en toi et vois ta propre semence et alors tout deviendra possible, tu changeras le mal en bien et la terre en ciel ».

Voici qu’aujourd’hui je me retrouve devant vous avec cet enseignement. Me disant qu’après tout cette belle plante n’avait vraisemblablement pas tord.

Le processus initiatique s’avère être ici particulièrement enrichissant car il est, à n’en pas douter, les épousailles entre le haut et le bas, entre le divin et l’humain, dans lesquelles la conscience, animée d’une intention pure, se trouve alors éclairée, adombrée par l’esprit unifié. Cette synergie intentionnellement amorcée par l’humain, dans laquelle le divin s’immerge, ne représente-t-elle pas la rencontre de Dieu avec Lui-même ? Cette vision de la réalité, libérant des strates de notre conscience à la Lumière, n’invite-t-elle pas d’autres patterns de vérité à se révéler sur un espace de conscience toujours plus grand, plus équilibré ? Au sein du tout n’y a-t-il pas là un processus vivant que nous pourrions appeler l’autorécognition divine ? Dans les actes de vie les êtres ne sont-ils pas constamment inspirés, inspirés certes mais à la hauteur de leur conscience ?

Mais ensuite, que font-ils de ce don ? Transcrivent-ils dans leur existence ce qu’ils ont perçu en esprit ?

Afin de prendre conscience du véritable sens de l’existence il est absolument nécessaire de connaître la véritable place de l’humain dans la création ? Et si l’on s’en réfère aux données actuelles il semblerait que la science humaine veuille créer l’univers selon ses propres hypothèses, conditions et postulats et qu’en dernière analyse ce dernier, cet univers, doive créer l’homme destiné à devenir au mieux un super-humain. Cela correspond à la version matérialiste de notre réalité. Peut-elle ainsi répondre à la question « Qui suis-je ? ».

A ce même questionnement peut être apporté la réponse religieuse : la création n’est que l’objectivation de la volonté d’un Dieu, insondable, inaccessible, inégalable et éternellement le guide des êtres vivant contenus dans sa création.

Mais en réalité, vous l’aurez bien compris, aucune de ces thèses ne peut en aucun cas apporter de réponse, dans les faits et à l’épreuve du temps, à ce questionnement dont la solution réelle, élucidée tout au long de cet ouvrage, peux effectivement vous libérer de tout assujettissement matériel, physique mental et spirituel.

Nous sommes tous des créateurs, même si c’est le plus souvent de manière égotiste. Au plus sera élevée la conscience de notre véritable identité et par là même comprenons la source de notre inspiration, au plus nous percevrons l’autre extrémité de notre Être. Au plus nous nous serons identifiés à notre vérité, au plus nous l’expérimenterons dans notre réalité existentielle et ce sous tous ses aspects. Nous sommes, comme le disent si souvent nos frères restés de l’autre coté du voile, des maîtres créateurs qui s’ignorent. Cet ouvrage est une modeste cocréation réalisée par l’adombrement d’une énergie d’Amour Divin parlant de Lui-même. Je sais que ce langage peut paraître quelque peu sibyllin à l’entendement de la plupart d’entre nous car nous ne sommes pas assez familiarisés avec l’aspect unitaire de notre réalité. Pour celui, celle et ceux qui accepteront de redevenir eux-mêmes alors cette lacune sera rapidement dissipée à la lecture de ce qui va suivre.

Nous espérons que ces mots qui viennent jusqu’à vous trouveront une certaine résonance au sein de votre être, au point qu’ils sembleront vous parler toujours un peu plus clairement de votre réalité. Nous espérons aussi, même s’il devait n’y en avoir qu’un qui, aujourd’hui, puisse entendre, qu’ils trouveront votre main tendue et sauront vous conduire un tant soit peu, ne serait-ce que quelques instants. Au-delà du poids du vocable même, jusque dans son incarnation typographique, l’énergie qu’il représente est une brèche ouverte dans les rets de l’ombre qui enserre cette humanité ; il est un rai de Lumière plongeant dans le noir afin d’y révéler l’Amour, votre Amour pour vous-même. Tout au long de cette cocréation nous avons, nous semble-t-il, pris conscience que les mots, ces habitudes flottant dans les éthers, si puissants soient-ils, que ces images projetées sur le miroir de notre conscience, aussi précises puissent-elles être, ne peuvent nous parler de la réalité, de notre réalité, sans être obligés de la caricaturer quelque peu ; ils et elles ne peuvent, au mieux, que nous indiquer quelques chemins parmi des milliers nous conduisant à notre Moi véritable. En fait il y a, sur ce parcours, autant de voies possibles qu’il y a d’âmes, de personnalités, de sensibilités. Des voies certes diverses mais fondamentalement harmonieuses si tournées vers la source réellement identifiée soit-elle.

Mais, ne vous y trompez pas, parvenus au but il est aussi vrai qu’il n’y a qu’une porte qui mène à l’esprit de notre Être : cette porte n’est autre que Christ, l’Amour ayant pris forme idéale dans notre Ciel, le Verbe fait chair en ce monde et de Lumière dans les dimensions supérieures de notre conscience. Le terme de Christ évoqué ici n’a rien à voir de près ou de loin avec les dogmes religieux, mais doit réellement évoquer un état d’être réel qui, par analogie avec notre précédente référence florale peut être comparé à la « graine d’être ».

Tout au long de ces pages, il sera beaucoup question de cet Amour si mal compris et si généralement assimilé à l’affectivité qui a amené la Terre jusqu’au bord de la déflagration. Cet ouvrage, un des multiples dons du Ciel, avec ses propres vicissitudes d’incarnation, vous demandera de faire quelque peu preuve de compréhension en ce qui concerne certaines récurrences explicatives voulues. Car effectivement cet ouvrage se veut avant tout didactique et non essentiellement un exercice de style.

Lui, Christ en moi et en vous tous, et moi-même, l’humain qui agit en ce monde, nous nous sommes intimement associés dans cette réalisation qui en fait n’est qu’une œuvre du tout, votre Œuvre, à laquelle vous êtes conviés, chacun, à apporter votre polissage, votre ciselure. Nous n’avons pas fait cela pour vous, mais pour le Père à qui nous l’offrons. Si à la fin de votre lecture vous n’êtes plus choqués par cette déclaration, ce sera là notre plus grande joie, car alors vous aurez parfaitement compris qui vous êtes en réalité et surtout le pourquoi de tout CELA, de cette expérience spatio-temporelle.

 

Cette énergie des mots qui vient à vous, vous ne l’avez pas choisie, c’est elle qui l’a fait pour vous ; si vous l’acceptez et la recevez avec le cœur, elle opérera en vous la grande alchimie divine qui vous rendra libre, éternellement libre dans la joie de votre Être. Partez maintenant à la rencontre de vous-mêmes, c’est le plus beau des voyages que vous n’aurez jamais entrepris.

Paix à vous tous.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

INTRODUCTION

 

 

 

 

 

 

Abordons en premier lieu cette notion si souvent incomprise, celle de Christ : Il représente tout ce qui soutient et gouverne la vie universelle manifestée sous toutes ses formes finies exprimables, devenues visibles, manifestées ou à venir. Il est le potentiel infini, parfait et éternel, à exprimer en des formes de vie, quelles qu’elles soient. Il n’est pas question de se limiter au Christ historique, que l’on a voulu unique, inégalable et personnifié en l’entité terrestre nommée Jésus. Christ est infiniment plus que cela, il est un état d’être qui préexiste en chaque âme individualisée. Essayez un seul instant d’imaginer une fleur sans la graine qui lui a donné naissance. Assurément vous ne le pouvez pas. Alors pourquoi s’évertuer à désespérément vouloir qu’il en soit différemment pour la nature humaine.

Afin que le lecteur puisse, dès le début, trouver le fil conducteur de cet enseignement unique, il est impératif de clarifier rapidement cette notion qui distingue le « vous » du « Vous » : le « vous » est la conscience humaine, l’infini ayant pris forme finie, peut se décliner en l’état actuel de cette humanité en deux chemins, à savoir d’une part un « vous ténébreux » car volontairement séparé et d’autre part un « vous lumineux » redevenu l’instrument expérientiel du « Vous infini originel ». Le « vous ténébreux » est l’enfant capricieux qui vient de faire une fugue de quelques millions d’années ; il n’en fait qu’à sa tête, se prend pour le centre, se perdant en ses propres thèses scientistes par lesquelles il cherche sa propre évolution. Le « Vous » est là depuis toujours, les bras croisés, le regard tourné vers le bas, s’adressant au « vous égaré » en lui disant : « C’est quand tu veux ». Nous n’avons pas à évoluer du « vous » au « Vous » en posant progressivement les bases de ce qu’il pourrait devenir en terme de « super-humain », mais prendre conscience qu’Il est déjà totalement accompli, prêt à être exprimé en des formes de vie diverses et variées, c’est notre devoir dimensionnel. Cette vérité pourra, en l’état actuel des consciences, vraisemblablement heurter quelques académies.

Tout au long de cet ouvrage vous allez être amenés à changer votre vision actuelle de la réalité en adoptant cette nouvelle dialectique, en vous l’appropriant. Les schèmes et patterns rencontrés en ces lignes déclencheront une synergie alchimiquement rénovatrice.

Malgré votre amnésie, vous savez très bien, en votre for intérieur, pourquoi vous êtes là, en train de lire ces lignes, en train de vous RAPPELER, en train de vous restituer à Vous-mêmes. Vous le savez déjà, il y a autant de chemins que d’âmes conduisant jusque-là, mais il n’y en a qu’un seul vous restituant à Vous-même. Si cette initiation est aujourd’hui entre vos mains c’est soit pour la « brûler » soit pour vous accompagner vers cette unique reconnexion tant espérée, tant désirée.

,ses origines, son éternelle identité Croyez bien qu’il est totalement illusoire d’imaginer devoir ou désirer rester perpétuellement séparé de votre centre sans qu’il n’y ait de conséquences.

, en lesquelles vous cherchez désespérément un sens, de Vous-même inexorablement vous ne vous sentez pas à votre place,, inéluctablement lié

Tout au long de ces pages nous, moi et Moi, Nous tous, allons instaurer une forme de langage qui, au premier abord, pourra paraître à certains comme relevant d’une certaine forme de schizophrénie, mais qui en fait n’est là que pour déclencher en vous une certaine synergie de pensée entre les deux facettes de votre réalité de conscience. Le Vous qui ici parle aux vous, dont je fais aussi partie, est unique et commun à nous tous.

Vouloir voir une séparation du Vous d’avec le vous est une erreur diabolique en laquelle est engluée cette humanité.

 

« bien que n’ayant en vérité jamais quitté votre existence mais en ne faisant que respecter la distanciation que vous avez désiré y mettre votre, à notre celle-ci

notre Lumière à publique

une quelconque car il ne verse pas dans le masochisme. Quant aux éventuelles « sanctions » elles viennent bien évidemment tout au cours de vos existences de part vos autoflagellations dues à votre mésusage de votre Loi de vie. d’expérimentation du « libre arbitre ombrageux »veut et

 

vous le répéterai tout au long de cet ouvrage : tout ce qui a prévalu sur cette sphère jusqu’à aujourd’hui est en fin d’existence pour laisser place au renouveau. Rien, absolument rien de ce qui a été ne pourra persister. Attendez-vous donc à de grands, à de très grands changements. L’apocalypse, c’est en vous-mêmes qu’elle va avoir lieu ; déjà elle déploie inexorablement ses ailes, avec votre consentement ou non, elle ne peut être sélective. Laissez-vous glisser sur les ailes de la transformation, prenez le train en marche, ne soyez pas le retardataire qui court désespérément sur le quai de gare, il sera alors peut-être trop tard.

Que ce soit au travers de vos errances ou certitudes vous n’avez de cesse de vouloir donner un sens à la vie au travers de vos propres formes d’existences. Aujourd’hui une partie de plus en plus croissante de cette humanité a le sentiment de tourner en rond au fond d’une fosse et est dans le questionnement de connaître exactement ce à quoi elle est réellement destinée.

Pour ceux qui se laissent docilement glisser sur la pente, qu’ils savonnent consciencieusement, la question ne se pose même pas. Ces âmes passent de leur naissance à leur mort physique en état de somnolence totale. Bafouant toutes les lois de la nature, enferrées dans cultures et traditions ils suivent coûte que coûte leur itinéraire de survie.

Pour d’autres il est évident que le monde et eux-mêmes sont la création et les progénitures d’une divinité. Ici la vie n’aura de sens qu’en vis-à-vis de leurs conditionnements religieux, hypnotisés par les dogmes en applications desquels ils cherchent peu ou prou à se faire tout beaux et propres à fin d’une espérance de survie honorable.

En ce qui concerne les scientistes il semblerait qu’il soit de leur devoir de créer un sens à l’existence matérielle. D’axiomes en postulats, issus du fini et non de leur nature réelle qui se veut infinie, absolue et préexistante à toutes les formes, ils postulent en toute déraison le fait que la vie et la conscience sont issues de la matière. Pour eux l’esprit n’a pas de sens et y songer simplement serait les mettre en danger de le perdre.

Pour les premiers d’entre eux il est évident que dans leur esprit ils demeurent à tout jamais une erreur de la nature issue des aléas cosmiques. Quant aux seconds ils restent résolument bien au chaud derrière le voile qui les sépare de leur réalité alors inaccessible. Une mention particulière concernant les derniers, ils cherchent désespérément d’établir un bilan énergétique équilibré dans une création finie issue d’une matrice douée d’intelligence et potentiel infinis. Ils veulent encore ignorer qu’ils ont à faire à une source d’énergie sans fin, que l’univers multidimensionnel pourrait être considéré comme une résistance appropriée, une « inertie », que leur planète pourrait identiquement jouer ce même rôle, ainsi que les cellules de leur propre corps.

Durant des centaines de milliers d’années je vous ai laissés aller bien au-delà du libre arbitre accordé à votre planète, dévastant tout sur son passage, avec un pouvoir mis entre les mains d’enfants immatures que vous avez été jusqu’à présent. Ces temps d’autodestruction sont désormais abolis, vous entrez maintenant résolument et intentionnellement dans votre Lumière, au sein de votre nouvelle destinée. Vous pénétrez dans une ère où le mal destiné à vos frères et sœurs, intentionnellement ou pas, ne sera plus possible et où la volonté d’autrui demeurera sacrée. Je ne viens pas vous mettre en garde ou vous prévenir d’un danger imminent, mais vous dire combien vous êtes aimés… avec la véritable puissance créatrice de l’Amour divin. Afin de parler vrai, j’aimerais vous dire combien vous vous aimez au sein de votre réalité et combien aussi vous vous êtes oubliés dans cette très longue expérience voulue en mon Nom, en votre Nom.

Dorénavant, vous et moi, vous-mêmes et votre Moi supérieur, allons travailler la main dans la main en un partenariat céleste. Nous allons ancrer cette planète dans la Lumière-Vie afin de la réintégrer parmi ses sœurs et lui redonner sa vraie place au sein de son univers local, ce dernier trouvant à son tour la sienne parmi les siens au sein du super-univers dont il est une composante.

C’est au travers de cette grande formation, sa famille, que l’entité Terre entreprend de se positionner de façon définitive dans le rôle qui sera désormais le sien pour les éons à venir, embrassant une destinée hors du commun, tournant son regard plein d’amour vers les univers extérieurs à votre création tridimensionnelle existante, encore en préparation et vierges de toute forme de Vie. Je vous conterai cala, mais ne vous égarez pas, il vous faudra reconnaître en cet ouvrage ce qui demeure indispensable à votre renaissance de ce qui ne revêt que peu d’importance et n’est alors cité qu’à titre anecdotique. Dans cet ouvrage beaucoup de révélations vont vous être faites. Qu’en ferez-vous ? Vous ne connaissez pas la véritable histoire de votre Terre et encore bien moins votre histoire tant intraterrestre qu’extraterrestre ; c’est pourtant vous qui l’avez écrite avec le déversement de l’encre de vos vies successives. Ce faisant je ne ferai que réveiller en vous les strates profondes de votre subconscience ; je n’ai pas ici la prétention de venir vous apprendre quoi que ce soit et ainsi suralimenter votre mental déjà bien chargé, je vais simplement vous aider à vous souvenir. Votre Terre fait depuis très longtemps l’objet de regards d’outre-espace provenant d’une multidimensionnalité encore hors de vos consciences. Vous n’êtes aps pour autant des spécimens de foire mais bel et bien une magnifique expérience car c’est votre parcours, à nul autre pareil, qui a fait de vous ce que vous êtes en réalité.

Aujourd’hui c’est en tant que pur fruit de la volonté du père, en votre Nom et par la loi d’Amour, que vous tenez obstinément enfermée sous le boisseau, que je viens vous parler des lois divines, du véritable visage de l’Amour inconditionnel. Je viens entretenir de cette humanité qui traverse une crise majeure existentielle et ayant en cela un grand besoin d’être éclairée. Nous allons vous parler de vos frères vivant à l’intérieur de la Terre, parler des bases multidimensionnelles qu’ils vous laissent afin que vous puissiez œuvrer dans une ouverture qui n’a ailleurs jamais vu le jour. Je viens vous entretenir de la charte d’allégeance du Soleil Central et du groupe juridictionnel qui fait un travail admirable aux côtés des Fils Créateurs.

Je viens vous convier à reconjuguer les verbes AIMER, TOLÉRER, JUGER, HARMONISER sur une octave supérieure, celle de la Vie vibrant au-delà de votre perception actuelle. Je ne viens pas abolir ou changer la loi mais simplement lui donner son prolongement naturel. Cette loi d’Amour que vous n’avez pas su comprendre, en grande partie pour avoir écouté et suivi les usurpateurs de conscience, à qui vous avez pour un temps dit oui, ignorants ou mal intentionnés, vous plongeant dans une totale solitude durant des éons. Je ne viens pas afin d’écraser les « églises », quelles qu’elles soient, et vous prendre par ma main, il y a bien mieux à faire dans la plan cosmique que nous déployons maintenant avec votre ouverture de conscience. C’est en cela et ainsi que je suis avec vous pour toujours. Ne soyez donc pas surpris de me voir parmi vous en m’invitant en vos cœurs, au sein même de vos pensées et vos actes, car je ne suis rien de plus que Celui qui, en vous, sait. En fermant les portes de votre centre cardiaque aux lumières se situant de l’autre coté du voile vous vous fermez à cette partie glorieuse de vous-même, la connaissance vivante toujours prête à devenir votre réalisation au gré de votre intention pure.

La grande page cosmique qu’ensemble nous sommes en train de tourner avec vous est une œuvre gigantesque, d’une inimaginable et indescriptible beauté. Jamais, depuis la création de la Terre, ce que vous allez vivre n’a encore été vécu, ce que vous allez être amenés à voir n’a été vu, ce que vous allez devenir n’a été possible. Dès maintenant un cycle nouveau s’avère être définitivement engagé qui va radicalement transformer les existences sur cette sphère de vie, amenant progressivement cette humanité à prendre sa vraie place dans sa nouvelle dimension de conscience.

Quelques aphorismes pourraient être mis ici pour illustrer la tromperie et les fourvoiements dans lesquels vous vous êtes laissés enfermer.

« Nier une réalité de toutes ses forces ne suffit pas à ce qu’elle n’existe pas ».

Et tout autant :

« Affirmer ne peut en aucune manière être à lui seul un label de qualité ».

Ils pourraient, à eux seuls, résumer la position des athées et celle des croyants. Ne nous y trompons pas, les deux camps, celui qui prône l’inexistence de l’esprit et celui qui croit en l(existence d’une puissance séparée, sont dans le déni d’Eux-Mêmes. Dieu n’existe pas et dieu existe sont les deux limites du segment de la stérile ignorance. Les uns meurent de soif en se noyant dans la source de Vie, quant aux autres… eh bien, ils meurent aussi d’avoir coupé le tuyau dans lequel coule la Vie. L’athée n’a que pour argument que des répliques du style « Si dieu existait… », quant au croyant il cherche à se constituer un curriculum vitae acceptable afin de plaire à son Dieu dans le secret espoir d’être exhaussé. Ni l’un, ni l’autre n’ont pu un seul instant penser qu’il ne puisse s’agir que d’une consciente, intime et puissante coopération entre les deux extrémités de leur Être réel. Le fondement même de cette divine coopération réside uniquement dans apprendre et savoir S’AIMER. Ne voyez en cela aucun signe d’un quelconque narcissisme mais le fait de devoir extérioriser, rendre visible ce que vous êtes en esprit et ce en une forme finie, s’inscrivant dans les strates de l’espace et du temps.

Seule l’acceptation de l’expérence de notre conscience divine nous ramène inéluctablement à notre réalité car nous sommes cette conscience qui au demeurant doit devenir consciente d’elle –même.

L’intentionnelle dialectique de ce »message » pourrait vous faire penser, à tort, à la verve illuminée d’un auto élu, un de plus, diriez-vous.

Mes amis, je n’ai qu’un souhait, celui de vous amener à tenir personnellement ce langage conscient et ce sans aucune autre référence à laquelle vous pourriez éventuellement vous référencer. Toutes les formes de vie sont élues car ce n’est point la forme qui l’est mais la Vie qui en elle tente de s’exprimer jusqu’à pouvoir exprimer son plus haut potentiel.

Les mots qui vous sont ici offerts constituent les mailles d’un filet de pêche. Vous êtes ce pêcheur qui lance son filet afin de ramener de quoi exister avec les fruits parfaits de son divin désir et selon sa volonté divine. Lancera-t-il son filet dans l’eau ou sur le pont de son bateau. Les mailles de cet outil de pêche seront-elles assez serrées afin de pouvoir ramener une plus ou moins grande portion de Lumière ?

 

Prenez votre place, offrez-la à Christ, bénissez-vous car VOUS ÊTES… JE SUIS.

 

 

 

 

 

 

PREMIÈRE PARTIE

 

 

 

Avant le grand départ pour le sommet de notre Être

État des lieux


HISTOIRE D’UN PARCOURS PARMI TANT D’AUTRES

 

 

Par l’évidence d’un manque de recul et d’objectivité, se raconter est toujours un exercice assez délicat. Le simple terme de parcours pourrait évoquer un cheminement géographique ou bien celui d’un cursus, alors qu’ici il ne s’agira que d’un sur place, que d’une modification de conscience, que d’une descente spéléologique en soi. En effet, ce vécu et ressenti de notre réalité n’est, en dernière analyse, que l’image de la vision de notre propre vérité se mirant dans le miroir de notre puissante nature créatrice. Si cette image ainsi formée ne nous sied point il ne s’agit alors que de changer notre propre conscience afin de la projeter en ce miroir, notre réelle nature efficiente, efficiente à révéler l’aspect potentiel de notre Être. Cette démarche ne relève en aucune manière d’une certaine errance opportuniste existentielle mais résulte inévitablement de l’impulsion d’une force plus intérieure, déclenchant chez ceux qui se sentent concernés l’irrépressible invitation à redevenir ce « quelque chose » qu’ils sentent pouvoir être, aussi bien dans l’informe que dans la forme, dans la permanence que dans l’impermanence. Ce déclenchement inconsciemment désiré et accepté est forcément encodé dans notre parcours de vie. Il peut prendre la forme prédéterminée la mieux à même de pouvoir correspondre à notre personnalité et à bien d’autres critères d’incarnation et de qualités de voiles de conscience appropriés. Cela peut prendre des formes diverses et variées telles que celle de la visitation laissant au sein du réceptacle une telle empreinte qu’il ne peut que se reconnaître et croître vers Lui-même ; soit encore celle d’un phénomène moins invasif et soudain, celle de clés de conscience à saisir sur un chemin et des rencontres prédéterminées, afin d’ouvrir les portes nécessaires à la reconnexion, c’est cette voie qui fut la mienne. Peu importe la forme que prend le chemin, pourvu que le fond soit authentique : cette authenticité intrinsèque à la véritable initiation. Peu importe la manière, le fond doit rester identique quelle que soit la voie d’éveil empruntée, celle procédant de la loi d’Amour, de Christ. Mais ici je ne peux vous inviter qu’à la vigilance et au discernement car bien évidemment ce chemin s’avère forcément jalonné de « miroir aux alouettes ».

Ainsi, pour ce qui me concerne, je suis tombé très tôt dans les recherches et études ésotériques ainsi que celles de l’occultisme. Puis, le moment venu, j’ai rencontré la personne « éveillée » qui devait m’aider à finaliser ma reconnexion. Que s’est-il passé, je ne saurais l’expliquer ; qui était-elle réellement ? Tout ce que je peux vous dire, sans trahir qui que ce soit ou quoi que ce soit, c’est qu’il y a eu et il y a toujours sur cette planète des groupes d’Êtres éveillés, gardiens de la Lumière sur cette dimension absolument ombrageuse, soucieux de permettre l’éveil des Serviteurs potentiels que nous sommes et le maintien d’un certain équilibre anti-déflagration de cette humanité. Serviteurs du divin répondant au nouvel appel pour l’éclosion d’une nouvelle dimension de Vie issue de ce cloaque que nous connaissons aujourd’hui. De ce bourbier d’infecte puanteur, il ne restera rien ; absolument rien, cela a été prédit depuis bien longtemps. Tout ce qui ne sera pas né d’esprit devra être déraciné. La troisième dimension de la première densité de ce point de la création sera entièrement vidée de toutes formes de vie. Je suis parfaitement conscient qu’une telle déclaration puisse choquer certains d’entre vous, mais avouez qu’il est tout à fait illusoire de vouloir reconstruire un Éden planétaire dans une poubelle. Ces mots vous dérangent, soit, mais cela ne saurait rien changer à la réalité. Si vous pensez que l’avenir de cette humanité est de renaître de replâtrages, fussent-ils même à tendances spirituelles, c’est que votre vision, par manque d’ambition, s’avère être bien trop étriquée. Élargissez votre vision, osez. Ne nous accrochons surtout pas aux sophismes des scientistes qui prônent depuis toujours l’illusion de l’évolutionnisme humain, ceux-là mêmes qui s’évertuent à faire pousser une fleur sans graine ; ne nous accrochons pas aux dogmatismes religieux qui, comme les scientistes, n’enseignent et ne prêchent que l’illusion de l’évolution spirituelle subordonnée à l’obéissance à… Le plan divin que je perçois est bien plus ambitieux que tout ce que l’on a pu vous raconter jusqu’à présent. En effet, les éveillés issus de cette humanité vont devoir vivre prochainement sur la dimension et densité correspondant à leur niveau d’ascension de conscience et en cela n’allez surtout pas croire qu’il ne s’agisse là que d’une simple poignée d’humains vêtus de blanc pour cette sainte occasion avec leur front ceint du joyau de l’« Élu ».

 

Mais je m’envole et j’oublie de vous parler de mon propre parcours. Nous pouvons essayer toutes les techniques ésotériques, mystiques, « énergéticoméditayogaïques » que nous décréterons comme idéales et uniques, bien qu’apportant quelques soulagements et constructions temporaires, nous ne ferons qu’effleurer l’initiation véritable. Alors que nous faut-il entendre par véritable initiation : c’est la voie unique qui mène au Père, celle du christ, celle qui consiste à détruire, non sans douleurs, la fausse image de notre personnalité inférieure pour la remplacer par le pur miroir dans lequel puisse enfin se refléter ce que nous sommes en réalité. Cette alchimie ne peut se réaliser que de l’intérieur sous la gouvernance de notre véritable loi d’expression, notre loi d’Amour. L’impulsion première, la mise sur les rails, doit donc se faire par l’ouverture du moyen préincarnationnel dont nous avons parlé plus haut. Ce moyen, toutes les âmes qui ont désiré connaître Dieu dans cette incarnation le possèdent. Quant aux autres elles suivent leur parcours karmique, car tel est leur choix. Donc pas de prosélytisme forcené mais plutôt du respect.

Cet enseignement ne provient nullement d’un ordre religieux, ni mystique, ni sectaire quel qu’il soit. Il y a quelques décennies je faisais la rencontre de celui qui allait déclencher en moi un processus inexorable consistant en une syntonisation intérieure avec nos propres archétypes spirituels universels. Un long travail de cheminement synergétique s’en est suivi, imposant son propre processus alchimique. Il ne s’agit nullement d’avoir reçu au creux de l’oreille quelques secrets maintenus sous le manteau et réservé à quelques privilégiés.

Une initiation aboutissant à retrouver la Vision de notre réalité : que faut-il entendre par là ? Sans cette vision juste, il nous est im..po..ssi..ble de terminer l’œuvre de notre reconstruction alors divinement initialisée. En d’autres termes, nous pouvons prétendre au but tant désiré, au but ultime, à notre propre réalisation que si nous savons nous réaliser intérieurement, si nous comprenons parfaitement le fonctionnement de notre cocréation inférieure, si nous savons finir divinement ce qu’en un temps nous avions commencé en tant qu’Être divin et interrompu lors de notre descente dans une cristallisation extrême de notre substance. Le miroir naturel que nous sommes censés être ne peut être formé que par l’esprit. Un miroir en lequel l’informe que nous sommes peut enfin se mirer et se connaître. C’est un chemin pour lequel il est éminemment nécessaire de s’armer de persévérance, de patience et d’indéfectible fidélité à sa vision. Si la première étape, qui nous conduit jusqu’à notre IMAGE divine, s’avère difficile de par les doutes et les remises en question constantes qu’elle nous suggère, la deuxième étape, quant à elle, nous voit munis d’une force inextinguible, animée et soutenue par cette vision juste, celle qui nous permet, d’une part, de répondre enfin à la question : « qui sommes-nous » et d’autre part de comprendre, avec grande acuité, comment réaliser le Verbe divin au sein du fini.

Parvenus à ce stade notre langage change par le simple fait que nous pensons, voyons et agissons en temps qu’entité trinitaire, en regardant du haut vers le bas, le bas qui n’est autre que notre humanité christ, notre humanité pétrie des énergies christiques. Lorsque nous nous éveillons à notre réalité, la nature du Saint-Esprit est celle que nous abordons en premier lieu ; puis nous nous identifions et comprenons que nous sommes le christ, notre loi d’expression, ce dernier mène directement au Père, notre JE SUIS DIVIN. Ainsi, préalablement à toute pensée infusée, à l’origine de toute action, il y a notre courant de vie obligatoirement qualifié par la loi d’Amour, par Christ. Prétendre exprimer le Verbe divin par simple invocation n’est qu’un leurre largement diffusé par les faux enseignements du New Age et les courants religieux.

À ce stade nous comprenons qu’il faut faire un dernier pas qui consiste à aller au-delà du Père que nous sommes, aller jusqu’à Dieu. Dieu prend forme par la conscience et la conscience c’est l’Homme dans la pensée de Dieu, l’Homme dans le Ciel de notre Être. Il est impératif de conscientiser le fait que nous ne prenons contact réellement qu’avec ce dont nous aurons préalablement pris conscience. Tout est intimement lié.

En se cocréant Lui-même, en devenant l’incarnation de son Verbe divin, l’humain-christ sert l’humanité toute entière car il ne désire rien pour Lui-même mais pour la compréhension de tout ce qu’il sait être et ce au travers de l’expérience de son humanité.

Plus haut situons-nous notre conscience plus parfaite devient notre forme et plus haute sera l’expression de notre œuvre. C’est vers cela que nous tendons éternellement.

En l’état de notre présente humanité, il est clair que pour chacun d’entre nous les choses n’ont jamais été simples et ne le sont toujours pas. Pour beaucoup d’entre vous, je présume que depuis que vous êtes en âge de penser vous avez dû percevoir les mêmes troubles et les mêmes désagréments, cette drôle d’impression de ne pas comprendre le monde qui vous entoure, ne pas ressentir de liens familiaux normaux et peut être même culpabiliser à ce sujet. Vous pressentez la réalité, ou du moins vous sentez clairement que celle qui vous est présentée n’en est pas une et pourtant personne ne semble vouloir l’entendre, accentuant, si besoin en était encore, ce sentiment de solitude qui est notre lot en ce monde.

La mode New Age, car c’est une mode, surfe sur les enseignements non plus gnostiques mais sur cette illusion de crédibilité absolue, pour être en ligne directe avec le Ciel, que représentent les contenus canalisés. Je n’ai strictement rien contre cela, certains contiennent, bien souvent malgré eux, quelques perles de Lumière qui peuvent entrer en résonance et synergie avec l’âme ; tout est utile, même les œuvres ombrageuses peuvent porter en elles la volonté divine lorsqu’elles veulent simplement singer la Lumière. Canaliser n’est autre qu’un des multiples pouvoirs de l’âme auquel nous pouvons nous « brûler » lorsqu’il s’avère ne pas être en adéquation avec la hauteur de conscience permettant l’extériorisation de ce pouvoir. Nous retrouvons là la clé de notre renaissance, clé que nous retrouverons tout au long de cet ouvrage, à savoir que « nous ne pouvons entrer en contact qu’avec ce dont nous aurons préalablement pris conscience et devenu cette conscience » (bis repetita placent).

Au sein même d’une véritable initiation le disciple est testé durant un temps certain afin de bien savoir si c’est la Lumière qu’il désire ou bien inconsciemment les pouvoirs. La nuance entre les deux, pour certains, peut ne pas paraître aussi évidente au premier abord, mais les œuvres de l’ombre, prônant les pouvoirs pour atteindre la Lumière, sont pleines d’enseignements à ce sujet.

Nous ne voulons pas dire par là que les pouvoirs soient négatifs, nous ne disons rien de tel, mais posons-nous la question de qui dirige la main, se trouve-t-il sur l’adret ou l’aber de la création vivante.

Une réaction symptomatique, inconsciemment mise en œuvre et bien souvent rencontrée au sein d’un cheminement, réside dans le fait de discréditer la part de vérité incarnée par une âme éveillée, à tel point que si Dieu Lui-même se présentait, imaginons, on lui proposerait certainement tel ou tel stage d’éveil ou de développement personnel en vogue, quelques lectures, ou quelques visites chez un thérapeute de notre connaissance. Sur notre chemin nous ne manquons pas de rencontrer des êtres nous affirmant, avec un superbe aplomb, qu’ils ne prétendent nullement être encore sur la voie, vous laissant entrevoir en cette affirmation une garantie de leur sérieux et crédibilisant ce qui va suivre en se dédouanant egotiquement, nous disant : « mais en ce qui te concerne je peux te dire que tu n’y es pas du tout, mais alors pas du tout (sur la voie) ! ». Imaginez un aveugle de naissance qui vous affirme que ce que vous voyez n’existe pas ! Il y a en ce monde un vieux syndrome bien ancré dans le subconscient qui pourrait se résumer ainsi : « Je veux bien trouver et devenir cette grande Lumière mais à une condition, c’est que les autres ne le puissent point ». Cette seule démarche, par le simple fait que les autres c’est nous, nous coupe de cette possibilité de recevoir ce que nous refusons aux autres. En fait, les « âmes individualisées » en incarnation, nous examinerons plus loin cette différentiation des âmes, sont encodés pour reconnaître prioritairement la vérité, non extérieurement, mais en utilisant seulement le processus interne de reconnexion.

Peu importe la forme que peu prendre notre vision elle n’est qu’une portion du cercle infini de la Réalité sur lequel chacun se positionne ; mais le simple fait de se situer sur ce cercle nous rend efficient par l’investissement du Christ. Toute notre évolution spirituelle est destinée à faire progresser cet arc de cercle jusqu’à embrasser tout le cercle, donnant ainsi au verbe divin que nous sommes l’opportunité de s’expérimenter toujours plus parfaitement.

Au sein même d’un certain enseignement nous aurions pu lire, gravée sur la clé de voûte, cette grande vérité :

« Si j’ai raison, cela ne veut pas dire que tu aies tort ».

En d’autres termes les manières et les formes empruntées ici pour évoquer les mondes de Lumière en Nous, et j’aime à le répéter, avec toutes leurs limitations, ne peuvent être qu’une facette de l’imprononçable et indescriptible Réalité ; prétendre le contraire serait non seulement une hérésie mais aussi une tromperie.

Lorsque j’agis, je ne le fais pas en évoquant ou invoquant la sainte trinité mais en étant celle-ci ; pour être celle-ci, il est bien évident qu’il y a un préalable qui réside dans le fait essentiel et incontournable d’être l’incarnation du verbe divin.

« Ce n’est pas moi qui fais ces choses, mais le Père en moi ».

Comme tout un chacun, je m’imaginais qu’il fallait obligatoirement être pleinement réalisé pour permettre à cette trinité d’Être d’agir comme elle le veut dans le monde de la création ; eh bien non, mes amis, et certains l’ont bien compris et en ont parfaitement conscience. Ils l’ont bien compris dans la mesure où ils qualifient préalablement et consciemment leur courant de Vie par Christ afin que la force qui agit ici en ce monde soit celle du corps de Lumière et de nul autre. Aucun sentiment ni aucune pensée ne viennent interférer alors dans cette action ainsi non conditionnée. Agissant ainsi, l’Être que nous sommes le fait pour et par son humanité.

Si j’ai pu, ça et là, parler d’initiation, c’est qu’elle fait partie de mon propre chemin de Vie. Mais n’allez pas vous imaginer, à tort, que cette forme de trajectoire personnelle qu’a pris mon âme pour cette existence soit incontournable et revête en quelque sorte un caractère d’universalité, car chaque âme écrit son propre parcours selon l’histoire enseignante qu’elle choisit. La Vie est notre maître, son intelligence est infinie, au sens large du terme, toute forme d’existence, quelle qu’elle soit, est initiatrice.

Une véritable initiation n’est pas là pour figer le mental inférieur au travers d’enseignements à intellectualiser à souhait. Cette manière de faire pourrait être un piège sclérosant pour un temps ou des temps, ou au mieux un handicap entraînant, malgré lui, de nombreuses difficultés à surmonter.

L’initiation n’est qu’un mot, trop souvent galvaudé, au travers de la littérature, la filmographie et les textes aux contenus ésotériques, créant malgré lui des images d’Épinal telles que celles de cryptes secrètes, de grimoires anciens, de pactes et serments, etc.

L’initiation selon la forme qui a été la mienne pourrait se résumer en ces quelques images : Une Clé en vous est activée, il vous reste, si l’on peut exprimer les choses ainsi, à la tourner, à pousser la porte, à pénétrer dans la pièce, à la remplir de Lumière en ouvrant les fenêtres et à y Vivre, afin de grandir en ces retrouvailles selon notre divine loi d’Amour. Vaste programme me direz-vous et vous aurez raison. Se retrouver, durant ce qui va vous sembler ne jamais devoir aboutir, dans une situation intérieure fort inconfortable, entre ciel et terre, en ce qui vous semble être une errance sans fin, voilà ce qui m’a été donné de vivre. Une vision intérieure qu’il vous faut reconstruire, telle un puzzle, pièce après pièce en partant du fini qui vous est encore compréhensible vers l’informel total. Il nous ait intuitivement demandé de lâcher prise avec nos certitudes mentales inférieures. Facile à dire mais ô combien difficile à mettre en place ; demandez à un alpiniste de se lâcher des deux mains, combien le feront ?

Tout ce qui, objectivement, sous formes extérieures finies, vous est proposé, vous conduit immanquablement vers une voie sans issue, vers la non-réalisation, vers l’échec souvent incompréhensible, comme si agissait là une force obscure tendant progressivement à vous orienter vers une force beaucoup plus intérieure. C’est le but, à percevoir soi-même.

À y regarder de plus près, nous pouvons dire que toute cette humanité est sur cette voie initiatique, soumise à des propositions extérieures de toutes natures et ce depuis fort longtemps, la menant inéluctablement à l’échec, et cela quelles que soient ces propositions.

Oubliez ces illusions, si souvent rêvées, consistant à imaginer féeriquement que par imposition des mains ou que par l’effet d’une « baguette magique » l’on puisse, en un instant, se retrouver la « tête dans les étoiles ».

Ce faisant, le chemin peut être plus ou moins long, selon l’histoire écrite pour chacun de nous par notre âme. Patience, humilité et acceptation sont les maîtres mots nous guidant en cette œuvre sublimement alchimique. Une œuvre consistant essentiellement en une détoxication de nos corps inférieurs. Le reformatage de notre « miroir » ne peut être réalisé que par le maître d’œuvre, notre esprit.

Ce que j’ai reçu et réussi à faire vivre en moi, je me dois de le donner, ainsi va l’énergie afin qu’elle soit éternellement féconde.

Ainsi, ce livre, si imparfait soit-il, peut, si cela correspond à ce que votre âme a déjà écrit et préparé pour son expérience, être l’activation de cette Clé intérieure qui en un temps fut en moi stimulée sur des plans plus subtils.

Il est fort possible aussi, car tous les plans sont concevables, que vous ayez reçu cette Clé dans une autre existence, car ne nous y trompons pas, le chemin ainsi parcouru vers notre divinité s’avère, vous l’aurez bien compris, sans fin, éternel, tout à la fois se déployant au sein de l’illusion de notre création multitemporelle aussi bien que dans l’instantanéité. De la même manière et pour la même raison il se pourrait aussi qu’il s’agisse d’un autre aspect de vous-mêmes, sur une autre expérimentation simultanée, qui l’ait activée et que par effet d’unification de votre Être vous deviez ressentir vous aussi, par synergie, cette ouverture initiatique.

L’être de chair et de sang, émotionnel et mental est la base du pilier de l’Être qui n’est pas de ce monde mais qui, par lui, agit en ce monde. Il, l’être corporel, doit donc obligatoirement être investi, il doit représenter la force de cet Être créée par Lui-même et par nul autre.

Aujourd’hui, personnellement, je pense qu’aucun Serviteur éveillé n’a à prendre son bâton de pèlerin et parcourir le monde et ainsi s’exposer bien inutilement au fracas des forces d’opposition. Le seul fait qu’il devienne, progressivement, la forme que sa nouvelle conscience lui permet maintenant d’être, fait qu’il devient le « canal » qui accepte que le divin agisse intérieurement en son humanité et en cette dimension de vie. C’est à ce titre que les Serviteurs ne sont pas venus afin d’appliquer des pansements d’Amour sur une humanité qui a décidé de dormir, mais sont venus déclencher le fracas des « épées ». Les Serviteurs vont s’asseoir au centre de la conscience de leur Être, regarder l’ancien monde s’autodétruire et permettre, de par leur position d’incarnés, la venue, sur cette sphère, de la voie christique pour les chercheurs sincères. C’est sûrement dans cette position que l’on pourrait parler de véritable méditation. Ce ne sont pas les Serviteurs qui font cela mais le Père en eux qui le fait.

 

 

 

 

 

 

MYSTIQUE OU INITIÉ

 

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 La seule différence entre les deux pourrait résider dans le fait que les channels disent n’être que les « messagers du Ciel » et les mystiques les « Aimés du Ciel ».

Et dans tout cela il reste l’initié, parvenu au terme de son ressouvenir, le Connaissant, qui se retrouve apparemment bien seul dans tout ce panel de sources authentiques, ne peut témoigner que pour Lui-même. Pour un temps, il sera, et il le sait, le plus rejeté, car le moins crédible aux yeux de ceux qui encore ont besoin d’écouter, comme ils liraient un journal, ceux-là se nourrissent encore d’infos et non d’éveil, de résonances cardiaques.

L’initié n’est pas cet amoureux qui s’est perdu, pour un temps, dans son immense besoin de retour à la maison, mais il est celui QUI S’AIME en lui et en l’humanité, sans omettre une seule forme de Vie. « Tant que l’humain ne pense recevoir que rituels initiatiques et enseignements du Ciel, il fait fausse route. Il y a de l’inconséquence à vouloir croire que Je puisse nourrir ainsi celui qui ne comprend pas ce que Je Suis, ce qu’Il Est en sa sublime réalité d’une part et ce que Je Suis POUR Lui d’autre part ; le palier le plus délicat et difficile à franchir étant bien celui-ci. »

………

« Si les mystiques s’investissent dans la contemplation de ma présence envahissante en toutes formes de vie, afin d’essayer de resserrer sans cesse les contacts et les liens avec Moi l’initié quant à lui – bien que ce terme à mes yeux s’avère très limitatif et ne puisse correspondre en définitive qu’au début de la route qui mène vers Moi, et j’entends bien en cette trajectoire celui qui après moult errances et qui finalement, en une furtive vision infiniment pénétrante, regarde dans la bonne direction de son Être – gravit les hautes et difficiles marches qui le mènent à Sa VISION.

…..

Lorsqu’Il est alors investi de sa propre image divine il sait parfaitement et « indétrônablement » qu’Il est le facteur le plus important qui gouverne Ma, SA Vie. »

 

Dieu étant la source de toute vie il nous est demandé de nous positionner par rapport à ce courant : L’humain doit-il servir cette source ou bien servir à cette source ?

 

 

DÉNONCEZ VOTRE PACTE SATANIQUE

 

 

Je ne me lancerais pas avec vous à faire l’inventaire de l’état du monde dans lequel vous avez cette expérience de Vie. Devrais-Je n’être seulement et illusoirement qu’exhaustif en ce triste labeur qu’il me faudrait plusieurs ouvrages pour en venir à bout. Et de constater qu’en définitive ce ne serait qu’énoncer des évidences pour les âmes prêtes à passer à autre chose dans leur trajectoire de Vie, ou un simple état des lieux pour les évolutionnistes fatalistes, opportunistes, dont les âmes encore profondément ancrées dans la matière souveraine, sentent qu’ils ont encore quelques voies non explorées à parcourir.

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L’intitulé de ce chapitre n’est pas une injonction mais une incitation. Lucifer, Satan, deux termes tout autant répandus dans vos écrits que celui de Dieu. À ce stade de notre écrit que pourrais-Je vous en dire ? Sinon que ces termes, en leur essence première, n’ont rien à voir avec la définition qu’en ont fait vos enseignements religieux. Vous êtes créateur, quoi que vous en pensiez. Mais créateur de quoi ?

……..

 

Le pacte divin que vous avez contracté avec votre Esprit c’est de manifester en so nom la Joie du Bonheur, de l’Harmonie, de la Santé, le l’Abondance et de l’Amour. Un simple regard sur la situation dans laquelle se trouve cette humanité, avec un minimum de discernement et d’honnêteté, peut poser un diagnostic d’échec total, la fleur est nullement en adéquation avec le programme contenu dans sa graine.

Alors, me direz-vous, comment rétablir cette connexion intime avec ce qui est votre Soleil intérieur ? Ou autrement dit, comment reprendre contact avec le promoteur et les plans de l’architecte afin de bâtir, voire rebâtir, la demeure idéalement conçue en esprit. C’est le sujet central de cet ouvrage, nous le développerons tout au long de ces pages.

 

 

ÉMANCIPONS-NOUS,
DEVENONS LIBRES

 

 

Nous venons de voir qu’adhérer au pacte de Satan, à celui de la séparation d’avec notre véritable nature divine, nous impose, sans que nous puissions nous en rendre compte immédiatement, car le processus est savamment pernicieux, de nous manifester, de vivre au détriment des autres, de la nature, de la Terre, du Tout. En d’autres termes, si nous ne savons plus faire venir notre nourriture de l’intérieur alors, il ne nous reste plus qu’à la prendre à l’extérieur. Tel est le sens unique que propose ce pacte.

……

La disharmonie règne en maître, vous réduisant à l’esclavagisme, à la souffrance, à la misère, pour vous être soumis à la part d’ombre qui en vous s’offre à la manipulation de nos frères et sœurs qui, dans leur grande ignorance, s’imaginent être élus au sommet de cette pyramide d’humains, troquant au passage leur masque divin contre celui de prédateur.

Combien de fois êtes-vous passés par ce troc, pesant de tout votre poids sur le « reste » de cette humanité, nous en délectant, nous en glorifiant.

Combien de fois avez-vous geint, écrasés par les vicaires de dieu autoproclamés nous inculquant ce que vous devriez penser, dire ou taire, ce en quoi vous devriez croire, ce à quoi vous aviez droit, peut être de vivre ou de mourir, selon le plaisir souverain de vos seigneurs et maîtres.

Le collier que l’un de ces « maîtres » pose sur ses « sujets » ne laisse pas de trace sur leur cou. La subtile empreinte laissée pénètre l’âme, de plus en plus profondément, jusqu’à l’asphyxie, lobotomisante, faisant de la plus belle des créations, de la plus fabuleuse des formes de conscience par laquelle le créateur divin entre pleinement en son processus d’autorécognition, qu’une « chose » sous sa domination, à son service.

En cet appauvrissement de l’âme humaine, qu’est devenue sa liberté absolue, dans l’harmonie totale de toutes les expressions possibles, qu’est-elle devenue ?….

……..

 

Contrôleurs, contrôlés, la bipolarité de la souffrance. Il est alors normal que vous tous, qui êtes appelés par la Vie à lire ces quelques pages, vous soyez las de chercher une porte de sortie, ou plus exactement la porte d’entrée de votre « chez vous ».

Il est un sentiment communément partagé en ce monde, celui d’être expulsé de chez Soi, perdu dans un dédale que vous ne comprenez pas, à « maudire » le Ciel pour être si ignoré, savamment détourné des bonnes choses apparemment réservées aux plus vilains, aux pas gentils. Beaucoup de frustrations incomprises, donnant naissance à un profond sentiment de « trahison ».

……….

Nous sommes, durant notre expérience terrestre, ce que nous avons voulu être, il nous faut l’accepter si nous voulons pouvoir changer grâce à notre Soleil intérieur. Il est illusoire de pouvoir « évoluer » hors du nid si nous nions être, d’une part, l’état d’être que nous sommes ici, avec ses propres masques, et d’autre part ce magnifique Soleil Primal.

Vers qui, vers quoi, se tourner afin d’espérer une juste guidance ?

 

Nous nous sommes donné le choix entre :

 

« S’AIMER »

ou « ÊTRE AIMÉ »

 

À ce stade de la lecture de cet ouvrage « s’aimer » pourrait paraître quelque peu révélateur d’une nature et d’un comportement quelque peu égocentrique, mais à y regarder de plus près nous verrons que c’est là l’attitude juste et unique, dans la mesure où nous devenons conscient de notre vraie nature.

……..

Ne vous laissez pas subjuguer, hypnotiser, abuser par les pouvoirs. La panoplie « New Age » vous en propose à profusion, tels que la reconnexion d’avec les frères et sœurs résidant sur certains plans supérieurs au nôtre, que la réactivation de nos brins d’ADN, etc… Mais en ignorant qui nous contactons, qui nous suivons ainsi aveuglément, qui nous écoutons, en ignorant ce que peut représenter l’éveil des brins d’ADN, soyons sérieux. Nous pouvons cheminer ainsi de stage en stage, de séminaires en séminaires et cercles de parole, mais au fond rien ne change, sinon notre compte en banque. Aller d’éveils en épurations des centres d’énergie que nous appelons les chakras, par de simples techniques gestuelles et prononciations de mots magiques, relève tout simplement de la même ignorance que celle qui a fait de cette humanité abâtardie de pauvres naïfs soumis a un dieu souverain et despote régnant en des cieux imaginaires sur un troupeau aussi docile que possible.

En nous connectant ainsi aux « guides », anges, archanges et trônes, « Grands Frères » dit de Lumière, nous prenons bien évidemment le risque de prendre la place de cette fleur qui, voulant ignorer ses propres codes de croissante formelle contenus dans sa graine, s’en référerait à tout ce qui pourrait provenir de l’extérieur, imaginez le résultat.

Dieu prend forme par la conscience et la conscience c’est l’Homme.

Partant de cette réalité nous pouvons facilement en déduire que le contact avec Nous-mêmes ne peut être effectif qu’à condition d’avoir pris RÉELLEMENT conscience de la forme idéale qui est la nôtre. Cette forme idéale n’est-elle pas notre loi de manifestation de notre divinité au sein même de notre expérience ? N’est-elle pas Christ ? Une toute petite minorité de cette humanité commence à percevoir et concevoir parfaitement que la clé qui ouvre les portes de notre paradis, ici, sur cette planète, réside dans la plus grande des forces qui soit, celle de l’Amour VÉRITABLE. Mais il est bien clair que la nature même de cette force échappe encore à la conscience de cette humanité en phase d’ascension. Compte tenu de ce qui précède, nous comprenons bien qu’il nous faut, afin de prendre réellement contact avec cette force et l’incorporer, prendre préalablement conscience de sa vraie nature et de qui nous sommes en réalité. Cet Amour n’est pas, en soi, une certaine émotion, une certaine sensation de bonheur.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

CE FRÈRE DU CHRIST NOMMÉ… LUCIFER

 

 

Blasphème ? Provocation ? Une illusion de plus ? Qu’est-ce en réalité que « Celui » qui en de saintes écritures fut décrit comme le plus beau des anges au royaume de Dieu et à qui il est fait un divin procès ?

Il faut qu’ici les choses soient remises à leur juste place, qu’un pan du voile mensonger et de l’ignorance soit retiré. Ici l’anthropomorphisme de la déité laisse place à celui qui aurait chuté et dont le procès serait en attente afin que justice divine soit faite. Mais, voici que le procès est toujours sur le bureau du juge et que la prison est divinement vide.

Croyez-vous sincèrement en ces fables d’un autre âge, destinées à endormir les âmes afin qu’elles ne puissent point cheminer vers leur divine réalisation ? Soyons sérieux quelques instants.

Ce qui est révélé ici, en ce qui concerne cet Ange intentionnellement drapé de noir, à qui l’on ne fait ouvrir la bouche que pour vomir les lois divines, de la même manière et pour les mêmes raisons que le fût aussi la Mère divine, relève de la plus grande, de la plus dramatique des duperies.

Ce n’est pas par hasard que nous voyons ces deux « Êtres » accusés des pires crimes. L’un poursuivi pour avoir fait chuter l’humanité, quant à la deuxième avec dans son dossier rien moins que le « péché originel », hou la méchante, à qui l’on devrait tous nos malheurs expiatoires.

……..

Les forces de l’obscurantisme ont donc perverti la réalité de la nature profonde et réelle de l’Être que nous sommes, voilà la réalité du dossier. Sans la Mère divine et la force que représente Lucifer il n’y aurait aucune chance pour que le divin puisse s’évaluer, se reconnaître, prendre conscience de Lui-même. Prendre conscience de Lui-Même ! Le Divin créateur originel, la source de toute vie, serait-il inconscient ? En cette interrogation demeure un grand mystère qu’il nous faut dévoiler en ces pages.

………

Une légitime interrogation pourrait nous faire poser la question de savoir pourquoi, dans quel but, tant de distorsions ont été volontairement introduites au sein même des enseignements religieux. À qui peut bien profiter le crime.

Pour faire court nous pouvons dire que tous les rituels utilisés par les cercles concentriques sont « piégés ». Certes il faut être plus qu’initié pour déceler les pièges, tant ils sont subtils. Et en nous adressant à tous ceux qui de près ou de loin participent, au sein de leur groupe d’adhésion, à tous ces rituels, de ne surtout pas culpabiliser car votre sincérité du cœur n’est pas à remettre en question.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

NOTRE CORPS EST DIVIN

 

 

Il serait peut être plus judicieux de dire « nos corps d’expression » sont divins. À partir du moment où le sans forme, le Seigneur dieu de notre Être, sort de l’informe absolu, nous ne pouvons éviter de parler de formes, tant spirituelles que matérielles, étant bien compris, et nous nous sommes déjà expliqués sur ce fait, qu’il est hors de question ici de formes du mal. La forme n’engendre pas forcément la souffrance, à moins qu’elle ne soit formée par l’être détaché de son Centre divin. Toutes formes sont, si elles sont initialisées par la Lumière que nous sommes, non pas l’expression totale et parfaite de l’unité insécable, mais n’en doutons pas un seul instant, l’expression harmonieusement finie faite à l’image et à la ressemblance de notre Être infini. Et pour être plus exact il nous faudra là aussi éclairer ce mystère de l’expression finie modelée à la ressemblance de l’image.

……….

Ainsi nos corps d’expression demeurent être l’interface entre ce que nous sommes et ce qui est exprimé extérieurement. Lorsque nous agissons nous ne pouvons savoir exactement quelle forme prendra cette manifestation « extérieure ». Seule l’intelligence infinie, maître d’œuvre divin, sait ce qui correspond le mieux à l’harmonie du tout. Et peut-être que l’intelligence décrétera qu’il n’est pas opportun d’exprimer quoi que ce soit… pour l’instant ; c’est là la prérogative suprême du Tout préservant l’équilibre et l’harmonie du Tout.

Vous l’aurez parfaitement compris, la qualité de nos extériorisations va dépendre avant tout de la qualité, de l’intégrité de l’interface que nous offrons à notre Être. Si nous désirons exprimer ce que nous sommes par cette interface il est préalablement adéquat de devoir créer cette interface idéale. Comment devrions-nous nous y prendre ?

Tout est et demeure à tout jamais être une question de conscience. Et comme j’aime à le répéter intentionnellement tout au long de ces écrits : « nous ne prenons contact qu’avec ce dont nous aurons préalablement pris conscience ».

« L’Être ne peut faire… pour nous… que ce qu’Il peut faire…..par nous ».

Et « Nous ne pouvons prendre contact qu’avec ce dont nous aurons préalablement…. pris conscience,… réellement conscience ».

C’est en ces termes que demeure la clé de la cocréation divine dont l’unique but demeure à tout jamais notre autorécognition.

 

……….

 

Ainsi lorsque nous cocréons divinement nous le faisons consciemment en nous étant au préalable posé les bonnes questions, à savoir :

 

Qui crée en lieu et place de cette identité terrestre que nous connaissons depuis notre enfance ?

Selon quel plan et quelles procédures opère-t-il ?

Quelles sont les forces mises en jeu ?

 

En guise de questionnement nous venons de poser un triptyque. Un triptyque faisant miroir à l’aspect ternaire du Verbe divin. Voyez cet Homme, que nous sommes, dans le Ciel, que nous pourrions aisément, par analogie, comparer à un bâtisseur qui :

………..

 

                

Ainsi nous sommes des dieux cocréateurs de Nous-mêmes dans des formes évolutives finies, afin de prendre conscience de Nous-mêmes, informel, infini à tout jamais.

 

Ce n’est pas à nous de décider des modalités de manifestation mais au Christ que nous sommes, à cette réalité de laquelle cette humanité s’est déconnectée depuis maintenant beaucoup trop longtemps. Et lorsque nous parlons de modalités il faut bien entendre la ou les formes que doit prendre cette limitation de l’infinitude, mais aussi le lieu, le temps et en définitive de savoir s’il est tout simplement judicieux qu’il y ait cette manifestation.

………..

Depuis l’avènement du New Age il est beaucoup question de travail sur soi. Certes, en dehors de la grande majorité des techniques, qui ne sont en fait que des impasses aux buts plus que douteux et ombrageux, il est bien évident qu’il est nécessaire, et vous l’aurez bien compris, de remettre le corps en l’état, tel que le Seigneur Dieu le désire en permanence en son Esprit et le maintient rayonnant en son Âme Christ. Loin de nous l’idée de vous dire que tout ce qui existe aujourd’hui, en tant que techniques, afin d’améliorer la « bâtisse » humaine, est sans fondement christique. Il serait fort péremptoire de notre part d’affirmer une telle exhaustivité. Il y a encore quelques enseignements et techniques ayant su résister à l’effet de la pénétration des forces de l’ombre. Ce n’est pas à nous de vous les révéler, mais bien à vous de les reconnaître si votre feuille de route vous permet de les croiser sur votre chemin.

…….

Confiriez-vous la construction de votre demeure à des supposés artisans sans leur fournir les plans et les techniques de constructions spécifiques que seul vous, le maître d’œuvre, le Christ, connaissez parfaitement, assurément non. Alors pourquoi chercher et faire appel à l’extérieur pour ce faire ? Puissiez-vous simplement imaginer les possibilités de manifestations avec un tel corps, ou pour être plus précis avec un tel complexe corporel.

Le monde en lequel nous expérimentons actuellement la Vie apparaîtrait totalement différent de ce qu’il est.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

VISIONS SUR LE PROBLÈME DU BIEN ET DU MAL

 

 

 

Le BIEN, le MAL, antagonisme s’il en est, trouve-il en la divinité une source possible ? Cela a-t-il simplement un sens ? Nous vous livrons ici quelques visions afin que vous puissiez étayer personnellement votre propre compréhension sur cet aspect de la connaissance.

Désirer à tout prix plaquer, sur cette pensée, une idéologie, un substrat religieux, voire même un essai d’œcuménisme planétaire, vous a menés, durant toute l’histoire de vos civilisations, à des drames humains sans bornes.

Vous ne savez en fait que faire de ce binôme, bien et mal, sans qu’inévitablement vous ne tombiez dans les rets de cette pseudo-réalité qui est celle de la dualité, qu’inconsciemment, et par voie de conséquence, vous l’éleviez obstinément jusqu’au sommet de la divinité, allant bien évidemment jusqu’à faire de ce Dieu un dieu de Lumière et un dieu des ténèbres comme les deux faces éternellement inséparables d’une même pièce de monnaie.

………

Nous voyons immédiatement l’importance primordiale que revêt alors la qualification préalable par l’esprit de l’énergie alors créée. Il devient dès lors bien évident que l’humain doit, s’il veut manifester le divin dans le monde de la création tout entière, préalablement, reprendre les affaires divines là où il les a laissées tomber dans sa descente en cette dimension d’extrême cristallisation de la substance divine et ainsi les requalifier. Il doit obligatoirement finir d’être ici et maintenant ce qu’il veut être, soit l’Humain-Divin, le prolongement, la continuité de ce qu’Il EST. S’il, l’humain, n’est pas investi de sa propre identité et nature divine, comment espérer qu’alors il puisse prétendre à l’extériorisation de ce qu’Il EST ?

En d’autres termes, ce que vous créez vous ressemble, les circonstances constituant votre existence sont à l’image et ressemblance de votre état de conscience.

……….

Certaines rumeurs philosophiques circulent parmi vous en affirmant que le mal est la contrepartie du bien sans lequel vous ne pourriez pas révéler cet idéal, taratata…

………

En résumé, le bien, ou plutôt le bon, n’est qu’une expression finie du Bien, il n’y a rien à redire. Quant au mal ce n’est en aucune manière, de près ou de loin la contrepartie nécessaire au bien. Le mal c’est le mal, un point c’est tout, il n’a qu’une illusion d’existence d’emprunt au sein même de votre bulle séparatiste.

 

……….

J’ose ouvrir, ici, un petit coin du voile : Le plan vibratoire terrestre doit donc traverser ce qui pour l’ancien monde représentait le plan des démons du bas astral. L’ensemble de ces entités, désincarnées, mais restant encore ancrées au plan terrestre, se nourrissant d’une certaine qualité de votre éthérique, afin de perdurer dans leur forme, substance éthérique ne pouvant être générée qu’au travers du statut d’incarnation, voient mal votre éventuelle disparition de ce plan actuel. Elles feront et font tout ce qui est en leur pouvoir afin que vous y restiez. Cet inéluctable rapprochement de leur plan, permet la multiplication des contacts avec ces entités contre-nature. Ceci n’est, bien évidemment, que l’un des aspects de la grande falsification des temps nouveaux.

Négliger ou conserver ces liens infectieux reviendrait à garder des élastiques reliés à l’ombre du non-amour.

…….

 Aucune technique « extérieure » ne pourra vous y mener. Il est bien question ici de vous mettre à votre vraie place, celle du divin en vous, derrière la porte du cœur, et de continuer ce que vous aviez momentanément interrompu. Demandez à la Mère d’enfanter l’enfant-christ que vous aviez entrepris de devenir, afin d’agir en ce monde et dans tous les mondes. À vous de voir et de comprendre. Voir vous rend libre afin de vous permettre de comprendre ce QUE VOUS ÊTES, TOUT CE QUE VOUS ÊTES.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

DEUX HUMANITÉS ?

 

 

 

Ou plutôt, faudrait-il dire : « Deux états d’âme ».

Ce que je vais vous révéler ici n’était qu’un faux secret, bien gardé par certains, spéculant sur le fait que vous avez oublié qui vous êtes.

Vous avez gardé, enchâssée au plus profond de vous-mêmes, cette étincelle Solaire, celle de votre véritable nature divine. Si vous avez été appelé à lire cet ouvrage alors vous êtes assurément une âme individualisée partie à la découverte d’Elle-même. Le grand Esprit créateur, que vous êtes, s’est donné la divine possibilité de se mirer en un miroir et d’y voir et d’y vivre non pas ce qu’il est en Réalité, l’ange tombé du ciel, mais bien la face ombrageuse de ce qu’il n’est pas. Cette double négation pourrait paraître ambiguë si elle ne trouvait sa réalité dans le fait que le fini peut, comme nous l’avons déjà abordé, prendre une couleur lumineuse ou ombrageuse selon qui est motivé par l’Amour ou le non-amour. Ce qu’il EST étant déjà présent en lui, même s’il nie cette possibilité, cette vérité, il lui fallait une image de ce qu’il n’est pas et ne sera jamais, en laquelle puissent se mirer ses propres ombres, ses doutes, ses légitimes questionnements concernant sa réelle nature. Pour parfaire cette possibilité autorécognitive, en cette mise en scène « en relief », il fallait qu’il se confronte à un autre Lui-même… un autre Lui-même étant la contrepartie de sa nature profonde, Solaire, à une image renversée de ce qu’il est au plus profond de son Être. Cette inversion il la trouvera en des êtres, tout comparable à lui, en toutes les composantes de son complexe corporel inférieur, mais dépourvue…..

 Vous êtes leur futur, car ne vous y trompez pas, ils ne sont qu’au début de leur cycle cosmique qui doit, par des voies différentes de celle que vous avez empruntées, les amener à connaître eux aussi l’individualisation de l’âme christique et vous connaissez la suite pour l’avoir parcourue.

Une voie quelque peu différente car Alors, deux humanités ? C’est à vous de répondre à cette interrogation.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

DEUXIÈME PARTIE

 


 

 

À PAS DE GÉANT,
EN LIGNE DIRECTE VERS NOUS-MÊME
S

 

 

Les mots que vous lisez vous ne les avez pas choisis, ce sont eux qui sont venus à votre rencontre. Cette rencontre, ne vous y trompez pas, ne se situe pas sur cette dimension. La maison ne se loge pas Elle-même, le vêtement ne se vêt point Lui-même, le soleil ne s’éclaire pas. Vous ne rencontrez pas un ami, vous ne faites que rencontrer un autre aspect de vous-mêmes. Ces mots sont des retrouvailles avec votre propre histoire, votre réalité, votre mémoire d’âme, celle que vous avez commencé à écrire il y a des milliards d’années, avant que vous ne vous cristallisiez jusqu’à en devenir amnésique. Aujourd’hui vous avez besoin de retrouver et récupérer cette part vitale de vous-mêmes et nous sommes là pour vous y aider.

Vous sortez de dures et très pénibles expériences qui vous ont fait comprendre la folie de cette séparation. Après avoir vécu un vrai cauchemar vous désirez maintenant vivre un vrai rêve, votre réalité d’âme. C’est beaucoup plus qu’un rêve que vous allez découvrir en relisant vos mémoires, c’est votre vérité divine.

Un constat pourtant s’offre à votre conscience, rien de vos constructions dans l’ancien monde ne tient debout et il est bien évident que vous ne pouvez rebâtir sur des fondations issues des anciens schémas de vie et force est de constater qu’il vous faut donc tout reprendre à zéro.

Le constat est peut-être terrible mais inéluctable.

Vous avez cherché votre réalité au travers de tous les dogmes religieux, sociaux, politiques, culturels et scientifiques, jusqu’à leur usure complète, et force est de constater que non seulement rien en vous n’a bougé mais qu’au contraire, l’impression de plus en plus tangible, de vous sentir enserrés entre les mâchoires d’un étau invisible, s’avère de irrémédiablement incompréhensible et insoutenable.

………..

N’y aurait-il pas au fond de chaque être un verrou, un subtil mécanisme, un simple bouton sur lequel appuyer afin de déclencher automatiquement un puissant processus de croissance, de construction de ce quelque chose qui, au demeurant, pourrait faire de vous ce que vous n’êtes pas encore ?

Il semblerait donc que l’humain que vous êtes ait seul perdu l’accès à la lecture de sa mémoire de croissance, le coupant par conséquent de sa potentielle réalité et se sentant par là même obligé de s’inventer une autre lecture, celle des scientistes faisant croître une fleur sans graine. Par voie de conséquence il se retrouve aujourd’hui totalement démuni de son propre processus de croissance et d’expression de la Vie.

Depuis quelque temps nous voyons apparaître sur Terre des velléités d’émergences et de divulgations, plus ou moins confidentielles, de techniques d’éveil souvent basées sur le « travail sur soi ». C’est votre période New Age.

À moins d’agir à partir de la hiérarchie spirituelle, ou de son centre, le Christ, toute action sur soi, en vue d’une quelconque restauration dans l’axe de la Vie, ne peut qu’être un simple pis aller, sans la moindre efficacité, sinon, au mieux, une relative meilleure gestion de vos émotions et pensées destructrices. Viendrait-il à l’esprit d’une maison qui, ne se sentant pas correctement « vivante » et conforme à ce qu’elle devrait être, d’agir sur Elle-même sans préalablement se munir des plans de l’architecte et faire appel au bon entrepreneur ?….celui-là même qui est à l’origine de sa conception ?

De la même manière qu’il ne vous viendrait pas à l’esprit de vous laver jour après jour dans la même eau stagnante, il est tout aussi illusoire de travailler sur soi dans la bassine de vos propres corps émotionnel et mental sans avoir préalablement ouvert le robinet d’eau pure aux propriétés régénératrices, élémentaire, non ?

Tous ces efforts sont néanmoins très louables car ils témoignent d’une recherche de Lumière dans un monde où règnent les forces de l’ombre. Pour certains, plus téméraires que d’autres, toutes les explications qui vont suivre vont leur apparaître redondantes, voire inutiles. Je vois bien ce que ceux-là veulent, je les entends déjà dire :

« Ami, Frère, indique-nous le bouton sur lequel appuyer pour que tout ce passe comme il le faut, sans pour autant être obligés de rester pendant des heures les doigts de pied derrière les oreilles et ne respirant que deux fois par heure ».

Je réponds donc à votre appel, sans oublier pour autant tous les autres, ceux qui ont besoin de savoir pourquoi cela marche ainsi.

Si donc vous êtes l’un de ces chercheurs de bouton direct je vous donne rendez-vous au chapitre :

« Vivre spirituellement ».

Si après la lecture de ces pages vous désirez de plus amples explications alors revenez humblement en arrière et reprenez la lecture de cet ouvrage de façon traditionnelle. Vous découvrirez alors que la clé du mécanisme demeure à tout jamais l’état de conscience requis ; mimer ne suffit pas à ouvrir la porte.

Mimer est bien le mot adéquat pour décrire les pouvoirs de cette pseudo-spiritualité qui vous est servie en plat froid depuis bien trop longtemps maintenant.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

L’AMOUR INCONDITIONNEL

 

 

 

Avant de pouvoir aborder quoi que ce soit d’autre Je dois tout d’abord t’enseigner sur l’Amour. Tous tes propres malheurs résident uniquement dans le simple fait que tu méconnais totalement cette force. Voici un joyau à multiples facettes projetant dans une infinité de directions, comme vers autant de cœurs, une réalité dans un florilège de vérités compréhensibles. Selon la nature de ton cœur tu attires à toi la facette qui lui est en résonance dans l’instant. Il peut attirer à toi aussi bien les plus denses ténèbres comme les plus lumineuses composantes. Ton grand œuvre, mon bien aimé, n’est-il pas de tailler, de polir, cette pierre précieuse dans l’athanor de ton cœur afin qu’elle ne projette dans ton monde que tes desseins divins ?

Tu n’as jamais compris un traître mot de ce que Je disais et expliquais lors de ma dernière venue parmi vous au travers de votre frère Jésus. Cela a été d’autant plus vrai en ce qui concerne la signification et la réalité de l’Amour. J’avais alors l’impression d’être venu et d’avoir parlé trop tôt. L’essentiel de mon enseignement a, hélas, été interprété et déformé, laissant l’humanité dans l’ombre la plus totale, en prise avec l’idolâtrie, la superstition, les barbarismes des prosélytes, noyant l’humanité dans le sang versé en Mon nom et sous l’emprise de l’obscurantisme le plus forcené, vous séparant en deux camps, les bons et les méchants, ceux qui savent, ceux qui ignorent, ceux qui entendent dieu et les sourds.

Je ne reviens pas aujourd’hui pour ériger un tribunal, pour juger, condamner et bannir, mais simplement vous dire que Je n’ai jamais cessé de vous aimer, vous aimer infiniment, tous sans exception. Mais comprenez-vous réellement la signification du terme aimer ? Pour la très grande majorité d’entre vous l’Amour n’a jamais été que l’amour, un sentiment, certes un beau sentiment qui pourtant ne vous confine qu’à l’affectivité. Il a de tout temps été chanté, psalmodié et décortiqué par vos philosophes, exégètes et poètes inspirés, parfois étiré jusqu’aux étoiles par les visionnaires les plus mystiques.

Faut-il pour autant le réduire à cette seule définition, à ce sentiment que l’on porte à un être, si élevée et noble cette démarche soit-elle, à une forme extérieure, même si c’est là le plus merveilleux des concepts, à un être cher ou une chose chère. Il n’y a pas de réalité dans le « FAIRE ». Une simple observation, diriez-vous « FAIRE HUMAIN » ou bien « ÊTRE HUMAIN » ? Laquelle de ces deux formulations vous semble-t-elle la plus correcte ? Depuis des centaines de milliers d’années vous vous évertuez à faire pour finalement défaire. C’est chez vous un cycle infernal, sans cesse renouvelé, qui, si l’on n’y prend garde, pourrait sembler normal au point d’en faire une loi naturelle, un mode d’action immuable du cosmique.

La suite ininterrompue de vos cycles successifs ne vous a-t-elle rien enseigné ? Vous ne pourrez pas répondre à cette question car vous n’avez pas su apprendre et prendre conscience qu’il existe une différence fondamentale entre ÉVOLUTION et PROGRÈS.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

À LA RECHERCHE DE L’AMOUR PERDU

 

Mais quel est donc cet Amour situé bien au-delà de l’amour, qui serait source de toute vie. Ce grand principe qui gouverne la vie se situerait-il quelque part au sein de l’univers manifesté ? Faut-il prévoir d’ores et déjà projeter quelques missions intergalactiques afin de le découvrir, après avoir longuement et méticuleusement dépoussiéré et tenté de décrypter de vieux grimoires remplis de caractères et de graphismes tant ésotériques qu’occultes ? Vous pourriez ainsi, à n’en pas douter, vous user durant des centaines de millénaires sans avancer pour autant d’un iota. Et si vous aviez au moins l’idée de faire de la spéléologie intra-humaine ! Pourquoi vouloir aller chercher dans ces inaccessibles créations célestes ce que vous avez toujours eu en vous ? Ce ne sont là que de vieux réflexes, d’un conditionnement mental bien ancré, qui consiste à être intimement persuadé que seule la réalité EXTÉRIEURE et tangible a un sens. Je vous invite au voyage vers Soi. Tout au long de ta progression souterraine, alors que les éclats cristallins des parois sont de plus en plus denses, les choix qui se présentent à toi sont de plus en plus étroits et rares, mais ta détermination plus grande, la conscience de toi-même plus éclairée. Ces lueurs t’accompagnant dans ta marche en avant tout en infusant aux portes de ton cœur ces mots rafraîchissants : « Enfin JE VOIS, c’est cela que JE SUIS ». Rien, absolument rien, ne pourra alors venir ébranler cette vision d’éternité, celle qui vous permet de dire enfin « JE SAIS ».

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

À LA RECHERCHE DE NOS ORIGINES
LE TRÉSOR RETROUVÉ

 

Mes chers amis voyageurs de l’Amour, votre chemin de retour vers Vous-mêmes est arrivé à son terme. Votre cœur a réinstallé l’Amour en lui, devenant ainsi le foyer radiant de toutes vos futures expressions de Vie.

Maintenant, un autre trajet s’ouvre devant vous, une autre prospective se déploie devant les yeux de votre conscience alors renouvelée. Vous comprenez et voyez qu’il vous faut déraciner ce qui, jusqu’à présent, a été construit avec amour et le reconstruire avec l’Amour.

Si dans un premier temps vous partez à la recherche de votre réalité spirituelle, dans un deuxième temps vous vous évertuez à développer cette réalité jusqu’à sa plénitude, si chèrement gagnée afin de pouvoir aborder dans un troisième temps la grande et sublime école de la VIE. Alors et seulement alors vous apprenez à vivre spirituellement. Pensez-vous alors que tout va devoir s’arrêter là, que vous avez atteint le but que vous vous étiez fixé, figeant ainsi le tout pour l’éternité ? Certes, parvenus à ce stade, vous ne vous cherchez plus, votre développement, pour un temps, a atteint son but, vous avez appris et réalisé ce que vous vous êtes donné de re-connaître et de faire dans ce présent âge de l’univers. Mais alors que vos regards se porteront sur les espaces extérieurs de votre univers manifesté, vous vous émerveillerez en constatant qu’en fait les choses ne feront que commencer. Il s’ouvre alors devant vous une carrière éternelle d’extériorisation de votre divinité reconquise.

……..

 

Oui, arriver à concevoir que l’Amour puisse précéder et être en fait à l’origine de toutes formes de vie, de toutes créations et qu’il puisse en somme être une force créatrice, dans toute l’acception du terme, cela dérange probablement votre entendement. Pour vous, c’est généralement l’inverse qui s’avère être logique et exact, vous créez puis vous aimez ou vous n’aimez pas ce qui est ainsi réalisé. Mieux encore, la manifestation d’amour la plus répandue dans votre sphère primitive consiste généralement à aimer quelqu’un ou quelque chose et désirer le posséder ensuite. Mais tout ceci doit maintenant prendre fin, car en réalité vous n’êtes pas ainsi.

 

 

AMOUR, QU’ES-TU ?

 

Encore une fois, me direz-vous, quel est cet Amour qui semble donner un contour idéal à tout, qui semble ÊTRE, précédant toujours le FAIRE ? à tel point que même nos pensées et nos consciences seraient façonnées par ce pouvoir unique. D’où provient-il ? Quel est-il réellement ?

……..

Encore une fois, Je le répète, et tout au long de ce livre il y aura beaucoup de répétitions, car il faut quelque fois ressasser les choses afin qu’elles puissent pénétrer, s’imprimer dans les strates formelles des consciences dont le métal plusieurs fois replié sur lui-même aux forges de l’obscurantisme a trop longtemps confondu PROGRÈS ET ÉVOLUTION… DE CONSCIENCE. Le progrès semble vous apporter la plénitude dans le domaine extérieur, alors que l’évolution, ou bien pourrions-nous dire maintenant l’ascension, vous recrée sans cesse intérieurement, projetant alors cette réalité par galvanoplastie spirituelle dans le domaine extérieur, dans le domaine sensible. Oublieux que vous êtes de votre véritable statut et de votre force d’Amour, vous vous perdez dans le vide intérieur que vous avez si méthodiquement élaboré, si patiemment construit, pierre après pierre, faisant de votre cœur une forteresse imprenable. Vous êtes fiers de vos édifices, ne sachant pas que ce faisant vous allumez et attisez en leurs seins les feux de votre enfer.

Oublieux de votre Vie vous ne connaissez que le couronnement de la mort. Et même cette mort vous ne la comprenez pas pour la bonne et simple raison que vous n’avez jamais rien compris à la vie, à la vraie VIE et non à cet ersatz pitoyable que vous arrivez à glorifier comme étant un miracle produit à partir d’un hypothétique chaos cosmique primordial qui au gré des probabilités aurait pu s’arranger avec lui-même.

Oublieux de votre Amour et de votre rôle de capitaine de la Vie, perdus dans le désert de votre vide intérieur, en recherche permanente de comblements hétéroclites, vous vous évertuez, par tous les moyens et de toutes les manières, à combler ce vide effroyable que vous avez laissé naître entre les deux pôles de l’ombre de ce que devrait être votre existence, que sont la naissance et la mort. Vous n’êtes pas seulement des manifestations véritables et rendues visibles d’une divinité inaccessible, pas seulement l’image et la ressemblance de ce même dieu, mais Dieu en personne – non, voici que Je suis pris subitement d’anthropomorphisme – mais cette puissance d’Être divin, et tout cela aussi.

……..

Lorsque vous aurez fait cette descente en vous, aussi vertigineuse vous paraîtra-t-elle, vous vous émerveillerez en vous souvenant de tous les trésors qu’en un temps vous aviez vous-mêmes déposés là. Vous vous rendrez compte par la même occasion que vous n’avez rien à apprendre, que vous savez déjà tout, puisque vous êtes ce TOUT qui sait de toute éternité ce qu’IL EST.

Mes amis, Je vais tout à l’heure vous reprendre par la main et vous emmener jusque dans les sublimes hauteurs de votre ÊTRE. Vous en aurez, pour certains, quelque peu le vertige, mais ce dont Je suis certain, c’est qu’au travers de ce processus, votre âme reconnaîtra tout cela de Vous-mêmes comme si vous lui présentiez un miroir en lequel elle puisse enfin se refléter. Elle se souviendra instantanément et personne n’aura quoi que ce soit à lui expliquer.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

VOTRE RÉALITÉ EST SPIRITUELLE

 

Abordons maintenant la thèse opposée à celle des matérialistes, à savoir celle des spiritualistes. Tout d’abord, posons-nous la légitime question : qu’est-ce que la spiritualité ? C’est, avant tout et à n’en pas douter, la SCIENCE DE L’ESPRIT. À cela le chercheur sincère, en quête de lumière pourra émettre ce questionnement corollaire : qu’est-ce que l’Esprit ?

L’esprit, ce mot magique déclenche inévitablement un discret sourire compatissant au coin des lèvres des adeptes de la thèse matérialiste. Pour ces derniers Dieu est un esprit imaginaire, Dieu n’existe pas, donc l’esprit ne peut être que non-existence. Vous évertueriez-vous à vouloir décrire, à expliquer la couleur jaune à un aveugle de naissance ? La seule démonstration de la validité de la thèse spiritualiste ne peut se faire qu’en ÉTANT ce que vous prétendez. Soyez la démonstration vivante de ce que vous SAVEZ, de ce dont vous avez pris conscience. Rien, absolument rien d’autre que cela ne peut prouver que l’esprit sous-tend la matière et non l’inverse. Il vous faut faire la démonstration que l’esprit préexiste par rapport au monde manifesté.

Rappelez-vous, le monde primordial, matrice d’une multitude de mondes créés et à venir, à l’infini, est le fruit de l’esprit, il est l’Amour. Vos vêtements corporels, mes amis, sont aussi le fruit de cette même force. Si cela ne s’avérait pas exact, si vous y voyez quelques ombres, quelques disharmonies, c’est que l’énergie de l’Esprit, ici ou là, a été moulée par l’amour et non par l’Amour. D’une façon générale la liaison entre l’âme et le corps a depuis trop longtemps été malmenée, détournée, ignorée quand elle n’a pas tout simplement été délibérément et intentionnellement supprimée.

……..

La thèse matérialiste veut ignorer ce qui sous-tend le corps et les jeux de ses expériences, faisant de ce dernier le commencement et la fin de l’Être. Le processus de la conscience n’étant pour eux que le résultat de diverses activités bioélectrochimiques situées dans le cortex cérébral en interaction avec une banque de données nommée mémoire, fonctionnant sur le même principe que celle de leur ordinateur. Expliquant, par là même l’apparition de la conscience à partir d’un tas de cellules tirant leur "vivance" d’une source changeante suivant les modes scientifiques et les saisons politico-économiques.

Pour ce qui est de la thèse religieuse, le résultat est tout à fait identique, car à y regarder de plus près, elle introduit une coupure très nette entre Dieu, les dieux, l’esprit, l’âme et le corps. Le corps tendrait ici à emprisonner l’âme et l’esprit, les empêchant de monter séjourner à la droite du seigneur de son choix ou sur son épaule, peu importe. Cette présentation n’est, bien entendu, qu’à peine caricaturale, mais nous ne sommes pas là pour ergoter à l’infini sur des bases qui s’avèrent être totalement illusoires. Soyez, pendant quelques instants un tant soit peu logiques : pourquoi la création, pourquoi l’univers, pourquoi les êtres humains incarnés dans un corps de chair et de sang, ici, sur cette Terre et sur toutes les autres dimensions de Vie ? Serait-ce un jeu divin pour tuer le temps ou bien une nécessité… divine ?

 

Nous l’avons dit et nous n’hésitons pas à le répéter ici, rejeter votre Esprit revient à rejeter le grand timonier de votre Être, c’est vous séparer de tout ce que vous êtes, de ce grand Soleil cardiaque qu’est l’Amour, c’est vous étioler en vous épuisant à aimer ce que vous n’êtes pas et que vous ne seriez jamais devenus.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

LEÇON DE CONDUITE

 

L’être, lorsqu’il fonctionne dans la dualité, à la recherche de ce qu’il est en réalité, est dans l’amour… de soi et des choses. Lorsqu’enfin il VOIT et COMPREND il fonctionne alors avec son AMOUR, il n’existe plus et ne crée plus dans la dualité mais dans la Réalité de l’esprit et ne peut manifester ainsi qu’harmonie et paix en tout temps et en toutes choses. Les acquis de sagesse sont les seules perles que l’on puisse extraire de ce monde créé par l’Amour. Tout est lié, mes très chers, absolument tout. Alors, quand les âmes grandissent en sagesse c’est le monde dans lequel elles agissent qui grandit.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

LE VOYAGE D’UNE ÂME

 

De la même manière que vos existences sont rythmées par les cycles immuables des saisons et les années terrestres, vos âmes, elles aussi, suivent des cycles complexes d’évolution. Lorsque vous vous réunissez toutes les fins d’année afin de faire le bilan de l’utilisation du temps écoulé et de formuler de nouvelles promesses et souhaits pour le temps qui vient, il en va de même pour ce qui est des cycles cosmiques de l’âme. En d’autres termes, cela signifie que votre âme passe d’un stade à un autre en une année cosmique.

……..

 Ceci dépeint, brièvement, son processus idéal, comme celui d’une goutte d’eau quittant, sous l’action continue du rayonnement solaire, la matrice de l’océan liquide avec lequel elle ne fait qu’un. Le rayon solaire la pénètre, opérant en elle une transformation vibratoire importante afin de la rendre invisible, en lui donnant un nouveau corps, plus éthéré, adapté à son ascension. Et là, au gré des gradients thermiques et éoliens, elle suit le chemin que les forces du tout lui impriment. Elle chemine avec toutes ses amies ayant suivi le même processus ascensionnel. Jusqu’au moment où, le besoin s’en faisant sentir, elle trouve les conditions adéquates lui permettant de redescendre, de redevenir goutte d’eau, de ruisseler sur la Terre pour rejoindre, en définitive, le grand océan de la…

LUMIÈRE-VIE.

…….

Les images qui s’imposent à nous ne sont que la lecture de la mémoire planétaire, rien de moins. Un basculement de notre conscience s’opère et les images qui se présentent maintenant nous révèlent des situations de plus en plus sombres, dramatiques, ne laissant aucun doute sur le devenir de toutes vies à la surface de cette planète. Puis, soudain, des rayons provenant d’autres dimensions de l’univers se dirigent sur cette pauvre sphère alors moribonde, c’est un nouveau plan pour la Terre, un plan de renaissance, une suite prévue, non pas « au cas où » mais bel et bien la page suivante d’un immense programme destiné à faire de la Terre… Cela, nous vous le révélerons plus loin.

 

…….

Ce rayon d’or pur, atteint la planète et la pénètre tout aussitôt, la transformant radicalement, la faisant basculer dans une autre dimension de Vie, un peu comme si son cerveau physique, son humanité, sortait maintenant du coma et retrouvait toutes ses fonctionnalités, toutes ses connexions synaptiques.

Les visions de probabilités d’avenir qui s’offrent à nous sont d’une beauté indescriptible. Elles montrent, avec une très grande clarté, que tout ce qui a prévalu dans l’ancien monde n’est plus et qu’à présent toutes formes de Vie se déploient suivant un ordre et des lois supérieures.

Il est tout à fait stupéfiant de se rendre compte que tout cela puisse être contenu dans la mémoire de cette petite sphère, qui, au demeurant, reste invisible à notre regard humain, tant sa dimension est infinitésimale. Voyez-vous, cette particule, un tout petit rien, est en fait un tout contenant à lui seul plus d’informations que le plus puissant des ordinateurs que vous ne pourrez jamais construire. Le jour viendra où vous saurez vous connecter sur ces mémoires, lorsque votre sagesse sera devenue la clé qui vous ouvrira la route vers ces joyaux de votre univers, de votre corps céleste, de Vous-mêmes.

………

Chers voyageurs de la Vie, ne lâchez pas cette main tendue et poursuivons notre périple à l’intérieur de notre goutte d’eau. Nous pénétrons maintenant au sein de cette forme infinitésimale, comme nous le ferions pour une planète creuse. Notre descente vers le centre observera sept étapes, sept paliers, sept niveaux de réalité. Et à chacun d’eux nous ressentirons une force d’une douceur extrême étreindre tout notre être et irradier du centre de notre cœur. Cette douce force, mes amis, n’est autre que le moteur de toute la création, de toutes créations, c’est le liant qui maintient en harmonie toutes les formes de Vie, afin de construire et de sous-tendre une œuvre des plus parfaites. Nous parvenons maintenant au centre de toutes choses et nous y voyons toujours cette splendeur omniprésente, ce Soleil central merveilleux, d’une radiance sans pareil, qui pourtant jamais ne brûle ni n’aveugle le voyageur sincère. Ce Soleil n’est autre que l’AMOUR, le pur soleil christique. Encore Lui, toujours Lui et Lui éternellement. Des myriades de fils de lumière s’en échappent continuellement tandis que d’autres se rétractent. Suivons l’un de ces rayons blancs et pénétrons au saint des saints. Aussitôt pensé, aussitôt réalisé. Au lieu de nous évaporer sous l’impact de sa puissante radiance, nous pénétrons sans crainte cette apparente fusion et nous nous retrouvons très vite à l’intérieur de cette immensité creuse, décidément les intérieurs creux semblent faire loi. Il semblerait donc que toute forme de vie recèle une activité interne soutenant une « vivance » externe. Notre attention est immédiatement captée par ce qui se passe en son centre. Il y a là un feu doré, presque liquide, d’une grande beauté, semblant nourrir la sphère de lumière blanche dans laquelle nous venons juste de pénétrer. Les rais qui émanent de la grande sphère semblent, à leur point de contact, creuser de légères dépressions. Approchons-nous de l’une d’entre elles, observons, nous sommes curieux de savoir où mène, où va cette lumière, quel est son rôle. Ces dépressions semblent être des portes s’ouvrant sur des destinées inconnues, des devenirs tissant le support d’existences naissantes. L’une d’elles est empruntée, sans choix ou calcul préalable. Nous sommes alors propulsés par une force irrésistible ayant pris en charge chacune de nos cellules afin de nous mener, en un clin d’œil, jusqu’à un… bel arbre, un vrai, dans une prairie des plus verdoyantes, sur une vraie planète… Non pas pour vous faire contempler ce magnifique feuillu mais pour être ce qu’il est, être l’état du TOUT QU’IL EST. Un nouveau basculement de notre conscience et nous voici de nouveau rendus au point de départ, en train de déjà choisir une nouvelle porte nous conduisant vers bien d’autres manifestations de la Vie, bien d’autres expériences, vers d’autres êtres et finalement, ayant pris la porte de Nous-mêmes, vers ce que nous sommes présentement, en ce monde et aussi au sein d’autres dimensions de notre ÊTRE, si nous l’avions alors décidé ainsi.

Mes amis notre voyage prend fin ici, en espérant qu’il ait pu ouvrir en chacun de vous quelques portes sur la connaissance de votre tout, du tout, de votre nature unitaire. Alors, dorénavant lorsque vous vous pencherez sur un tout petit rien du tout, regardez-le, non plus seulement avec vos yeux de chair, mais aussi avec votre regard intérieur, au travers des portes de votre cœur, de votre propre Soleil central. Voyagez sans cesse, partout où vous irez vous serez chez vous. Empruntez les portes qui sont en vous, Je vous y invite.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

UNE EXPÉRIENCE POUR TOUTES LES HUMANITÉS, PRÉSENTES ET À VENIR, UN CADEAU DIVIN

 

De la même manière et pour les mêmes raisons cosmiques que vous tous, enfants de cette merveilleuse planète, serez amenés, dans un avenir plus ou moins lointain, à implanter la vie ailleurs, en tant qu’êtres responsables de vos créations, dans les niveaux extérieurs de votre univers actuel, en préparation, vous-mêmes avez été implantés, ici sur Terre, par d’autres frères, évoluant et résidant dans d’autres systèmes, dans d’autres dimensions de Vie.

Vous allez très bientôt vivre, sur cette Terre, dans un nouveau système cosmique lié à une dimension de conscience qui va devenir votre futur et nouveau cadre d’expérimentation de l’Être sur une octave supérieure.

Depuis les origines de vos civilisations successives, depuis que vous avez commencé à écrire l’histoire de la Terre, vous avez expérimenté la Vie dans le séparatisme, dans la dualité. Oscillant en permanence entre l’amour et la peur, sans pour autant réussir à atteindre l’Amour, la seule force pouvant à coup sûr vous sortir de l’illusion et des affres de la dualité dévorante. Vous narrer l’histoire de vos civilisations successives reviendrait à vous conter l’histoire du mariage de l’esprit avec sa lumineuse épouse au sein même de l’unité de l’Être. L’histoire paléontologique des hominiens que vous narrent les grands professeurs de vos doctes académies ne reflète en rien votre réalité.

Je le dis toujours, la conscience demeure la clé qui ouvre toutes les portes de la connaissance. L’humain se dotant de l’outil scientifique, aussi puissant soit-il, ne pourra jamais ouvrir les voies que sa conscience mentalisée lui interdit ou lui voile.

Les premières civilisations apparues sur Terre vivaient en parfaite harmonie entre l’esprit et la volonté divins, entre l’énergie de l’Être et les desseins spirituels servant de réceptacle en vue d’exprimer cette énergie dans des expressions spécifiques et non universellement génériques. Mais assez vite la notion de dualité, du beau et du laid, du bien et du mal, du haut et du bas, fit insidieusement son apparition avec son corollaire, la peur, les peurs.

Instruits de ce passé, vous pouvez entrevoir ce qui se présente alors à vous dans les temps qui viennent. En d’autres termes, l’harmonie du début des âges sur Terre doit être restituée et définitivement ancrée ; non seulement ré — ancrée mais propulsée à une octave supérieure.

La loi de l’unité vous montre, non seulement votre chemin, mais demeure l’éternelle clé vous permettant d’ouvrir la porte de la compréhension du Tout. L’application de la loi d’Amour n’est en aucun cas une soumission mais une extension phénoménale de conscience vous permettant de faire voyager votre âme jusqu’aux frontières de l’infinitude, jusqu’aux limites de votre réalité indéfinissable. C’est l’unité dans toute son expression, l’Amour, encore Lui, toujours Lui. Patientez encore quelque peu, quelques interrogations, quelques soupirs et Je vous hisserai sur les hauteurs de l’Olympe céleste, au sommet de votre Réalité.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

L’EXPRESSION DE LA VIE PAR L’AMOUR…
DEVIENT LA SAGESSE

 

Que serait l’expérimentation de la vie sans la possibilité de sa manifestation spatio-temporelle au travers d’une moindre conscience, offrant maintes voies opportunes à l’exercice de la volonté divine dans les réalisations finies de son désir divin ? Mes amis, Je suis parfaitement conscient que cette assertion peut paraître quelque peu absconse ou sibylline à l’intellect mais pour vous donner quelques indices je vous dirais ceci : « ce que vous désignez comme votre suprême trésor humain, votre libre arbitre, consisterait à discriminer la forme désirée par l’exercice de votre propre volonté ».

Sans l’incarnation de la conscience l’unité ne s’exprimerait qu’au travers de certains automatismes préprogrammés rendant impossible toute élaboration de la personnalité. L’univers ne serait pas peuplé d’âmes-personnalités, individualisées, variées à l’infini, mais serait envahi d’androïdes, au travers desquels la vie ne pourrait pas connaître ce qu’elle est, au travers desquels la conscience divine ne pourrait pas prendre conscience d’Elle-même. En fait, le créateur expérimente ce qu’IL EST dans CE QU’IL N’EST PAS ; Il n’a pas d’autres possibilités, d’autres voies d’expérimentation.

…….

 

Être consciemment libre c’est vivre la plénitude personnelle dans l’harmonie du tout et de tous. Ne vous ai-je pas fait entrevoir que l’Être absolu se révèle dans ce qu’il n’est pas, dans le champ d’activité qu’est sa création formelle ? Vous ressentirez toujours l’inextinguible besoin, le désir d’aller vers, de manifester le plus et le mieux que… Aussi haute sera la vision, la conscience de vous-mêmes, aussi haute sera la forme du champ d’expérimentation de votre Vie cosmique. La VIE EST et son expérimentation est un mouvement incessant ramenant à l’Esprit la vision, la connaissance et la compréhension de ce qu’IL EST… en cette facette réalisée. Mais attention, je vois naître en votre mental, encore mal éclairé, la pensée d’une dichotomie illusoire. Vous vous dites que si le divin est absolu et infini dans sa forme, qu’il est le bien, la forme finie que doit revêtir sa manifestation compréhensible ne peut être que le mal. C’est là le piège fatal dans lequel se sont englués beaucoup de dogmes trop souvent dédiés aux prosélytismes hégémoniques ainsi que le manichéisme des philosophes de tous poils. Répétons-le encore ici, la dualité égotiste est le fruit de l’amour avec la liberté des uns commençant toujours où s’arrête celle des autres. L’Unité est le fruit parfait de l’Amour avec lequel la liberté des uns tend à étendre celle des autres à l’infini.

 

Le monde fini créé avec Amour n’est pas le mal mais il est bon. Ainsi le bon se dirige éternellement vers le bien absolu, Vous invoquez souvent les consciences et réalités supérieures, afin de savoir si vos actes, vos choix, sont bons ou mauvais, car apparemment, il devient difficile pour vous de connaître tous les tenants et aboutissants de vos décisions, ce en quoi Je vous répondrais ici de la manière la plus simple : « En votre imagination essayez de voir ce que cela donnerait si tout le monde agissait comme vous le faites ou désirez le faire ». Toutes les possibilités d’expression de la Vie envisageables existent déjà dans l’éternel présent, dans le maintenant. Le temps, mes amis, n’est qu’une force de la création permettant de « sectionner » l’indifférencié afin que sous son aspect illusoirement fini il puisse être connu et compréhensible.

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J’ai un Amour sans limites pour vous tous mais de là à me prendre pour un « aspirateur à péchés », Je ne suis pas « monsieur propre », ne peux et ne veux, en aucun cas, évoluer, ascensionner à votre place. Là encore vous n’avez strictement rien compris à ce que je vous disais alors : Je n’ai jamais dit que moi, Jésus, Je venais prendre vos péchés, mais que LE MOI, CHRIST, présent en chacun de vous tous, pouvait transformer les erreurs de votre courant de vie en qualités et vertus divines. Lui seul peut le faire, Lui seul sait le faire.

Le Père vous a créé libres afin que vous puissiez faire des choix. La loi d’Amour est la loi de l’unité dans la libre expression d’Elle-même.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

UNE NOUVELLE DEMEURE

 

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 L’ensemble Terre/Humanité se rapproche du centre, du cœur du Créateur. Vous allez désormais jouer la partition divine sur une octave supérieure. Lorsque vous aurez franchi le seuil de la nouvelle Terre, la première constatation qui va s’imposer à vous c’est que toutes les pseudos harmonies installées dans le domaine de votre dimension actuelle, ne seront plus possibles. Des micros, jusqu’aux macros formes de Vie, toutes, désormais, seront en harmonie.

Vous pouvez faire le choix d’être le plus grand des ignorants ou bien le plus grand des « connaissants » de votre Réalité. Vous auriez bien pu expérimenter la Vie dans la troisième dimension avec Amour et votre histoire aurait été bien différente.

 

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Revenons donc à ce fameux passage entre votre dimension et la suivante. Pourquoi ne pas appeler cela une ASCENSION ?

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

VOUS ÊTES LA VIBRATION DE L’ESPRIT QUI S’EST REVÊTUE DE SUBSTANCE LUMINEUSE

 

Pénétrant un peu plus profondément cet indicible arcane nous y verrions le plan décrivant le but de sa manifestation, ses grands desseins, puis ce que vos mathématiciens et vos informaticiens nommeraient équations et logiciels, c’est l’Âme de la vibration et enfin le corps même, le vêtement, la concrétisation objective de ce but éternellement maintenu dans le mouvement de l’ÊTRE MÊME.

Au début, il y a la vibration des vibrations, celle qui contient et nourrit toutes les autres. Nous sommes tous issus de cette activité primordiale, nous sommes tout cela, ce mouvement de notre Être, cette Vie. Seule notre Âme, notre conscience, joue le rôle de transformateur de cette vibration originelle. Vous pouvez donc, mes amis, entrevoir ici le fait que la coagulation, la cristallisation de votre vibration, passant par le filtre de votre conscience, ne pourra n’être que le reflet de votre vision la plus haute que vous avez de vous-mêmes. Votre corps, vos corps, du plus extérieur jusqu’au plus subtil, ne seront que la réalisation de la vision que vous aurez consciemment précipitée. Alors, toutes formes manifestées, vos vêtements et conditions d’existence, vos pensées, absolument tout, n’est, en dernière analyse, que l’aspect particulier de votre informelle Réalité.

Si votre conscience est celle de l’unité de votre Être alors toutes les manifestations vibratoires seront en harmonies, dans le cas contraire vous savez déjà ce qui en résultera pour l’avoir expérimenté depuis la nuit des temps.

Lorsque vous utilisez une énergie qualifiée par votre conscience posez-vous préalablement la question de savoir quelle est cette conscience qui, là et maintenant, doit agir afin d’accomplir vos desseins véritables. Est-ce l’amour ou bien l’Amour en moi qui agit et parle ici ? La réponse devrait être immédiate car si vous ne savez ou pouvez y répondre c’est qu’assurément l’amour agit et parle là en lieu et place de l’Amour.

Quelle qualité d’énergie aurez-vous ainsi projetée, à vous de voir. L’objectivation en sera le censeur : ou bien « Quel bonheur ! » ou alors « aie, aie, aie… ! ».

Maintenant, vous tous, qui optez pour ce nouveau paradigme dans lequel vous entrez en apprentissage de la Vie par l’Amour, laissez-moi à nouveau vous épeler apprentissage : APPRENTI-SAGE.

 

 

 

ALLONS PLUS LOIN

 

Il devient dont évident que si vous pouvez voir, comprendre et communiquer avec tous les êtres et toutes les choses faisant partie de votre univers vous ne le devez qu’au fait que l’intelligence qui voit est la même que celle qui crée. Il tombe alors aussi sous le sens que le Tout devenu autorécognitif au sein de la création n’a par-delà cette diversité infinie qu’une source, qu’une intelligence, qu’une conscience, qui se retrouve dans chacune des parties de ce Tout. Ainsi chaque partie devient accessible à toutes les autres.

Il est tout aussi avéré que pour les adhérents à la thèse « chaos miraculeux » concernant l’émergence de la Vie, ce qui précède est nul et non avenu, comme tout le contenu de ce livre par ailleurs.

Ainsi, si tous les êtres peuvent voir et comprendre tout leur univers vivant c’est que toutes les composantes de cet univers, de ce tout, sont issues d’une même et unique intelligence créatrice. Voici, mes amis, un fait bien établi. Si cette affirmation ne s’avérait pas correcte la Vie qui coule en vous, et dont vous êtes la forme la plus complète suivant la vision de votre idéal le plus élevé en vous-mêmes, ne pourrait surgir et s’écouler Elle-même en des actes, faute de pouvoir agir en et sur un milieu, à défaut d’avoir un champ unitaire d’expérimentation pour le faire.

Pour ce faire, voyez-vous TOUJOURS comme étant le Tout, l’UNITÉ ; je ne vous demande pas simplement d’imaginer cela mais d’incorporer cette réalité, d’être Cela.

 

……..

Alors redonner leur véritable héritage à ceux qui l’ont perdu n’est-ce pas redonner l’être perdu à Lui-même, en l’aimant comme le Père l’aime, n’est-ce pas là une intention pure ? Donner sa Vie c’est aussi la gagner. Ne vous ai-je pas dit que le monde n’était simplement qu’à perfectionner ? Alors, et seulement alors, vous pourrez dire JE SUIS, JE VOIS, JE CONNAIS et JE PEUX enfin COMPRENDRE tout ce que JE SUIS, toute la connaissance que JE SUIS.

Je vous le dis, ou plutôt Je vous le rappelle encore aujourd’hui, le plus grand des commandements pourrait être VOYEZ,

 

VOUS ÊTES L’ARTISTE DIVIN
LE DIVIN MODELEUR DE LUI-MÊME

 

Pensez-vous que le divin créateur, siégeant au centre même de votre Être, puisse s’y prendre différemment qu’un simple modeleur de statuette en terre pour manifester et rendre visible la création de ce qu’il maintient présent en son esprit ? Pourquoi comprendriez-vous plus facilement le processus utilisé par ce statuaire que celui employé par votre esprit divin ?

………

Au lieu de diriger votre regard vers l’ange que vous êtes, l’Ange de votre ÊTRE, vous vous êtes mis à contempler l’ange de votre réalité extérieure, dont le soleil central demeure être votre nombril, votre Verbe humain, vos « moi je… », nidification de l’ego déformé, prenant votre corps pour votre ultime réalité et la matière pour unique source de vie.

……….

L’essentiel n’est-il pas de retrouver cette mémoire qui vous fait tant défaut et ce afin de pouvoir manifester enfin ce que vous êtes en réalité ? L’essentiel est là et seulement là et tout le reste est effacé, le divin que vous êtes ne peut s’en vouloir d’avoir accepté cela ; comprenez-vous, y êtes-vous ? Alors faites fi de toutes ses peurs sacerdotales conditionnant votre salut éternel ; c’est à n’en pas douter le point commun à toutes les obédiences, celui de cultiver les peurs qui soumettent, en conditionnant les bonnes grâces et l’amour du créateur, de votre créateur, à son obéissance. Je vous le dis, c’est comme cela que vous avez passé les derniers millions d’années dans les ombres de vos peurs, vous subtilisant subtilement, mais efficacement, votre propre pouvoir, votre propre Lumière.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

C’EST LÀ QUE TOUT COMMENCE

 

Un esprit, une âme et un corps, voilà toute votre Réalité manifestée, toute notre Lumière. Nous allons remonter jusqu’à vos origines, jusqu’à ce mouvement du « néant » qui vous a engendrés de toute éternité, qui s’engendre éternellement en un quelque chose d’infiniment connaissable et compréhensible.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

INFORMATICIENS, À VOS CLAVIERS

 

Comme nous vous l’avons précédemment expliqué, vous êtes l’informaticien, quelque peu distrait, qui a oublié qu’il avait déjà conçu son propre logiciel idéal d’expression.

J’ai dit logiciel, entendez « logique DU CIEL ».

À cause de cette lacune de mémoire il a dû s’en développer un autre, tout à fait adapté à sa propre vision de la réalité. L’écran, dont je fais ici mention, n’est autre que votre propre corps éternel, fait de pure substance lumineuse et si, Je vous le souhaite, vous devez ascensionner ce sera avec lui et avec nul autre. Mais ne me faites pas dire ce que Je n’ai pas dit, la condition préalable à toute ascension n’est pas de devenir pure Lumière mais d’avoir préalablement pu développer son propre corps lumineux, ou pour être plus exact avoir su rendre à votre corps de gloire toute sa légitimité, toutes ses prérogatives. Que penser alors de tous ces apôtres du New Age qui prônent la réalisation d’un corps de pure substance divine que vous avez déjà de toute éternité.

………

Voyons quel est ce corps. Il est votre miroir parfait, non corruptible, dans lequel le divin que vous êtes peut à loisir se refléter afin de VOIR, puis de COMPRENDRE en ressentant tout ce qu’IL EST au travers du jeu infini des expériences finies.

………

Vous apportez avec Vous notre possibilité de reconnexion avec votre ange intérieur afin que vous puissiez volontairement et consciemment compléter et activer la structure complète de vos strates corporelles harmoniques de votre supra mental alors rendu efficient. Maintenant Je vous invite à prêter particulièrement attention à ce qui va suivre car c’est ici que réside la possibilité consciente de vous reconnecter avec Vous-même.

………

Ces dispositifs mémoriels existent aussi en ce qui concerne le fondement intime de l’élaboration divine de votre corps d’expression. Vous n’avez pas à les chercher au sein même de certaines cryptes secrètes. Abandonnez l’archéologie des mystères occultes, tout cela demeure de toute éternité en vous. Il vous est simplement demandé d’en prendre conscience et de vous « parler à Vous-mêmes de Vous-mêmes », vous n’avez rien d’autre à faire. Il est parfaitement inutile de devoir connaître les mécanismes et processus intimes permettant cette réalisation ? Le fait de méconnaître le principe de fonctionnement d’une roue libre vous empêche-t-il de pédaler ?

Ceci étant dit, et devant de telles évidences, comment alors rétablir ce lien ?

Par l’INTENTION PURE et seulement par ELLE.

Lorsque je fais ici mention de « formulation consciente » soyez assez vigilants, comprenez bien qu’il ne s’agit surtout pas de formuler consciemment une intention parfaitement INTELLECTUALISÉE, ce qui ne déclencherait, vous l’aurez bien compris, absolument rien. Il vous est demandé d’ÊTRE cette conscience, de vous parler à Vous-mêmes.

Posez-vous les bonnes questions : qui ici parle en cette requête, à qui parle-t-il, dans quel but, suivant quelle volonté et pour quelle réalisation.

 

Comment se fait-il qu’une telle intention ait un si grand pouvoir ? Tout simplement parce que le dieu, que vous ignorez encore être, veut cela. Il est bon aussi, ici, de mettre l’accent sur la conscientisation de l’opération. Nous voyons beaucoup de chercheurs dans la spiritualité, de mystiques et autres croyants, clamer partout, à qui veut l’entendre, qu’ils sont Christ. En effet ils le sont, pour l’avoir lu ou entendu, mais cette affirmation ne se traduisant pas dans les faits, nous pouvons dire qu’ils le croient, mais qu’ils n’en ont pas encore conscience. Ces dernières décennies ont vu naître dans vos sociétés des méthodes New Age de travail sur soi, avec la promesse de se rapprocher, voire de recouvrer votre identité cosmique, spirituelle et divine. Ces méthodes de développement, aussi élaborées soient-elles, ne peuvent être que des pis-aller ne pouvant se résumer qu’à une introspection malaisée et souvent fort maladroite de vos éthers, de vos structures émotionnelles et mentales.

Ceci est mis en exergue afin de vous faire comprendre que quel que soit le logiciel extérieur qui, dans votre œuvre, agit là en vous ou envers votre prochain, l’œuvre alors accomplie ne peut en aucun cas être divine, à moins que celui qui agit ne soit le « comment du Ciel », à moins qu’il ne soit « la logique du Ciel », l’AMOUR qui en l’Homme devient CHRIST, vos qualités et vertus divines déjà TOTALEMENT DÉVELOPPÉES de toute éternité.

 

Un maître agit en tant que Christ sur le corps divin de la création lumineuse. Installer cet Amour en vous, à tel point qu’il devienne vous, résulte d’un préalable, dont nous avons fait mention plus haut, celui de VOIR, voir la Lumière.

En fait, il semblerait que vous ayez ainsi trois possibilités :

- Vous lancez n’importe quelle graine sur un sol quelconque, cela vous le faites constamment, vous en connaissez les résultats.

- Vous tentez de semer la bonne graine, que vous voudriez bien être, dans un sol non préparé, cela ne pourra toujours rien donner.

- Vous pouvez enfin projeter la bonne graine que vous êtes alors devenu sur le pur miroir de votre force de pensée, votre vêtement de lumière et vos œuvres, vos créations extérieures seront celle de l’esprit divin. Essayez de vous resituer et voyez alors les changements qu’il vous reste à opérer.

Tout commence par une graine, absolument tout. Alors pourquoi la graine d’Humain ne donne-t-elle pas naissance à l’Humain, tel qu’Il est déjà perçu en esprit par le grand constructeur ? Éloignés, vous êtes maintenant des formes près humaines, des hominidés que vous fûtes peut-être alors ; j’ai dit « homme-idée » du Grand Constructeur. Vous êtes encore infiniment loin de votre devenir.

Dans votre cheminement vous avez perdu l’idée et vous n’avez gardé que l’homme que vous pensiez alors être.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

RACONTE-NOUS L’AMOUR

 

Vous avez encore beaucoup de peine à concevoir l’Amour comme étant seulement, si je puis dire, une force divine, la plus grande des forces existantes dans toute la création. Sans Amour, sans l’Amour rien ne serait et ne pourrait exister. Sans cette force, pas de planète ni d’humanité, pas d’univers manifesté et de création, pas de Lumière et de Christ, pas de Soleil Central, que Dieu confiné dans l’impuissance de se manifester à Lui-même.

Que serait l’esprit sans l’Amour, que deviendrait le cerveau sans le cœur ? Laissez le rayonnement de votre cœur aller librement, inconditionnellement à la rencontre du monde dans lequel vous existez et laissez glisser l’Être sur ses rayons. Écoutez, ressentez les présences qui s’adressent à vous, elles ont beaucoup à dire, elles ont tant à vous offrir avec Amour, à vous offrir l’Amour.

Tout, selon l’esprit, est manifestation de l’Amour, tout, absolument tout. Le TOUT EST AMOUR. C’est le miracle vivant de l’unité éternelle reliant l’esprit et le corps divin, manifesté par l’un et révélé par l’autre. L’univers ne vous crée pas, c’est vous mes amis, Nous tous, la Grande Famille, qui créons l’univers. Lorsque Nous vous parlons d’univers, nous vous parlons du corps manifesté du Grand Constructeur absolu, Nous vous parlons de ce corps multidimensionnel, spirituel et matériel à la fois.

Ne soyez pas troublés lorsque Nous parlons d’univers, de formes et de substances spirituels. La Vie universelle s’exprime au travers d’un immense clavier vibratoire. Ce gigantesque clavier vibratoire est l’instrument parfait par lequel le divin exprime sa réalité, la rend visible, afin qu’elle devienne sensible, dans le but de pouvoir s’entendre, se goûter, se toucher, se voir et se sentir.

Curieux pour un dieu de devoir en arriver là, me direz-vous, et je vous répondrai qu’il n’a pas d’autre solution pour comprendre tout ce qu’Il Est. Tous, qui que vous soyez, êtes impliqués dans ce processus infini et éternel, non pas comme auxiliaire nécessaire et indispensable, mais en tant que partie intégrante du divin dirigeant une action sur Lui-même.

Vous l’aurez compris, vous êtes tous ce Dieu qui s’évalue sans cesse.

Nous verrons, plus avant dans ces révélations, pourquoi le Grand Constructeur a donné naissance à une immense quantité de cocréateurs primordiaux appelés les Fils de dieu descendants. Pures émanations de la révélation de la Réalité, engagés envers les humanités qu’ils allaient à leur tour créer et dont ils deviendraient alors responsables.

Au sein même de votre cheminement vers Vous-mêmes vous ne rencontrerez que deux types de création, à savoir : la création absolue, informe par définition car issue de l’informe, et les créations subabsolues qui sont les représentations formelles de l’infinitude, libre de pouvoir changer à l’infini.

……..

 

 Puisque nous effleurons ici le domaine des invocations, je dois vous dire quelques mots sur l’aide infiniment précieuse que peuvent vous apporter vos Frères qui sont de l’autre coté du voile dimensionnel de la Vie Une. N’hésitez pas à faire appel à vos anges, guides et autres maîtres, ascendants ou descendants, afin de leur demander de connaître ce que la Vie a en réserve pour vous. Ainsi ils sont les vrais maçons, demandez-leur seulement ce qu’Ils peuvent accomplir et seulement CELA, vos propres besoins sont par trop imprécis. Ils ne pourront faire pour vous que ce qu’Ils pourront faire PAR VOUS.

………

 

 Quelle est cette substance de laquelle toutes formes sont issues, qui soutient toutes les créations dans l’athanor de la manifestation visible, douée d’une plasticité infinie ? Lorsque nous parlons de formes il est bien convenu que nous ne devons pas nous limiter aux aspects seulement visibles, au sens où vous percevez cela. La joie dans votre existence prend tout aussi bien forme, l’harmonie, le bonheur, la paix matérielle et la santé prennent forme. Toute manifestation, de quelque ordre qu’elle soit, dans votre existence ou dans l’univers, dans votre mental, dans vos corps émotionnel ou physique, est une forme issue de l’absolue réalité informe.

Si vous désirez sincèrement rétablir la connexion avec l’Ange intérieur que vous Êtes, vous ne pouvez le faire qu’en émettant, qu’en précisant, la nature de votre intention pure et NOMMEZ-VOUS COMME étant le produit de CETTE même intention.

Qu’entendons-nous par INTENTION PURE ?

Souvenez-vous, mes amis, où en étiez-vous de votre œuvre avant de vous isoler de Vous-mêmes, sur cette Terre ? Où en étiez-vous dans le cheminement de votre esprit dans le domaine de sa propre création ?

La JOIE, connaissez-vous la joie ? Si je vous disais que c’est l’état d’être parfait divin, que c’est là la forme parfaite destinée à l’Humanité, maintenue dans l’esprit du grand Constructeur, comprendriez-vous ?

Mes amis, la création formelle sort de l’informe absolu par votre désir de RESSENTIR ce que vous êtes dans votre connaissance, en Christ.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

JE CONNAIS QUE JE SUIS AMOUR

 

Puisqu’ici l’occasion m’en est donnée, laissez-Moi vous parler de votre système Solaire. Gravite, autour de l’astre central, un cortège de planètes visibles et invisibles. Souvenez-vous, les apparences sont souvent trompeuses. Je ne parle pas ici de traces de vie recherchées par votre instrumentation scientifique mais de planètes si hautes en vibrations qu’elles échappent tout naturellement à votre regard physique et instrumental. Quant à la vie au sein de votre système solaire, elle est partout, grouillante sur toutes les dimensions ouvertes. Si vous regardiez au bon endroit, sur la bonne dimension, vous seriez par exemple, émerveillé par la vision d’une civilisation installée dans la dimension du rayon d’Amour telle que celle des Vénusiens.

………

 

Pouvez-vous imaginer la formation de votre corps physique résultant d’un quelconque phénomène d’accrétion ? Bien évidemment que non. Alors pourquoi voulez-vous qu’il en soit ainsi pour votre planète, votre système solaire et enfin pour tout l’univers manifesté. Il est peut-être aussi nécessaire que vous sachiez que votre système n’est pas encore stabilisé dans sa formation définitive. En effet, une dernière planète reste à naître, elle est actuellement en préparation sur une orbite matricielle se situant entre le Soleil et Mercure. Sous l’impulsion de la volonté du Grand Constructeur de nouvelles portes du Christ, alors en croissance, manifesteront la potentialité de l’esprit absolu sur une nouvelle et plus haute vague de Vie, une nouvelle expiration céleste.

………

 

Le Christ, première et unique création absolue, les Christs que vous êtes, ses divines illusions de duplications, n’êtes que le pont unissant les deux côtés du gouffre, le fini et l’infini.

Si ce qui précède vous semble quelque peu nébuleux sachez bien qu’en ce qui concerne la manière de vivre de Dieu, le logiciel de l’informaticien, la pensée de l’artiste, elle comporte plusieurs niveaux de manifestation prévus. En effet, en ce qui concerne l’expansion des prérogatives christique, un Christ planétaire n’a pas la même expansion des patterns de vie qu’un Christ galactique ou cosmique. Vous percevrez cette nécessité lorsque nous aborderons votre pèlerinage à travers la création.

Je ne vous apprends rien, je ne vous invite qu’à vous rappeler ce que VOUS SAVEZ DÉJÀ, afin de vous aider à vous réinstaller en VOUS-MÊMES.

Quoi qu’il en soit, Je peux d’ores et déjà, vous faire simplement entrevoir cela. Vous avez coutume de dire que « la nature a horreur du vide ». Je vous ai dit que l’Être ne pouvait se révéler à Lui-même qu’au travers du non-Être. Mais attention ne voyez surtout pas en cette définition un quelconque manichéisme. Le non-Être, dont il est ici question, n’a absolument rien à voir avec le mal mais avec le BON, ce dernier n’étant que l’expression « finie » du Bien Absolu. Ainsi le balancier de la création divine étant descendu au pôle le plus opposé de la forme de conscience manifestée, il va pouvoir maintenant entamer sa fulgurante remontée vers des sommets impossibles à définir. Les patterns que vous emmenez dans ce voyage d’ascension, tout à fait sublime, sont d’une certaine manière déjà en votre possession afin qu’ils se déploient avec vous. Nous venons aujourd’hui vous chercher en ravivant vos souvenirs. Nous ne pouvons et ne devons pas vous ordonner quoi que ce soit. Vous devez choisir de vous réinstaller dans votre royauté, Nous ne pourrons pas le faire à votre place. Cependant, n’oubliez jamais que Nous sommes dans l’Amour, en Christ, que par ce fait Nous pouvons beaucoup pour vous ; nous demander de l’aide n’a en définitive rien d’un assistanat, bien au contraire, et c’est en cette qualité faire appel à votre MOI SUPÉRIEUR.

Reprenez votre sceptre en main. Vous vous êtes trop longtemps laissé endormir par les ordres de l’ombre. Vous avez opté pour la facilité, le laxisme, la paresse en remettant votre pouvoir entre leurs mains. L’ordre de l’ombre vous a phagocyté après vous avoir si savamment anesthésiés. La plus grande puissance de cet ordre est la pieuvre, aux multiples tentacules, que sont toutes vos religions exotériques ; J’ai bien dit toutes, sans exception, y compris les courants spirituels qui se défendent d’en être, mais qui dans l’exercice de leurs rituels se révèlent effectivement en être. Je précise bien qu’il s’agit de religions et non d’authentiques sciences spirituelles, ce pour les ergoteurs et coupeurs de cheveux en quatre.

Ces obédiences se servent, en effet, de leurs vassaux que sont les systèmes politiques, économiques, culturels et les institutions de la santé, afin de gérer votre bonheur, de vous faire désirer leurs désirs, de vous dire ce que vous avez à penser, ce qui est bien ou mal et de vous vendre leurs médecines aliénantes. Ne vous révoltez pas, mes bien aimés, vous les avez appelés, ils sont venus vous mettre sous perfusion. Vous vous êtes entièrement laissés cloner à leur image et à leur ressemblance. Où se trouve alors votre liberté d’Être ? Essayez donc de vous débrancher du dispositif qui vous maintient en illusion de vie et voyez si vous pouvez vivre par Vous-mêmes ! Difficile, n’est-ce pas !

La religion de l’Ombre vous a tendu un piège des plus subtils et des plus efficaces : tous vos dogmes religieux vous ont séparé de VOUS-MÊMES, en déifiant la dualité d’une part et d’autre part en rejetant la matière, la Grande Mère céleste avec sa force colossale de réalisation, votre partie féminine, devenue en leurs dogmes source de tous les péchés. Dieu, vos dieux anthropomorphes, tenant l’humanité sous la menace de leur bâton dans une main et son sac à joujoux dans l’autre, ou pour être plus exact, son sac à malices, ne sont, en dernière analyse, que des guignols inacceptables pour la raison raisonnable. Leurs vicaires et représentants terrestres devraient, par leurs simples paroles et comportements, vous renseigner un tant soit peu sur la divinité de leur divin patron. Discernement… Discernement, qu’es-tu devenu ?

En ayant choisi de vivre ces impasses avec leur cortège de douleurs, d’illusions décevantes, de mensonges révélateurs, d’hypocrisies, votre humanité a ainsi accompli une œuvre magistrale, celle d’avoir enseigné à l’âme-humanité ce qu’ELLE N’EST PAS afin de VOULOIR LIBREMENT vivre, comprendre et ressentir CE QU’ELLE EST depuis toujours et ce avec une force et une grandeur d’Âme inexprimable. Vous avez expérimenté le rêve que vous pouviez librement créer, non plus comme le voulait votre esprit mais à votre manière, avec vos propres schèmes.

Christ n’est-il pas le pont lancé par l’éternel entre l’infini et le fini ? Qu’ont donc fait vos religions ? En faisant sauter ce pont elles vous ont coupé la tête. Qu’ont-elles donc fait en « satanisant » la matière et vos corps ? Elles ont fait de ceux-ci des coques vides, des zombis parfaitement manipulables, enchaînés aux organisations noires. Qui sont-ils ? Les Maîtres de l’Ombre manipulant la lumière sombre. On vous a étêté et coupé les mains de votre réalité ; on vous a laissé les pieds afin de marcher… au pas. Que reste-t-il de vous, sinon des marionnettes arrogantes, dont toutes les phrases commencent par « moi je… ».

En termes de karma, ce dernier n’existe que si vous lui accordez une réalité. Tous vos ordres religieux, je dis bien tous, connus ou moins connus, sont phagocytés en leur centre par l’ordre noir mondial. Ce que vous faites inconsciemment par ignorance, les Maîtres de l’ordre noir le pratiquent en tant que science du pouvoir. Ne partez pas à la recherche de leurs cryptes secrètes, vous auriez alors beaucoup de mal à les confondre tant leur langage différera peu du vôtre. Tout ce qui est manifesté par la loi d’Amour est vrai et provient de la Réalité, de la Lumière-Vie ; quant aux manifestations de la loi de l’ombre elle n’est qu’erreurs, disharmonies, n’engendrant que souffrance.

La Mère est cette matrice universelle servant de moule et donnant vie à toutes créations, à toutes manifestations et nous savons maintenant ce que le terme « manifestation » peut englober.

C’est très simple, mes amis, pas de Mère, pas de miroir, pas d’image, pas de reflet de ce que nous sommes, du dieu que nous sommes, pas de VISION, pas de conscience.

Voyez et connaissez-vous en votre Mère. Connaissez-vous et en dernier lieu comprenez et ressentez cette réalité. Tournez votre regard vers le centre de votre univers biologique et laissez votre œil intérieur contempler ce que vous êtes.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

LE LIEU DE VOS DÉLICES, VOTRE TEMPLE SACRÉ

 

La Déesse des temples antiques s’adresse à vous :

« Je suis votre Mère car j’enfante tout ce que vous êtes, donne forme à toutes vos pensées, émotions et corps, ainsi qu’à toutes vos actions et circonstances de Vie.

 

Je suis votre épouse car j’objective toutes les semences que vous déposez en moi.

Je suis le sublime manteau de votre Unité.

Partout où vous poserez votre regard c’est Moi que vous contemplerez.

Partout où vous chercherez dans le labyrinthe des formes vous Me trouverez.

Où que vous alliez vous Me rencontrerez.

Émettez seulement une idée, un souffle, un rêve, un geste, une parole et déjà Je suis à l’œuvre afin de manifester votre volonté dans l’action. Ainsi voyez en moi l’Amour en action.

……..

 

Quelle que soit la nature de votre amour croyez bien que votre volonté trouvera inéluctablement Mes mains pour modeler à partir de Moi-même l’objet de votre désir, conscient ou inconscient soit-il.

Mes progénitures, Je suis là afin de réaliser les désirs de votre non-Amour.

Mes Fils, Mes Filles, je suis là pour réaliser ce que vous êtes dans l’Amour.

Quelle que soit votre intention Je ne vous rejette pas, là où vous allez je vous accompagne. Je suis le contour tangible de vos ignorances, de vos tourments et de vos drames.

Je suis la force de votre ascension, de votre santé, de vos harmonies, de la perception de ce que vous êtes en réalité et de vos vérités, de votre Amour ayant pris forme idéale, de votre richesse et de votre prospérité, de votre réussite, manifestés, ici et maintenant.

Je suis votre joie, la plus haute de vos émotions, le plus bel aspect de votre ÊTRE. Sachez que le Père prend forme par les émotions et que l’émotion demeure le corps compréhensible de Dieu. Dieu ne crée pas, il RESSENT. N’oubliez jamais cela !

Je suis le substratum de l’Amour par lequel toutes les formes de vie restent en relation, en communication, matérialisant le mystère de l’unité cosmique.

Il découle tout naturellement de ce qui précède que si Christ, votre Moi spirituel, est la totalité du désir qu’a Dieu de Lui-même, alors vous êtes la « matérialisation » de cet Amour infini, non pas en devenir mais bel et bien DÉJÀ RÉALISÉ. Prenez conscience de cela, qui est votre réalité manifestée et totalement développée, dans l’indifférencié et en cela même CONNAISSEZ QUE VOUS AVEZ DÉJÀ REÇU TOUT CE QUI EST INFINIMENT BON pour vous dans l’existence, pour vous et pour tous. Si cela ne s’avère pas totalement exact c’est qu’en un géosynclinal d’incarnation isolée vous avez enfermé cette conscience, c’est que vous n’auriez pas pu avoir la pensée de ce RÉEL DÉSIR.

J’aimerais vous entendre dire : « Je connais que JE SUIS le bonheur, la santé, la joie, la force… que JE SUIS l’Amour agissant ici en ce monde » et « maintenant je RESSENS l’objet de mon désir, Christ, et j’ai la JOIE ».

Qui est le « JE » qui ici s’annonce et prend la parole ? N’est-il pas l’artiste, le connaisseur, le penseur, n’est-il pas le PÈRE ?

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

À NOUVEAU, JE PARLE

 

……..

 

Vous vous demanderez alors comment vous aviez pu passer, durant si longtemps, à côté de cette puissance et cette extrême simplicité de l’expression pleine et harmonieuse de la Vie coulant en abondance pour tous.

Il ne sert à rien de devoir se culpabiliser pour avoir introduit l’enfer sur cette Terre et dans vos existences. Personne ne vous juge et ne vous condamne pour cela, pour la bonne et simple raison que le Grand Constructeur, que vous êtes, vous a permis, s’est permis cette possibilité, cette expérience afin que dans son processus d’autorécognition il puisse avoir accès à l’espace dans lequel il N’EST PAS. En cela demeure toute la mobilisation divine de se lancer dans la CRÉATION d’une CONNAISSANCE de SOI-MÊME, puis dans la cocréation équilibrée du RESSENTI de cette connaissance.

Comprenez que cette autorécognition demeure l’émergence de l’ÊTRE SUPRÊME au sein de l’univers créé, constitué de l’univers septuple, actuellement en fin de formation, et en phase de stabilisation finale. L’émergence d’un Grand ÊTRE d’aspect fini, « incarnant » l’aboutissement de l’autorécognition du potentiel divin fini, pour ce présent âge de l’univers, peut demeurer être une folle réalité offerte aux consciences qui sont encore les vôtres, mais n’en demeure pas pour autant n’être qu’une utopie, mais une magnifique et merveilleuse réalité. Cette expression finie ne sera en aucun cas de forme visible telle que vous pourriez, en l’état de vos consciences, le concevoir mais plutôt un potentiel d’aboutissement de conscience finie correspondant à cette première respiration divine.

Ne vous méprenez surtout pas, mes amis, n’allez pas faire ici une éventuelle projection anthropomorphique concernant la nature même de cet ÊTRE en devenir ; voyez plutôt en celui-ci l’émergence d’une HUMANITÉ DIVINE en laquelle nous seront tous inclus, fonctionnant comme un seul.

……..

 

Conjointement à votre création chaotique, la Mère céleste manifeste, sous l’impulsion de l’Amour, la réponse « miroir » afin de maintenir, par réflexe, l’équilibre absolu qui est et demeure à tout jamais la nature du Ciel. Je vous le dis, je garde en Moi ces trésors infinis, ces réponses, ces « réparations », ces transmutations, ces baumes afin que vous ayez la joie.

Je garde en Moi ce qui manque à votre chaos pour devenir l’expression équilibrée de l’Amour.

Voulez-vous sortir de votre désordre institutionnalisé ? Faites appel à votre équilibre, déjà réalisé en la Mère, et ce par le MOI christique. Ici même, réside le parfait mécanisme de votre propre RÉDEMPTION.

L’Amour est singulièrement amnésique vis-à-vis de toutes vos erreurs, il demeure sans jugement, il est l’AMOUR INCONDITIONNEL.

Le mot-clé de la rédemption est le PARDON.

Le pouvoir clé du rédempteur est CHRIST… et nul autre.

Le Christ que vous êtes peut SEUL « pardonner » les erreurs commises dans votre courant de Vie. Vous aviez cru que votre Frère, Jésus, était venu pour cela il y a vingt siècles, quelle erreur ! D’une manière générale, lorsque j’évoquais le Christ, le Moi Supérieur en chacun de vous, vous compreniez que Jésus, seul, est le Christ, le fils UNIQUE de Dieu.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

LA DOUBLE FILIATION DIVINE

 

De « l’union divine » sont nés deux courants d’êtres de filiation céleste, les FILS DESCENDANTS d’une part et les FILS ASCENDANTS d’autre part.

Voici, très brièvement abordé ici, le mystère de l’origine de l’ensemble des êtres créés parfaits en tant que pures émanations du verbe divin destinés à maintenir le lien lumineux tout au long de sa descente dans les finis.

Comprenez que cette vague de Fils Descendants est créée PARFAITE, alors que la vague d’esprit que vous représentez est créée infiniment plus humaine que divine, avec toutefois cette dernière potentialité d’expansion. Les premiers sont là pour créer le lieu, la scène d’expériences de Vie et les étincelles christiques dont les humanités sont alors composées. Ils sont là pour baliser le chemin d’ascension de leurs frères, leurs égaux en divinité, les « Fils ascendants » et ce au sein de ce décor.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

NOUS TOUCHONS AU BUT

 

Tout au long de cet ouvrage, vous aurez déjà pu le constater, il ne sera question que de Dieu qui veut s’appréhender Lui-même. Pour ce faire il ne peut opérer que sur Lui-même et en Lui-même, il n’y a rien et personne d’autre pour le réaliser et sur qui opérer.

Légitime réflexion du quidam : « Si Dieu existe, où est-il ? Où se cache-t-il ?

Et la meilleure réponse que nous pourrions lui apporter : « Il s’est donné l’illusion d’une forme et caché à l’intérieur ».

Demander à quelqu’un de créer ce qu’il est déjà voilà bien là une divine ambiguïté. Je dois tout de suite vous tranquilliser, car ce n’est pas la seule nécessaire illusion à être relevée dans ce domaine de l’autorécognition divine.

En réalité il n’en est rien car le Dieu que vous êtes est l’ÊTRE absolu, l’indifférencié, le CONNAISSABLE. Tout le jeu de la création consiste « À LE RENDRE SENSIBLE » et par voie de conséquence compréhensible. À qui doivent bénéficier tous ces efforts, pour qui tant de sollicitudes ? Pour Vous-mêmes, mes bien aimés, pour le Dieu que vous êtes.

Nous sommes tous, à des stades divers, cette émergence compréhensible au travers de notre action.

 

Nous aurons l’occasion de revenir plus amplement sur la filiation des Fils de Dieu descendants et ascendants afin de définir leurs rôles dans ce processus divin. Pour l’instant, il est simplement bon de noter qu’il y a sur Terre trois « états » de courant de Vie incarnés :

Tout d’abord le courant de l’humanité qui va quitter cette nouvelle Terre, devenant très rapidement un véritable enfer pour lui, ceux qui ont encore envie de jouer sur le déséquilibre de la création. Ne voyez pas en ce départ un quelconque bannissement, ils ont déjà leur place ailleurs. Ne les condamnez pas pour leur choix, ils vous ont permis, en les imitant, de percevoir le côté lumineux de la création. Ils vous auront, d’une certaine manière poussés jusqu’aux portes de Vous-mêmes.

Puis vient le courant de l’humanité qui s’éveille à l’Amour et qui va devenir résidant des nouvelles dimensions de vie de votre planète, Nous avons évoqué un troisième courant d’humanité. Certes, beaucoup plus restreint. Il est composé de deux types d’entités : vous avez tout d’abord parmi vous des âmes qui, en réalité, n’auraient jamais eu à s’incarner car elles ont, depuis longtemps, parcouru entièrement leur évolution, pour ce présent âge du Maître Univers, atteignant le statut de résident du Soleil Central. Nous les appelons les Révélés Divins. Puis vous avez aussi, parmi vous, des êtres qui sont de la filiation divine des Fils de dieu descendants. Ils sont les divins représentants de La Trinité divine. Ils ne sont pas devenus spirituellement matures par un processus évolutionnaire d’autorécognition divine, ils sont nés parfaits, sont des esprits complets du septième ordre. Ils ont été, pour la plupart d’entre eux, créés conjointement avec cet univers local.

Ce sont ces Grands Êtres, encore dissimulés parmi vous, qui sont venus vous chercher en accomplissant le plus grand des sacrifices.

 

………

 

À cette longue liste, non exhaustive, de tous ces êtres ajoutons tous ceux qui, si près de vous, à vous côtoyer constamment, restant inexistants à votre cécité temporaire, pourraient être vos alliés si vous y consentiez résolument et consciemment, j’ai nommé les Êtres de la Nature. Ceux-là demeurent innombrables.

……….

 

 N’oubliez jamais que la spiritualité n’est en rien une pseudo-connaissance d’un ciel auquel vous devez vous soumettre dans la prière implorante et les prosternations. Elle n’est pas ce Ciel auquel vous prêtez mille et une intentions justifiant vos errances fatalistes, à qui vous faites dire tout ce que vous désirez, surtout tout ce que vous voulez faire faire aux autres. Le Ciel n’est en aucune manière celui qui va cautionner vos paroles, vos actes de barbarie et comportements manipulatoires. Les dogmes ne peuvent que figer l’infigeable. Figer ce n’est que créer un vide qui à son tour n’entraîne que la peur.

Non, je vous le dis, la spiritualité n’est rien de tout cela, elle est simplement la SCIENCE DE L’ESPRIT.

 

Oui, Dieu, pour être le plus grand des Artistes, n’en demeure pas moins le plus grand des scientifiques.

Oui, le processus de la création est bel et bien hautement SCIENTIFIQUE. Il relève d’un processus hautement précis dans toutes ses étapes, relevant du simple bon sens. Vos éducations parentales, cultuelles et culturelles, vos organisations sociales, vos gouvernements, n’ont-ils pas failli dans ce domaine essentiel à la croissance de l’être ? Pensant unilatéralement être dans la vérité, vos dictatures ont au moins l’unique mérite de le faire savoir, ce qui ne semble pas, à vos consciences, être le cas de vos illusoires et modernes pseudos démocraties. Bien que vos autocraties soient méprisables et méprisantes vis-à-vis des êtres auxquels elles prétendent apporter le bonheur, que dire de vos sociétés libérales qui ne sont, en dernière analyse, que des dictatures déguisées. Il est très facile de vous faire croire à votre pseudo-pouvoir décisionnaire, ce n’est qu’une question de mise en scène ; vous êtes de merveilleux comédiens nés, il suffit de vous fournir les bons textes. Je crois que vous vous êtes endormis, vous cauchemardez, bientôt le réveil.

 

Vous êtes invités à sortir de votre hypnose… Un… Deux… Trois, vous êtes maintenant réveillés et en paix. Ne condamnez pas. Moi, Celui qui en vous sait, je ne vous condamne pas. Reprenez votre pouvoir si longtemps délaissé, oublié, substitué à d’illusoires ersatzs externes. Reprenez rendez-vous avec votre Moi Supérieur, il est là, attendant que vous vouliez bien… reprendre AVEC LUI le parcours de la création spirituelle de Vous-mêmes, là où vous l’aviez laissé et continuez afin qu’ENSEMBLE vous le meniez jusqu’à son terme.

………

 

Prenons si vous le voulez bien un seul exemple, celui de la richesse. En créant du côté nocturne, vous pourrez avoir la richesse, certes, mais à quel prix !… Vous laissant éternellement insatisfait, elle générera le déséquilibre social et humain, se construira TOUJOURS au détriment des autres, qui en dernière analyse ne sont que d’autres parties de Vous-mêmes. Ce faisant, tôt ou tard, après avoir généré bien des malheurs pour s’établir, elle devra en générer tout autant afin de… s’éteindre.

En créant cette fois du côté lumineux, cette richesse se construira selon les plans et archétypes de perfection divins de votre univers, elle entraînera obligatoirement l’harmonie et le bonheur de l’humanité, dont vous faites partie.

Si pour réaliser la première option il vous faille déployer beaucoup d’efforts négatifs, il n’en va pas de même pour ce qui est de la deuxième option, où là, il n’y rien à faire, sinon cocréer la compréhension de la richesse que vous connaissez déjà être.

Souvenez-vous, tout ce que vous demandez au Père au nom de Christ Il vous l’accordera dans votre existence et connaissez que vous le possédez déjà.

Cette révélation ne vous renvoie-t-elle pas à l’être trin que vous êtes en réalité ?

Quel est votre Moi véritable, qui agit dans ce monde pour son Esprit, l’Artiste ? Le moi extérieur peut frapper éternellement à la porte de son esprit sans pour autant obtenir de réponse.

Que peut bien demander le Moi christique ? Que peut bien aimer votre Moi christique ? Tout simplement ce que son esprit veut, se comprendre et se ressentir. Comprendre et ressentir quoi, sinon Lui-même, l’Homme Dieu, qui dans le Ciel est déjà totalement et parfaitement développé. C’est là l’ensemble de vos trésors infinis, prêts, au gré de votre volonté, à se précipiter dans le domaine de la création finie. C’est en cela que vous connaissez que vous Le possédez déjà.

 

Vous trouverez infiniment plus de Vie sur une dimension ancrée dans la Lumière que partout ailleurs dans l’univers connaissable à partir de votre troisième dimension.

Lors de votre parcours cosmique, vers Vous-mêmes, vous ne cesserez de progresser vers une toujours plus grande « vivance ». Vous n’avez pu, même dans vos rêves les plus fous, avoir la moindre idée de l’ampleur de la réalité spirituelle, tant dans sa beauté que dans sa sagesse et sa joie.

………

 

Rien de tout cela ne fait partie de votre Réalité spirituelle. Mais rappelons-le encore ici, si besoin en était, le spirituel n’est pas dans les nuages ou les rêves, il est ici dans vos chaussures, là même où vous vous trouverez toujours. Votre simple démission de ce qui est vôtre depuis très longtemps est la cause de votre mal-être, de votre vide intérieur, si douloureux, au point de vouloir vous obstiner à le remplir d’émotions, de pensées, de pseudos vérités, afin de faire semblant de tenir debout et ainsi paraître vivant.

Depuis fort longtemps, vous vous évertuez, obstinément, à vouloir vous refléter sur l’envers du miroir de la Mère cosmique. Vous ne pouvez alors voir la Lumière que vous êtes en réalité, vous ne comprenez pas l’existence qui est la vôtre ! S’il y avait un Dieu… ! Voyez, tant de malheur et de victime, la preuve est faite… il n’y a pas de Dieu ! Voilà bien là quelques échos de vos souffrances retentissant sur les falaises de votre obscurantisme.

Alors, à coups de dogmes religieux et scientifiques, vous avez tenté de reconstruire ce qu’inconsciemment vous saviez avoir perdu, mais en vain. Après d’incessants efforts, qui font toute notre admiration, vous avez, pour certains, insatisfaits des allégations péremptoires de vos docteurs, compris que la seule manière de recouvrer votre vision, votre réalité, c’était de parcourir le véritable chemin intérieur, passer de l’autre coté du miroir, afin qu’une fois repositionnés dans le bon sens divin vous puissiez renaître d’esprit.

Aujourd’hui j’ai envie de rajouter que si vous voulez que JE SUIS se COMPRENNE et se RESSENTE, vous l’accomplirez par le CHRIST que vous êtes, en son NOM et seulement PAR LUI, vous l’aurez bien compris. Sans cela il y aurait rupture le la chaîne énergétique divine. A vous de voir et de comprendre.

Je n’ai jamais dit qu’il fallait passer par MOI, Jésus, pour aller au Père, mais bien par… LE MOI et en l’occurrence le Moi spirituel, CHRIST, présent en chacun de vous tous.

Qu’ont retenu vos docteurs de la foi des enseignements que j’ai pu laisser lors de ma dernière effusion terrestre ? Que vous étiez seulement la création d’un dieu qui vous demande de l’aimer en réponse de son amour paternel ; comprenez, lui témoigner une affection unique, exclusive. Combien d’entre vous se sont-ils égarés dans cette voie sans issue Changez la peur de vos vides en plénitude d’Amour. Vous allez, à juste titre, me faire remarquer qu’il n’y a là rien d’évident, mais certainement beaucoup de difficultés en perspective. Ce serait déjà un peu vite oublier que vous avez, en vous, en la présence de votre vrai Moi et en celle d’une véritable armée d’êtres de Lumière pour guidance, faisant partie du même Moi, le MOTEUR UNIVERSEL, capable d’accomplir, pour vous, ce rééquilibrage, ce réalignement sur votre Être véritable, sur votre trajectoire de Vie spirituelle et divine. Il est la seule puissance de transmutation capable de vous faire renaître, de vous rendre à Vous-mêmes. Il est et demeure éternellement la seule force capable de donner du sens à vos actes, à vos paroles, à vos pensées et enfin à votre état d’ÊTRE.

 

Penchons-nous à présent sur cette sublime manifestation, devrions nous dire émanation de l’ÊTRE.

Elle est, nous l’avons vu précédemment, un Esprit en lequel :

- Le Père demeure la DIRECTION donnée à cette émanation, l’Artiste du Ciel des cieux,

- Le Fils, ce que l’Artiste désire manifester, il est la PENSÉE représentant la vision de son Être ainsi sorti du rien, de l’insondable, le VERBE divin.

- L’Esprit Saint, le corps de la création, que nous avons aussi appelé la Grande Mère, par le fait qu’Elle enfante toute la création visible et connaissable, révélatrice de la Pensée.

Dans cet acte premier et éternel de la volonté divine, Dieu n’a d’autre choix que de se SAISIR LUI-MÊME en un DÉSIR, lequel désir de Lui-même demeure à tout jamais…

L’AMOUR DIVIN…

…DIEU QUI S’AIME.

Vous êtes, Nous sommes Tous, ce Dieu qui s’aime éternellement.

Nous voici enfin parvenus au sommet de notre réalité, à la source divine de notre Vie. Oui, mes amis très chers, Dieu s’aime infiniment car Il n’a que Lui-même à aimer. Il est ce tout qui EST et qui n’EXISTERA jamais TOTALEMENT, si tant est que son existence ne puisse émerger qu’au sein de sa création finie, dans ce présent âge de l’univers. Les autres phases de l’expansion du fini vers l’infini recèlent encore bien des mystères pour tous les êtres de l’univers.

Ici et en cela réside le secret de l’apparente dichotomie divine. Dieu EST et, comme nous l’avons déjà vu, ne peut se manifester à Lui-même que par ce qu’IL N’EST PAS.

Ainsi, afin de connaître « expérientiellement » le Tout que nous sommes, dieu le Verbe, nous devons créer en nous un espace, un lieu, une scène, un univers fini, afin que puissent émerger, de notre Lumière-Une, toutes les formes finies par lesquelles nous parviendrons à connaître, au travers d’une expansion de conscience progressive, ce que nous sommes dans notre vision primordiale.

C’est ainsi, mes très chers, que débute la création sans fin des êtres et des univers qu’ils vont habiter et continuellement embellir… ou détruire. Afin d’amorcer cette descente, dans SA création, le Fils a demandé à sa Mère de lui confectionner un vêtement idéal tiré d’Elle-même. Cette Lumière, cette Pensée infinie que nous sommes, cet Amour, s’est enfermé dans ce vêtement puis est venu dans le monde qu’il avait préalablement amené à l’existence. Ainsi des myriades de répliques du Verbe allaient, tous habillés de costumes divers et variés, fouler le sol de l’univers qu’ils venaient de faire apparaître dans l’espace et le temps.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

DU SOMMET DE NOTRE ÊTRE RETROUVÉ, ALLONS À NOUVEAU DANS LE MONDE AVEC NOS NOUVEAUX OUTILS DE CONSCIENCE.

 

Avec cette nouvelle vision, cette connaissance de l’Amour, vous pouvez maintenant facilement comprendre que tout est Amour, que toutes expressions finies se doivent d’être dans cette juste continuité et donc exprimées par Amour. Il devient alors en vous la plus grande des forces de la création, le moteur de votre Vie, la manière qu’a, le dieu que vous êtes de vivre et il n’y en a pas d’autre.

Si, comme nous l’avons vu, le Dieu que nous sommes, s’aime et qu’en Christ nous avons ce désir divin pour Lui-même totalement accompli nous devons nous attendre à retrouver cet idéal en toute création finie. L’Amour est bien évidemment la forme idéale de notre conscience.

Ainsi l’Amour qu’a Dieu de Lui-même s’étend de la Lumière-Vie indifférenciée jusqu’à la densification maximale de la substance divine, en formes diverses.

Je le répète, le MOTEUR de toutes manifestations demeure à tout jamais être…

… L’AMOUR.

 

Pas l’amour que vous connaissez, cette sous caricature d’imitation, faussement idéale, qui, en dernière analyse, se trouve n’être que calculs conscients ou inconscients.

Afin de mettre en route ce moteur cosmique, non humain, mais divin, il faut réellement aimer comme dieu aime, il faut donc impérativement commencer par…

 

VOUS AIMER !… COMME LE DIEU QUE VOUS ÊTES… S’AIME.

 

Mes amis, souvenez-vous toujours, il n’y a rien d’autre que vous, Dieu. Alors je pourrais vous dire qu’aimer, selon ce qu’aimer divinement signifie, c’est…

CRÉER…

…selon le plan divin, avec l’esprit, l’âme et le corps de Dieu. C’est créer l’idéal, l’harmonie, la beauté en toutes formes manifestées. Vous devez finir, ici même, ce que le divin que vous êtes, a commencé de toute éternité, avant de descendre au sein même de la création de sa propre connaissance et compréhension.

Contrairement à votre non-Amour, cet Amour-là agit toujours dans le silence le plus complet. Il ne s’épuise pas à claironner ce qu’il fait, il le fait, c’est tout. Il le fait pour le Père.

Contrairement à votre non-Amour, cet Amour-là n’exige rien. Il ne pose pas de condition à ses réalisations. Dans son discours il n’y a pas de si… ou de mais… il n’attend rien en retour. J’observe que vous passez vos existences à croire aimer, simplement pour être aimés, en retour. Regardez-y de plus près. Cette affection tant désirée, tant convoitée aussi, n’est-elle pas, en fait, une simple recherche d’identité ? Être l’être aimé, aimé pour ce que vous faites, pour ce que vous pensez, pour ce que vous dites, n’est-elle pas une attitude qui tente de poser un cautère sur une fausse identité d’âme ? Quatre-vingt-dix pour cent de vos souffrances sont par conséquent d’ordre AFFECTIF !

Contrairement à votre non-Amour, cet Amour-là ne se glorifie jamais, il ne passe pas son temps à se contempler le nombril tout en affichant un air compassé, qui bientôt ne sera que du passé.

Contrairement à votre non-Amour, cet Amour-là vous rend infiniment LIBRES.

Pourquoi vous évertuez-vous à FAIRE afin d’ÊTRE ? Ne s’agit-il pas d’Être, préalablement, en prenant conscience de tout ce que nous avions oublié de Nous-mêmes et de laisser cet ÊTRE reprendre les choses en mains là où nous les avions laissées et enfin le laisser… FAIRE ? Ce qui est bon pour lui l’est forcément pour nous tous.

Il n’y a rien d’autre à faire que de s’aimer. En vous disant cela je sens déjà de votre part venir une légitime question : « Ne faut-il pas voir en cela que pur égoïsme, un égoïsme absolu ? ». Je vous répondrais sans détour que c’est bien là un grand et divin paradoxe. Ce n’est néanmoins qu’une apparence de paradoxe car si vous deviez le qualifier ainsi vous mettriez la réalité divine à l’extérieur du divin, l’aimé à l’extérieur de l’aimant, sans vous rendre compte que l’un et l’autre ne font qu’un. Dieu a-t-il d’autre choix que d’aimer tout ce qu’Il est ? Veuillez bien observer que le fait même d’avoir, durant des éons, mis l’aimé à l’extérieur de l’aimant, vous avez soigneusement, brique après brique, construit votre enfer.

Reprenez votre vraie place, votre véritable identité. Aimez-vous tous comme le Christ vous aime.

Réidentifiez-vous : renommez-vous. En vous réidentifiant vous ouvrez en vous la porte à la joie divine.

Et ce faisant vous deviendrez cette création finie de la Vie-Une s’écoulant continuellement ainsi dans le monde, puis de monde en monde et, chemin faisant, vous pourrez dire :

« Je connais que je suis CELA »…

… avec la conscience que cet aspect de votre Être participe à l’émergence même de l’ÊTRE SUPRÊME, cette émergence finie, infiniment plus que le rien, mais bien loin encore du tout indéfinissable et insondable que vous êtes. Vous serez alors devenus cet Être suprême qui doit représenter l’aboutissement fini, dans ce présent âge de l’univers, du dieu infini.

Puis dans un avenir immensément lointain vous direz alors :

« Je connais que JE SUIS CE QUE JE SUIS EST ».

Et, qui sait, parvenue à ce terme ultime, ayant servi l’expansion finie de la conscience devenue consciente d’Elle-même, cette création-ci n’aura alors plus sa raison d’être. Ce monde multidimensionnel pourra disparaître. Alors augurons que notre divinité initialisera une nouvelle expiration au travers d’une nouvelle création dont nous ne pouvons encore rien dire, amenant cet Être Suprême encore plus près de l’Absolu.

Sachez bien que vous avez déjà, en vous, cette possibilité d’aboutissement, car ne l’oubliez pas vous êtes ce Dieu même dont il est question depuis le début de notre entretien.

 

Lorsqu’au travers de vos cultes incultes, quels qu’ils soient, vous vous prosternez, je vous en prie, n’en faites pas des tonnes, je ne vous vois pas, car vous n’honorez pas la Vie. Lorsque vous M’adressez vos prières, vos jérémiades, je ne vous entends pas, car la ligne téléphonique ne peut naturellement s’ouvrir qu’aux vrais abonnés. Les seules prières qui puissent me parvenir sont uniquement celles issues de votre esprit, elles sont déjà exaucées ; elles deviendront visibles lorsque vous serez à même de pouvoir recevoir leurs réponses. Lorsque vous affirmez M’aimer vous mentez, car vous êtes dans le plus grand des péchés, l’ignorance. Dans vos « maisons de Dieu » il n’y a que le vide que vous invoquez, souvent recouvert d’or fin afin de le rendre moins évident à vos yeux et à votre cœur reproduisant là le même vide que vous avez si savamment installé en vous-mêmes et jeté en pâture aux « goldens Boys ».

Vous et votre monde en soufrez. Réagissez en réapprenant à vivre à la manière de Dieu, votre véritable nature. Commencez-vous à comprendre ce que signifie AIMER ; ne serait-ce pas créer, créer non pas comme vous le faites, mais divinement, avec ce que cela implique ?

Lorsque vous cocréez l’Amour par Christ ou au nom du Père, ce qui revient au même, faites-le en aimant l’humanité « unitaire » et non pour un tel ou une telle en particulier. En effet, vous ne pouvez connaître votre humanité qu’en sa TOTALITÉ. Nous l’avons déjà dit mais il bon de le répéter. Il n’y a pas d’autre réalité en votre esprit et en votre cœur divin et spirituel. L’action étant initialisée, le particulier recevra ce qu’il doit recevoir, pas forcément ce qu’il pense lui manquer. Il recevra, le meilleur pour lui-même, selon la plus haute vision qu’il a de Lui-même.

Il s’ensuit donc un corollaire qui peut faire force de loi :

« Vous ne pouvez prendre contact qu’avec ce dont vous aurez préalablement pris conscience ».

Je dis bien conscience et non connaissance intellectuelle.

Quoi que vous fassiez, voyez préalablement QUI vous êtes, pour QUI cette action est entreprise et Quel est le but poursuivi par celui qui ici EST.

En d’autres termes, QUI, pour QUI et QUOI devraient pouvoir se rejoindre au sein de l’unité de la Réalité. L’unité Lumière-Vie agit sur Elle-même et ne demande qu’à se comprendre et se ressentir. Il n’y a rien d’autre, nous sommes Cela, tout cela et rien que cela.

VOIR, la connaissance de ce que vous êtes, votre première et unique création parfaite et infinie, le Seigneur Dieu de votre Être, est le commencement et le moteur de toute action dans le domaine de vos créations finies.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

LE MOT DE LA FIN

 

Vous et nous, ses Fils, ascendants et descendants, sommes impliqués dans le grand œuvre de l’émergence de Dieu. Non pas celle du dieu infini, déjà accomplie, sous son aspect trinitaire, eu sein même du Soleil Central, mais celle du dieu fini, manifesté dans sa forme finie, l’Être Suprême. Il doit être l’émergence maximum de la possibilité "expérientielle", pour ce présent âge de l’univers. C’est encore là un grand mystère pour les êtres de l’univers, qui ne pourra trouver sa réponse que dans les éons à venir. Lorsque vous grandissez dans votre courant de Vie, Il grandit Lui aussi, apportant là une approche de réponse à l’utilité et la finalité du courant des êtres ascendants de l’univers, dont vous faites partie. Le Christ que vous êtes, par l’Amour, crée l’être résultant des expériences de la Vie-Une, s’écoulant et se qualifiant à travers vous, en vos processus existentiels de conscientisation de la conscience Christ.

De la même manière que le Christ, incarnation du verbe divin, du Seigneur-Dieu, au sein de cet univers multidimensionnel manifesté en ce présent âge de l’univers, représente votre état d’Être idéal, destiné à parvenir à une réalisation abouti, d’un certain potentiel divin, en sa personnalisation nommé, ici, l’Être suprême, il est à prévoir qu’Il sera, à n’en pas douter, le nouveau point de départ, le nouvel état d’Être idéal, de la prochaine expansion de réalisation du divin en son autorécognition.

 

Lorsque les sept Super-Univers seront totalement ancrés dans la Lumière Vie, alors que la Fleur de Vie sera totalement épanouie et active, dans un lointain avenir, il est fort probable qu’une personnalisation suprême apparaîtra sur la sphère directrice de ce septième Super-Univers. Sa fonction sera d’administrer suprêmement le Maître univers actuellement en formation.

Nous abordons là des événements situés tellement loin dans l’avenir qu’ils ne peuvent être cités ici qu’à titre de simple information donnant toutefois une image de l’expansion infinie de l’expérimentation des potentiels de la Lumière Vie.

Celui qui vient proclame sa venue parmi vous, depuis fort longtemps, tout spécialement en cette fin de dispensation où, comme vous pouvez le constater, les transformations, tant internes qu’externes, s’accélèrent. La dernière de ces proclamations a été faite par l’un de vos grands frères, il y a deux mille ans de cela : « Aux temps de la fin, Moi, Je serai parmi vous ».

Non pas Moi, Jésus, ou bien d’autres, mais le Moi christique sera parmi vous en vos consciences éveillées d’une part mais aussi en la personne d’un grand Fils de Dieu incarnant cette réalité. Sa présence parmi vous le sera en tant que « facilitateur » car ne vous y trompez pas ma véritable venue se fera par vous, en vous. Nous ne faisons qu’un, vous souvenez-vous ? Je ne reviens pas vivre parmi vous dans la similitude de la chair. Il est tout aussi vrai que Je serai parmi vous, dans les temps nouveaux, comme beaucoup d’entre Nous, qui sommes aujourd’hui, à l’œuvre, de l’autre coté du voile. Cela sera rendu possible avec l’installation de la Nouvelle Terre et d’un nouveau Ciel. Ayant alors fait un pas vers Nous, Nous pourrons alors, en contrepartie, en faire des milliers vers vous. Lorsque ces temps adviendront une grande joie s’élèvera dans tout l’univers manifesté car toutes les « communications » seront alors rétablies entre la Terre, les autres zones de l’univers et tous les autres plans d’existence, générant ainsi énormément d’allers et venues sur votre sol en provenance de ces « ailleurs ».

Vous, mes fils, revêtus de l’habit tantôt masculin, tantôt féminin, selon les nécessités de vos choix du moment, étincelles de Vie pour qui ces quelques pages n’auront peut-être pas été que de vains mots vides de sens, vous êtes chacun un prolongement du Père qui s’éveille ici à Lui-même aujourd’hui. Vous êtes promis à l’aventure grandiose vous menant, à travers les univers, jusqu’à la maison de vos origines, infiniment plus riches qu’au départ d’une précieuse connaissance et compréhension de Vous-même.

Désirer quoi que ce soit, vous l’aurez alors compris, devient une simple aberration qui n’a qu’un effet, celui de replier l’énergie sur Elle-même. Désirer revient à ignorer ce que nous sommes en réalité, le désir de Dieu déjà totalement réalisé. Désirer c’est se dire que nous ne sommes pas complets, qu’il nous manquerait quelque chose. Être dans un état de non-désir n’est-il pas l’état d’être NATUREL, permettant à notre accomplissement réalisé de s’écouler dans notre existence, et ce AU-TO-MA-TI-QUE-MENT selon les avenues formelles que nous lui offrons naturellement ?

 

Il vous est maintenant demandé de passer à l’action. Qu’est-ce à dire ? Simplement de FINIR CE QUE VOUS AVEZ COMMENCÉ AVEC L’ACCOMPLISSEMENT DE L’HUMANITÉ CHRIST : soit connaître que vous êtes le désir divin totalement accompli, incarné en Vous, tel que vous êtes en ce corps, votre identité-humanité civile et morale, vous connaîtrez que vous êtes Cela, la porte unique vous permettant de finir votre œuvre spirituelle, en ressentant cette réalité. Votre boucle sera enfin bouclée.

 

 

 

VIVRE SPIRITUELLEMENT

 

 

Conscient du fait qu’à lui seul ce titre recèle, pour beaucoup d’entre vous, au moins trois énigmes, nous allons ici, au travers des filtres de vos mots, porter sur elles un éclairage nouveau.

Comment se fait-il, en effet, que nous allions jusqu’à englober le terme « vivre » dans le domaine des énigmes ? Effectivement, pour l’observateur extérieur, non au courant de votre situation cosmique, vous regarder vous agiter sur la scène du monde peut représenter une singulière énigme. C’est cette agitation que vous nommez la vie. C’est aussi le segment d’illusion, borné par la naissance et la mort, que vous parcourez en essayant, parfois, de vous demander ce qu’il peut bien représenter. En fait, à y regarder de plus près, vous êtes obligés de bouger afin de ne pas mourir. Pour des êtres qui sont censés être l’expression même de la Vie, il y a là une singulière dichotomie oubliée au fond d’un tiroir.

Vivre pourrait aussi se résumer à cette suite de « rituels » d’existence vous permettant de vous sentir vivant. Vivre, est-ce suivre assidûment les rituels édictés par l’un quelconque des dogmes religieux qui ont vu le jour sur cette planète ? Est-ce, chaque jour, à chaque instant, s’oublier soi-même au seul bénéfice des autres ? Est-ce alors s’appliquer à essayer de se construire des corps inférieurs aptes à être les instruments idéaux éventuellement capables d’exprimer un idéal supérieur ?

À tous ceux qui singent ainsi ce qu’ils estiment être œuvre ou attitude spirituelle en espérant, consciemment ou non, une réaction synergique de l’autre pôle de leur éternelle dichotomie, je dirais ceci : « Qu’avez-vous fait de votre réalité déjà baptisée du feu de votre esprit ? Si vous ne vous êtes pas encore réconciliés avec l’unité de votre ÊTRE, il se pourrait bien que ma réponse puisse vous choquer et vous plonger dans un océan de perplexité ».

Vivre spirituellement n’est rien de tout ce qui précède.

Nous y voilà, le pavé est jeté. Ne vous offusquez pas. Je ne suis pas venu vers vous afin de vous faire des reproches et vous condamner. Je viens visiter vos cœurs afin de vous aider à retrouver votre liberté, votre plénitude, votre maîtrise et votre royauté, en vous aidant à recouvrer votre véritable identité.

Alors, vivre spirituellement, est-ce une attitude de l’ÊTRE, que vous avez oublié d’être, ou bien dans le FAIRE, quel que soit l’être du faire ?

En fait, mes amis, il s’agit bien de l’attitude unique de votre ÊTRE dans le FAIRE.

Reste alors à définir ce que nous entendons par l’ÊTRE et le FAIRE.

Dans une première approche nous pourrions dire que l’ÊTRE est ce que vous avez oublié, quant au FAIRE, c’est tout, sauf ce que nous vous voyons faire depuis des éons.

Autrement dit, la perception que vous avez de la Vie est infiniment éloignée de votre Réalité. Néanmoins vous êtes attirés vers cette réalité en respirant, presque malgré vous, dans son atmosphère. Cette respiration est ce que vous appelez la foi, qui, si elle n’est pas sclérosée par un dogmatisme, quel qu’il soit, guide l’âme sur les sentiers vertigineux de la liberté dans sa Lumière-Vie.

Vivre spirituellement cela pourrait être vivre à la manière de Dieu dans la substance de Dieu. La substance dans laquelle vous vous mouvez serait-elle étrangère à Dieu, au Dieu que nous sommes, qu’individuellement nous sommes ?

Vous vous trouvez aujourd’hui tellement loin de cette réalité que le simple fait de l’évoquer comme un idéal de vie, simplement souhaitable, peut dans le meilleur des cas déclencher chez beaucoup d’entre vous un sourire compatissant sinon une réaction violente de protection envers un ennemi invisible.

Vous allez bientôt devoir ranger vos bûchers et vos camisoles d’exclusion, car la main bienveillante du Créateur est sur le point de tout ouvrir en grand, portes et fenêtres, laissant enfin entrer chez vous la plus belle des lumières. Un air renouvelé va alors souffler dans les éthers et vous faire découvrir bien des paysages intérieurs.

Sous l’action de ce révélateur alchimique une évidence s’installera, à savoir que toutes les activités religieuses exotériques n’étaient, hélas, que l’émergence et l’activité des forces de l’ombre, d’un monde sans lumière, aspirant par la foi à celle-ci, en obtempérant, avec des airs faussement compassés, aux diktats des modes d’emploi soit disant donnés par le Ciel. J’ai fait tous les tiroirs et cachettes possibles du Ciel afin de trouver s’il y avait une secrète recette simulant la sainteté menant auprès du Père, J’ai dû parcourir pour cela l’Univers des univers, rien, Je n’ai rien trouvé. Inutile donc de vous évertuer à vouloir faire tamponner votre carnet de bonne conduite, votre esprit, votre réalité, votre Amour blotti tout au fond de Vous-mêmes n’en a que faire.

Il n’est, ici, nullement nécessaire de devoir argumenter et justifier un tel constat. N’êtes-vous pas assez observateur pour établir, Vous-mêmes, un tel avis de discernement ? La qualité des fruits produits par les arbres de vos institutions et par l’exercice de la vie dans vos existences ne parle-t-elle pas d’elle-même ?

Vous vous évertuez à ne manquer de rien, sauf de ce qui pourrait faire de vous des dieux, cocréateurs de l’Amour, et faire de la Terre un paradis.

Cette force, cet Amour est la seule « chose » que vous pouvez posséder, si vous le désirez, sans que cela ne vous coûte quoi que ce soit, c’est peut-être pour cette raison que nous n’en trouvons pas encore sur cette planète.

Y a-t-il une réelle différence entre le plus vénérable de vos religieux et un sanguinaire dictateur ? Bien que très différents dans leurs rôles et dans leurs propres mises en scènes des ombres, ils ont tous deux oublié leurs bagages de Lumière et d’Amour en venant apparaître de votre côté du voile. Ou bien se pourrait-il aussi qu’ils les aient intentionnellement laissés chez eux ?

Beaux anges des Cieux, un beau jour vous avez débarqué sur ce quai de gare, dans les cris, le tumulte et le désordre organisé, dans la puanteur des machines vrombissantes et les sifflements stridents des délestages de vapeurs surchauffées, des convois qui s’ébranlent vers de multiples horizons.

Vous avez tous pris un grand nombre de ces trains d’existence, parce que telle a été votre volonté, en espérant, peut être, débarquer sur d’autres quais, et aller ainsi, d’horizon en horizon, avec l’inconscient espoir d’aller à la rencontre de Vous-mêmes. Vous avez essayé bien des trajectoires afin de valider de multiples modes de vie, mais n’en trouvant aucun d’idéal et pérenne.

De contrées en contrées, vous avez tous conjugué le verbe aimer, l’illusion d’Aimer. Cela a pu aller de l’amour de soi, jusqu’à l’altruisme le plus accompli, qui se révèle, en dernière analyse, n’être que la recherche de l’amour des autres envers soi-même ou bien d’être aimé de dieu.

Je vous dis que vous êtes des dieux, que vous êtes Dieu qui s’aime. Le « Ciel » s’approche et cela ne reste pas sans effets sur votre monde, vos existences et vos secrètes intimités.

En ces temps d’amples turbulences, votre monde, vu d’en haut, ressemble à une immense fourmilière venant de recevoir un grand coup de pied. Cela s’agite dans tous les sens, c’est l’affolement général. C’est chacun pour soi et le « sauve-qui-peut » reste au demeurant le seul mot d’ordre diffusé au sein de la fourmilière humaine.

Que deviennent alors vos références et vos certitudes ?

 

Ces perturbations, certes dérangeantes, dramatiques et apparemment incompréhensibles, ont pour vertu de vous mettre face à vos ombres, en vous poussant inexorablement vers les portes de VOTRE Lumière. Ne partez pas en guerre contre elles, elles sont les censeurs de votre émergence, de votre renaissance. Il vous est demandé de les reconnaître et de poser sur elles le regard reconnaissant de la connaissance qu’elles ont su révéler en vous sur le chemin vers Vous-mêmes, vers la maîtrise incarnée.

Vous êtes beaux et pathétiques à la fois. Nous vous voyons parcourir la Terre en tous sens, à la recherche de richesses alors que vous dormez aux côtés des trésors les plus fabuleux. Ils sont le fruit parfait de l’Esprit, de l’Amour dans sa forme créée la plus parfaite, la plus accomplie, déjà prêts à se précipiter, sans conditions, dans le domaine de vos existences. Ils ne sont que Vous-mêmes, tel que le Dieu que vous êtes s’AIME et se manifeste à Lui-même jusqu’à se RESSENTIR dans le jeu de vos existences.

L’Amour, dont il est question ici, est infiniment plus éloigné de la conception que vous ne pourrez jamais vous en faire dans les domaines mental et émotionnel. Vous aimez à transposer cette affection que vous pouvez éventuellement avoir pour votre prochain, en l’amplifiant infiniment, et alors vous vous dites que ce doit être cela l’Amour que Dieu porte à ses enfants. L’Amour divin n’a rien à voir avec cela. Cet Amour-là dont il est ici question est créateur, au sens absolu et divin du terme.

Avec votre conception de l’Amour, vu au travers du filtre de vos amours, il serait peut-être ennuyeux et sûrement injuste que chacun puisse avoir tout ce dont il pourrait jamais rêver, maintenant, sans demander l’autorisation à qui que ce soit, sans effort, en quantité illimitée, à portée de main, et qui plus est, sans passer par qui que ce soit, sans avoir à payer quoi que ce soit. Où donc seraient alors les « bons » et les « mauvais », les « premiers » et les « derniers », les « intelligents » et les « ignorants » et les petits malins, au chômage ! ?

Les « méritants », les « élus » dédaigneraient certainement que les « perdants » puissent posséder les mêmes richesses et les mêmes pouvoirs, et de crier vers le Ciel : « Ah ! S’il y avait un Dieu… ! ».

Je vous le redis, vous êtes tous des Maîtres et Dieu… Lui-même. Vous êtes un seul ÊTRE, infini, omnipotent, omniscient, ayant la tête dans SON Ciel et les pieds sur SA Terre.

N’allez pas chercher votre Ciel au-delà des étoiles, troquez plutôt votre combinaison de spationaute contre celle d’un spéléologue, car c’est à une descente en Vous-mêmes que je vous convie.

À y regarder de plus près il semblerait bien que vous aviez emporté le Ciel avec vous, à même votre corps. Vous en étiez-vous rendus compte ?

Vous êtes des êtres divins, issus de Dieu, ayant fait éclater sa Réalité en une multitude de Lui-même, reproduite à l’infini.

Aujourd’hui, une intention, votre intention première, remonte à la surface de votre conscience, celle de reconstituer le puzzle de ce que vous êtes en vérité, de remettre la machine en route et de reprendre le cours des choses là où vous les aviez laissées, avant que vous ne vous perdiez dans votre courageux sacrifice d’incarnation spatio-temporelle.

Vous dites vouloir vous épandre vers votre prochain avec le cœur grand ouvert. Soit. Voilà une démarche fort louable. Mais, qu’avez-vous à leur proposer ? Spirituellement parlant, que pouvez-vous pour eux dans votre état de stérilité ? Ne soyez plus des aveugles conduisant d’autres aveugles. Ayant pratiqué sur vous l’auto exérèse du cœur, il est bien évident que même en ouvrant grand votre cœur, rien de ce que Dieu veut, ne pourra s’y épancher jamais. Je fais ici, bien entendu, allusion au cœur véritable qui se cache encore derrière le cœur de vos amours, désirs, passions et affections, étiolés ou dilatés selon les émotions du moment.

Afin de vivre réellement, afin de vivre spirituellement, il vous faut tout d’abord partir à la recherche de Vous-mêmes, celui-là même qui, venant dans le monde de sa création, voulait et veut toujours re-exprimer tout ce qu’Il est déjà génériquement, de manière à ressentir ce qu’Il EST, au travers des conditions, formes et circonstances finies « incrustées » dans sa substance universelle.

Vous n’avez RIEN à apprendre mais seulement à vous SOUVENIR.

 

Avant d’espérer donner des fruits parfaits, les beaux fruits de l’esprit divin, il serait souhaitable que vous soyez devenus des arbres dignes de ce nom. Pour cela il vous est demandé de vous AIMER.

Je dis bien de vous aimer et non d’avoir une très grande affection pour Vous-mêmes, cela vous savez déjà très bien le faire depuis la nuit des temps, depuis que vous avez appelé la nuit sur votre temps. Il vous est demandé de vous aimer et d’aimer votre prochain comme le Christ vous aime.

J’ai dit le Christ et non Jésus, ou quelque autre personnalité spirituelle ; J’ai dit votre Moi et non Moi.

Suppose un seul instant que Dieu vienne à ne plus penser à ce qu’Il EST, à ne plus s’aimer, eh bien, tu disparaîtrais instantanément, toi et aussi toute forme de vie, tout ce qui emplit et compose l’univers serait annihilé et tu te retrouverais être… Dieu Lui-même, avant qu’Il ne se mette à penser à Lui-même. Surpris ! ?

 

C’est ainsi et seulement ainsi que l’Être COMPLET va sur les chemins de la Terre, comme dans tout l’univers créé, en cocréant sans cesse son existence sensible.

Car c’est bien ce déni, ce manque de coopération entre votre Moi supérieur et votre corps céleste, la Grande Mère des cieux, qui a fait de votre Moi christique le grand muet de vos existences, pour l’avoir bâillonné et lui avoir alors substitué un moi extérieur exprimant sa propre loi des ombres. C’est ici que se situe votre chute et nulle part ailleurs. Celle-ci s’est réalisée au sein même de votre corps céleste. C’est en cela et pour cette raison que les déesses des cryptes antiques, que votre partie féminine, furent tant décriées, rendues responsables de votre chute.

Cocréez, ressentez la JOIE de votre connaissance et c’est votre grand corps céleste qui, sous l’impulsion et la guidance de Christ, manifestera dans le domaine visible, à l’autre bout de votre esprit, dans la substance infiniment malléable toutes les conditions susceptibles de faire naître cette joie. C’est aussi simple que cela.

En fait, mes amis, quoi que vous fassiez, si ce n’est pas Vous, l’ÊTRE de la Réalité qui le fait… pour Lui, alors soyez CERTAINS que RIEN de tout ce que vous faites n’est spirituel, RIEN. Vous ne vous poserez plus la question de savoir quelle est l’attitude juste correspondant à la Vie spirituelle, elle s’imposera d’Elle-même et ne sera que l’incarnation de votre intention pure, celle de vouloir ressentir la connaissance de ce que JE SUIS EST.

Cela seulement est vivre spirituellement.

Vous n’aurez plus à vous poser la question de savoir comment installer la santé, l’Amour, la joie, la richesse, la réussite, la prospérité dans votre existence, ils s’installeront d’eux-mêmes et ce en parfaite harmonie avec non seulement toute l’humanité mais avec toute la création.

 

 

 

 

 

 

 

 

LES LOIS DE VIE

 

 

Tout au long des lignes qui précèdent vous aurez pu prendre conscience à quel point le fait de CONNAÎTRE est absolu et celui de RESSENTIR est créateur du parachèvement de notre œuvre spirituelle. Une nouvelle prise de conscience vient alors d’être atteinte, celle découlant du fait que :

 

« LA CONNAISSANCE AU MOYEN DE L’AMOUR INCONDITIONNEL DEVIENT L’ACCOMPLISSEMENT DE LA COMPRÉHENSION DE L’ÊTRE ».

 

De nouvelles énergies porteuses de nouveaux patterns de vie pénètrent ce monde. Je pourrais parler de nouveaux mondes et de voyages vers des contrées encore inconnues, car c’est bien vous tous qui allez les faire émerger de l’Océan du Tout en des créations nouvelles, variées à souhait, d’inégalables et toujours plus grandes beautés.

Avec ces nouvelles données, qui s’implantent sur cette minuscule sphère de l’espace infini, s’installe un nouveau paradigme de vie. Ce nouveau paradigme sera SPIRITUEL.

Il y a quelque temps de cela J’aurais pu rajouter « ou ne sera pas ». Mais vous avez trouvé en vous la force d’en décider autrement. Vos efforts, vos luttes incessantes ont ouvert une brèche sur des espaces que vous ne pouvez encore voir et admirer, encore vierges de vos semences d’Amour. Une nouvelle Terre, votre Eldorado si longtemps rêvé, si parfaitement créé dans vos imaginaires les plus prolifiques, encore si loin de la réalité potentielle qui est la sienne. Une nouvelle Terre pour des êtres nouveaux ayant recouvré leur conscience. La légende va prendre forme sous vos regards émerveillés.

Plus tard, beaucoup plus tard, vous verrez poindre en vos cœurs le besoin d’aller encore plus haut, plus loin que ces nouvelles dimensions de vie dans lesquelles vous êtes sur le point de pénétrer. Alors, le moment venu, viendront parmi vous de nouveaux enseignants, de nouvelles énergies, de nouveaux patterns et doucement vous vous avancerez avec joie vers un devenir où Dieu vivra une approche de ses plus hautes visions de Lui-même. L’aventure est loin de s’arrêter là. Je parle ici et ainsi de l’aventure de votre planète, de son humanité, mais nullement de votre aventure individuelle.

Vous êtes, chacun, un petit univers à part entière qui décide de par Lui-même de franchir les étapes de conscience, l’ascension de sa réalité, au rythme qu’il désire. Vous n’êtes nullement attachés à une planète en particulier, vous ne les avez créées, en tant que dieu, que pour vous servir de lieu où expérimenter vos patterns de vie.

L’aventure qui s’offre à vous est infinie, cette planète n’en est qu’une étape, parmi beaucoup d’autres, sur lesquelles vous expérimenterez la Lumière-Vie dans des moules de plus en plus élevés.

Je vais, pour vous, entrouvrir ici un espace de conscience sur ce qui vous paraît être une énigme. Je fais souvent mention de ce que nous appelons la Lumière-Vie ou la Vie Une, ainsi que de l’ombre/lumière. Sachez que le premier de ces termes fait référence à La création n’est alors qu’un jeu de forces et le maître du jeu demeure être l’Ego. Il n’y a, nous l’avons vu, que deux états d’ego : celui du non-Amour ou celui de l’Amour christique.

Cet ouvrage n’est qu’un des multiples incarnations de la Vérité, qu’une de ses infinies facettes, à savoir une RÉALITÉ SPIRITUELLE. Il n’est pourtant pas une ombre, il est véritablement la réfraction de la Vérité au travers du prisme de vos mots, de vos pensées, de vos actes, de vos consciences. Je sens donc dès à présent une inquiétude monter en vous : « Notre Ami serait-il en train de nous faire comprendre, qu’éventuellement, ce livre pourrait être ou pourrait contenir des non-réalités, des erreurs, des ombres chaotiques ? ». Cet ouvrage est une création d’Amour et en cela est en parfaite harmonie avec la Vérité spirituelle, il est une Réalité. Il n’est pas là pour vous apprendre quoi que ce soit, vous savez déjà tout cela, il vient vers vous afin de vous réveiller et vous aider à vous souvenir.

Pour ce faire remplacez le « connais-toi toi-même » par « connais le Soi en toi-même ».

Connaître est votre VISION absolue. Avec la première formulation, au mieux, vous aurez une opinion mentale de ce que vous êtes, non de QUI vous êtes réellement. Avec la formulation suivante vous abordez la dimension de votre vrai Moi et l’emmenez dans le domaine visible par l’action de ressentir cette vision même.

Dans le premier cas « connaître » ne peut rester qu’une cogitation mentale, dans le deuxième il devient un ACTEUR CRÉATEUR divin par lequel vous devenez la connaissance dans le ressenti et la compréhension de votre réalité. N’oubliez jamais ceci :

 

« RESSENTIR C’EST DONNER UN MOULE PARFAIT À LA CONNAISSANCE DE L’AMOUR CRÉATEUR »

ou

« Ressentir l’objet de son désir, Christ, devient la JOIE dans notre existence spirituellement CRÉE »

 

Aujourd’hui voit la fin de cette mise « en quarantaine ». Pour ce faire cette humanité va devoir vivre avec la loi du Grand Constructeur. Vous l’aurez déjà compris, cette loi cosmique n’est autre que…

 

 

… LA LOI D’AMOUR.

 

……..

 

Regardez encore quelques instants en arrière sans pour autant vous arrêter, continuant à avancer vers les portes de votre cœur, vers la Lumière si souvent vue avec fugacité, voyez d’où vous venez, soyez conscients de ce sur quoi vous jetez encore quelques regards attardés, c’est bien cela l’ENFER, le terrain de sport des ego déséquilibrés. Ne critiquez pas, vous y avez très largement contribué, soit en tant qu’acteur zélé ou bien en ayant si souvent pratiqué la systématique déresponsabilisation. Ne vous condamnez pas, tout cela n’a aucune importance pour le dieu que vous êtes. Y êtes-vous ?

…….

 

Il ne s’agit pas de s’efforcer à vivre ainsi, en essayant de respecter autant que possible ces décrets divins, car alors, n’y prenant garde, vous ne feriez que dogmatiser, une fois de plus, une fois encore, en reconstruisant un culte du bon savoir-vivre sur une nouvelle terre, culte qui ne pourrait que vous aliéner de nouveau. Il s’agit de vivre effectivement sous la loi d’Amour, vivre comme Dieu vit. Nous ne parlons pas ici de se soumettre à quelques lois que ce soit, mais d’ÊTRE cette loi d’expression de votre réalité, de votre Être divin.

……..

 

Vivre sous la loi, ce n’est rien d’autre que VIVRE COMME DIEU et Dieu vit en créant continuellement par toutes Ses émanations : son Verbe, le Seigneur-Dieu, ses Fils christiques et les fils de ses Fils.

Lorsque nous sommes rendus en conscience dans cette Lumière rien ne nous est IMPOSSIBLE, absolument RIEN !…

Cette façon de vivre est d’une infinie simplicité, aux possibilités infinies. Mais rappelez-vous, la loi ne fera POUR vous que ce qu’elle pourra faire PAR vous. Cette façon de vivre SPIRITUELLEMENT ne s’engouffrera que dans l’espace que votre conscience lui accordera. Voyez Vous-mêmes où se situe la hauteur de votre idéal de Vie.

Élevez donc votre corps, élevez votre forme de conscience jusqu’à l’idéal DÉJÀ accompli et voyez si par bonheur votre souhait ne pourrait pas s’installer dans votre existence… à la manière idéale de votre Être.

Dans l’ancienne énergie, qui s’amenuise exponentiellement, votre loi était :

FAIRE afin d’ÊTRE.

Dans la nouvelle énergie, qui maintenant commence à s’installer, la loi d’expression de la Vie devient :

ÊTRE afin de FAIRE…

SELON LA LOI DE L’ÊTRE.

Cet Homme céleste, notre réalité spirituelle, n’est autre que l’image de l’Être dans la création. Mais ne vous y trompez pas, il n’y a pas d’un côté la création et de l’autre cet Homme des cieux, le Seigneur Dieu de notre Être.

Cet Homme dans le Ciel est LA PREMIÈRE ET UNIQUE CRÉATION SPIRITUELLE. Elle englobe tout, est tout ce qui en JE SUIS est virtuellement exprimable. Il est à tout jamais la permanence. Tout ce qui est issu de cette permanence, afin de prendre forme, demeure être impermanent et donc sujet à constante évolution.

L’Homme qui atteint cet état de conscience sait que tout cela est bien à lui, Lui, l’esprit qu’il est, alors il Est…

SANS DÉSIR.

Que peut-il désirer qu’il n’ait déjà ? Christ n’est-il pas le désir divin déjà totalement réalisé ?

Connaissez que vous êtes cela, ceci demeure un préalable, une porte, une identité spirituelle indispensable à l’acte cocréateur que vous allez maintenant poser, c’est tout ce qu’il vous reste à faire,…

… FAITES-LE.

 

La clé de votre changement demeure à tout jamais votre CONSCIENCE de Vous-mêmes.

NON au malheur, en Christ je CONNAIS que JE SUIS heureux…

 

… et je RESSENS la JOIE du bonheur.

 

NON à la tristesse, en Christ je connais que je suis dans la joie…

 

… et je ressens la joie dans mon existence.

 

NON à la soumission, je connais que je suis libre…

 

… et je ressens la joie de la liberté.

 

NON à l’indigence et à la pauvreté, je connais que je suis l’abondance…

 

… par Christ cela s’accompli et la Mère le réalise dans mon existence et dans l’harmonie divine.

 

NON à l’asservissement de l’ombre, je connais que je suis libre dans ma Lumière spirituelle…

 

… et cela devient la joie d’une existence libre.

 

Prononcez tous les « non » qui vous paraîtront nécessaires au recouvrement de votre véritable identité, à l’apparition du Christ que vous êtes, de l’ÊTRE que vous n’avez jamais cessé d’être. Alors et seulement alors, le monde que vous vouliez changer viendra à vous et voudra connaître votre secret.

Ceux qui viendront font déjà partie de l’un des courants de l’humanité qui s’éveille, quant à l’autre, lui, sortira du cadre de votre existence.

C’est avant tout à votre réalisation extérieure générée par votre ego déséquilibré, votre moi extérieur, qu’il faut dire non !

Vous, les « connaissants » par la loi d’Amour, pourquoi seriez-vous soumis à la pesanteur de la matière, pourquoi seriez-vous soumis à un quelconque karma, pourquoi seriez-vous soumis à des influences astrologiques handicapantes et limitatives, pourquoi ne seriez-vous pas tout simplement…

LIBRES ! ?…

N’êtes-vous pas des dieux…

N’êtes-vous pas Dieu ! ?

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

TROISIÈME PARTIE

 

 

 

Après votre montée vers le soleil, redescente vers la Terre

 


 

 

 

DE LA GRÂCE DE DIEU ET DE SES FILS

 

 

La démarche mentale la plus difficile, pour votre humanité, a été et est encore celle de pouvoir admettre et concevoir la préexistence de la Vie par rapport à la matière, de la pensée par rapport à l’univers. L’athéiste semble être un refuge pour tous ceux qui ne comprennent pas leur raison d’être, pour ceux qui ayant émis quelques requêtes au Ciel l’ont trouvé bien muet. Quant aux croyances il semblerait bien qu’elles ne rapportent rien de mieux, mais cela occupe et réconforte en sachant que vous serez récompensés lorsque le moment venu il vous sera fait comptabilité des bonnes observances aux codes de conduite édictées.

Vous pouvez entrapercevoir une infime partie de l’existence formelle, quant à sa préexistence Je vous ai guidés vers elle, au fond, tout au fond de Vous-mêmes à la rencontre de Vous-mêmes. Rendus à ce point du voyage, il est normal et légitime de vouloir connaître, mettre le doigt sur le sas, sur la porte communiquant entre les deux aspects de notre Réalité, entre le fini et l’infini, le dessein derrière la forme. Allons-nous toucher du doigt ce nœud gordien une fois pour toutes ?

Les chapitres précédents ont pratiquement répondu à cette question. Cette porte ne peut, en effet, que faire partie des deux aspects à la fois, ne peut qu’être le point de convergence de l’ÊTRE et du NON-ÊTRE, de la Vie et de la Création.

Cette porte n’est autre que LE CORPS COSMIQUE INFINI. Notez bien que je parle ici du cosmique et non de l’univers créé, le premier sous-tendant le second. Où se trouve-t-il ? Mais… partout !

Vous le trouverez au sein de la plus infime particule subatomique, de la cristallisation minérale, de la cellule végétale, animale et humaine, dans l’air même que vous respirez. Si vos sens vous le permettaient, vous le trouveriez aussi au sein de votre structure émotionnelle et mentale. Lorsque vous aurez enfin posé le premier pas sur l’univers spirituel, vous le trouverez encore là, plus actif qu’auparavant et qu’ailleurs, donnant forme et animant toute vos cocréations.

Vous vous situez maintenant sur le seuil de cette porte, dans ce sas de passage. Pouvez-vous le franchir ?

L’angoisse de cet inconnu vous étreint-elle ? Êtes-vous pris de vertige devant cette immensité sans fin qui s’ouvre à vous ? Non, rien de tout cela ne se produit. Vous êtes plutôt envahis par une paix indescriptible, une joie sans nom, vous êtes CHEZ VOUS !

Alors, mes amis, pouvez-vous conquérir cette supra « vivance » qui maintenant s’offre à vous, pouvez-vous avancer… d’un pas ?

Personne ne peut franchir ce seuil à votre place. C’est votre porte et il vous appartient d’en taper le code d’accès, votre clé se présentant sous la forme de votre réelle prise de conscience.

Jusqu’au seuil vous ne faites qu’exister, passé le seuil vous ÊTES. D’un côté vous parodiez ce que vous pensiez être la vie en lui arrachant, de-ci de-là, quelques lambeaux afin de l’emprisonner dans les fers de vos salles de tortures que vous appelez civilisations évoluées, cultures, cultes et traditions sclérosantes. De l’autre vous connaissez être la LUMIÈRE-VIE, qu’alors vous exprimez continuellement par votre EGO christique.

Pourquoi le Fils de Dieu a-t-il besoin de prendre corps pour amener les desseins du Père dans le monde ? Il est vrai qu’à vos yeux cela pourrait prendre l’aspect d’un véritable mystère. En simplifiant et en raison de l’unité du Cosmique nous dirions que par ce processus, le corps de votre monde, vos corps et le corps d’effusion du Fils, ne font alors qu’un. Souvenez-vous, l’océan.

Cette « osmose » cosmique permet au Père d’adombrer la substance de ce monde des nouvelles données de vivance pour les milliards d’années à venir.

Sur cette planète l’Ombre a régné si longtemps qu’il vous semble naturel et logique de ne connaître que la déchéance et l’extinction du corps, à l’image apparente des cycles de la nature terrestre qui sont : naître, grandir, dégénérer et mourir.

Vous allez voir de plus en plus de personnes naître, grandir et rester jeunes durant des âges, puis disparaître en emportant leur corps… et ce sont les entreprises funéraires qui vont râler ! Votre chère planète s’installant dans sa nouvelle dimension, bien des aspects de la Vie vont changer tout autour de vous ; attendez-vous à l’inattendu, nous ne vous le répéterons jamais assez.

Vous êtes légitimement curieux de savoir ce qui se passera pour vous lors du passage sur ce nouveau plan d’existence.

Apparemment rien. Vous ne vous retrouverez pas ailleurs dans les limbes où tout recommencerait à zéro. Si c’est cela que vous redoutez dans votre imaginaire, détrompez-vous, rien de tout cela n’a de réalité. En fait, vous serez toujours là et à la fois pourtant pas tout à fait là. Ce que J’essaie de vous faire comprendre c’est que vous serez toujours sur cette planète, mais à y regarder de plus près la Vie ne fonctionnera plus tout à fait de la même manière.

Les lois de la nature, physiques, biologiques, par exemple, seront modifiées et vous découvrirez que la matière est soumise à l’esprit, à la pensée. Alors beaucoup de changements interviendront dans les temps qui suivront, ce dans tous les domaines, non seulement concernant la vie de tous les jours, mais aussi et surtout sur le plan personnel. L’aspect des modifications intérieures prendra une très grande place dans vos nouveaux centres d’intérêt.

Vous apprendrez à voyager dans l’espace intersidéral, vers des destinations inimaginables, tout à fait inconcevables aujourd’hui et ce en quelques moments, non pas avec des engins technologiques issus de la science de l’ombre mais dans des capsules faites de « matière vivante ». Durant cette période trouble que vous allez devoir traverser vous allez renouer les contacts avec vos frères de l’espace extérieur. À cette occasion votre discernement sera alors durement mis à l’épreuve. En d’autres termes nous pourrions vous dire que toutes les technologies, aussi éblouissantes puissent-elles vous paraître, ne sont pas obligatoirement de Lumière, ce qui pourra vous éclairer sur leurs créateurs.

………

 

Que deviendront les croyances et les cultes actuels ?

Si l’athéisme n’aura alors aucun sens, les cultes n’auront quant à eux aucune utilité.

……….

 

 Avec l’activation de ce nouveau « logiciel de Vie », vos sociétés, vos institutions, vos gouvernements, changeront radicalement. Tout sera axé sur l’ÊTRE, son bonheur, son épanouissement et son évolution spirituelle afin que les potentiels divins puissent s’extérioriser selon la loi d’Amour. Reconnaissez que vous êtes à l’opposé de cette saine et sainte vision de la réalité.

En d’autres termes :

L’ÊTRE SERA POUR TOUJOURS INSCRIT AU CENTRE DE LA VIE

afin de devenir le

FRUIT PARFAIT DE L’ESPRIT,

par la

LOI D’AMOUR

et enfanté par la MÈRE Céleste.

 

Si jusqu’à présent vous avez désespérément tenté d’exister dans l’illusion de vivre, maintenant il vous est demandé d’ÊTRE et de VIVRE… en créant, car le dieu que vous Êtes vit en créant.


 

 

 

ALLEZ JUSQU’AU BOUT DE VOTRE RÊVE

 

 

Il vous est demandé maintenant de passer à l’ACTION. Rappelez-vous, mes amis, l’action n’est-elle pas la merveilleuse contrepartie de votre Être ? N’est-elle pas l’opportunité que votre unité informe trouve ici, au bout du cycle de manifestation de son intention pure, l’occasion si longtemps rêvée de se contempler, de se découvrir, de se ressentir en l’exercice formel de toutes ses qualités et vertus ?

Le fait de vous retrouver sur cette sphère de la création n’est-il pas une occurrence unique afin de parvenir à votre but ? Ne vous êtes-vous jamais sérieusement posés la question de savoir pourquoi les êtres que vous êtes, que nous sommes tous, sont inéluctablement destinés à exister, à manifester la Vie en la revêtant d’habits plus ou moins subtils et ce sur la scène de la création tout entière, qu’elle soit existante ou à venir ?

Nous faisons très souvent allusion à ce « voile » qui nous sépare. Se pourrait-il que vous soyez de véritables parias cosmiques, exilés là, afin d’expurger quelques graves fautes commises dans le passé ? Non, mes amis, vous avez tout simplement choisi cette dimension d’expression de Vie. Un courant de Vie qui ne peut, vous l’aurez bien compris, s’écouler qu’au travers des unités cocréatrices que vous avez voulues et acceptées d’être, au travers de votre identité dimensionnelle, voire multidimensionnelle. Cette identité ayant recouvré sa véritable et sublime vision d’ELLE-MÊME, est maintenant éternellement destinée à exprimer de nouveau son verbe divin, cocréant continuellement, ici et ailleurs, l’Amour.

Souvenez-vous, vous êtes venus ici pour réaliser cette cocréation, cette identité spirituelle, non pas selon le processus et schéma divin, ce qui est déjà fait, mais selon les spécificités locales afférentes à l’univers que vous avez décidé pour un temps de parcourir. Alors, pour cela, vous n’allez plus faire appel « directement » à la Mère Cosmique, votre corps de lumière sans forme, de nature absolue, mais vous allez commencer à entendre parler de forces telles que les Dévas, les Maîtres du Feu, et de bien d’autres encore, déclinées de la précédente.

Comme nous le verrons plus loin vous avez votre propre pouvoir et devoir d’ancrage de l’Amour sur cette dimension d’expression de la Vie, et comme nous le rappellerons plus loin, après vous être réconciliés avec votre ÊTRE, il vous reste à l’ancrer ici par un acte conscient de votre part et de votre part seulement.

Qui que vous soyez, parmi les Fils de Dieu ascendants, que vous fassiez partie des étincelles de la monade centrale descendues, il y a bien longtemps de cela, sur cette sphère de Vie, les saints innocents, ou des esprits quelque peu rebelles, émigrés de lointaines contrées cosmiques, vous êtes tous destinés à réussir votre retour, l’échec s’avère être totalement impossible. Afin d’y parvenir, chacun a défini sa propre trajectoire de Vie.

…….

 

Encore une fois, en ce qui concerne vos frères de l’Ombre, d’ici ou d’ailleurs, ne les considérez pas comme des cancres incurables, que Dieu va un jour, espérez-vous, totalement éradiquer de son univers, de son royaume. Ne les considérez plus comme des êtres irrémédiablement noirs. Dois-je vous rappeler que parmi tous les enfants de la trinité, il n’y a pas de premiers et de derniers, de puissants et de faibles. Il y a simplement des étincelles de Vie qui se sont, dans le choix de leur parcours, révélées à elles-mêmes avant d’autres, rien de plus. Remerciez-les, bénissez-les, souhaitez-leur bonne route, elles se sont offertes à jouer le jeu de l’ombre afin de vous pousser à faire éclore votre Lumière… tout simplement avant la leur.

………

 

Afin d’éclaircir ici votre trajectoire revoyons ensemble ce qu’elle est depuis son origine : Vous êtes Dieu qui se révèle à Lui-même en son verbe, nous l’avons nommé « Le Seigneur dieu de votre Être ». Vous êtes l’ensemble des « Fils descendants » dont le rôle essentiel est de créer un univers dimensionnel, une scène d’expression des formes de Vie. Une fois cette scène mise en place vous vous y êtes incarnés en tant qu’étincelles de Vie afin de comprendre tout ce que vous êtes.

Qu’est-ce que la Terre, les soleils, les galaxies et les univers ? Qu’est-ce que la Création tout entière ? Vous avez déjà pu le percevoir dans les pages précédentes, elle n’est que la manifestation visible du corps cosmique de l’Homme de la Réalité spirituelle, le corps visible de ce que vous êtes, celui du JE SUIS Humain.

Mues par la pression centrifuge, vos étincelles esprit sont venues chercher dans la création une révélation d’elles-mêmes. Le mouvement d’inspiration centripète permet à la supra conscience de votre divinité de prendre alors conscience d’Elle-même. Revenus au point de départ vous serez alors prêts pour une nouvelle expiration, au travers d’un autre univers, révélant de vous des potentialités encore bien supérieures.

……..

 

Afin de parvenir à vos fins vous vous êtes préalablement dotés d’un lieu parfaitement adéquat, un univers matériel et spirituel. Que ce soit l’un ou l’autre, tous deux participent de la substance universelle. Vous commencez à vous transformer, souvent douloureusement, car l’Amour qui ici vient brûler vos anciennes cultures, vient aussi labourer profondément les strates de votre être, votre petit être, afin d’y ressemer et d’y faire à nouveau grandir les fruits de l’Amour. Il y a tant de choses que vous avez oubliées et qui maintenant commencent à taper aux volets de votre demeure. Ouvrez-vous à Vous-mêmes ! Aimez le dieu que vous êtes afin de conscientiser le Fils de cet Amour en vous, son IMAGE afin de pouvoir enfin manifester, rendre visible sa RESSEMBLANCE.

………

 

Vos douleurs restent proportionnelles en intensité à vos résistances d’adhésion à vos vieilles peaux culturelles, scientifiques, morales et religieuses, à vos strates mentales et émotionnelles, savamment empilées les unes au-dessus des autres, durant des temps. Tout votre monde de valeurs, durement acquises durant ce que vous estimez être votre très longue évolution, ne semble-t-il pas s’effriter sous vos yeux avec le sentiment de ne pouvoir rien y faire ? Vos institutions, si solidement implantées, ne semblent-elles pas s’éclater dans toutes les directions ? Vous ne comprenez pas ce qui se passe. Votre monde est sur le point d’accoucher d’une nouvelle humanité, une humanité composée d’Humains ; la péridurale s’appelle « acceptation de la Vie dans l’Amour ».

Avec la Terre, vous êtes porteurs de l’ensemble du programme d’expansion de la Vie dédié à cette sphère, vous en souveniez-vous ? Laissez-la vous aimer dans votre ascension et réalisation, elle fait partie intégrante de votre propre force de Lumière.

La seule différence pour vous, à l’heure actuelle, alors que tous vos efforts tendent à vous sortir de l’ombre, demeure dans le fait que votre propre forme limitée, apparente, reflet déformé de votre vraie conscience, n’est pas encore celle acquise par votre intention pure, oubliée. Votre vision de Vous-mêmes étant encore beaucoup trop erronée, voire incomplète, votre force ne fait alors que manifester, dans la substance, ce que son âme conscientise.

Je vois que vous vous posez beaucoup trop de questions, notamment sur le comment faire, comment pratiquer, se comporter. Mais vous n’avez pas à savoir comment, ne mettez pas encore ici, en cette œuvre et réalisation, votre grain de sel mental, par pitié, n’en faites rien, merci.

Maintenant je vois émerger dans vos réflexions une foule de questions, dont notamment celle-ci : depuis que nous errons dans l’erreur nous avons dû, immanquablement, générer un karma incommensurable, va-t-il alors falloir rembourser nos dettes à la Vie, au risque, dans l’affirmative, de voir notre réalignement reporté à des éons ? Et encore, cette « renaissance » va-t-elle devoir nous demander d’énormes efforts et devoir alors s’étendre sur un très grand nombre d’incarnations successives ?

……..

 

Il y a donc un logos sous-tendant la manifestation de l’ensemble de la création, que nous pourrions désigner par « maître univers » et un autre pour chaque subdivision de cet immense univers. Il y a un logos pour votre système solaire et au plus près de vous un logos pour votre planète. Ce dernier est porteur et directeur du programme d’expression de la Vie consciente, en ce point spatio-temporel de la création, participant à l’expansion de conscience du logos solaire et ainsi de suite jusqu’au sommet de la création. Ainsi, le logos de ce lieu d’expérimentation de la Vie qu’est cette sphère, se manifeste par le Déva de cette planète, de la même manière et pour les mêmes raisons que le logos du système solaire se manifeste par le Déva Solaire. Il en est bien entendu ainsi pour une galaxie et un univers. De même que nous pourrions dire qu’il y a une lignée de logos, il y a aussi une lignée de dévas constructeurs correspondants.

………

 

Nous avons vu, il y a peu, que chaque lieu de l’univers créé est le réceptacle de formes de Vie sous-tendues par un schéma directeur spécifique, celui d’un logos. La spécificité et la variété étant le don même de la Vie, l’univers manifesté, y compris vos conditions d’existence et vos états d’être, demeure le vaste théâtre de cette magnifique mise en scène. En d’autres termes le Grand Penseur universel, l’Homme dans le Ciel, veut qu’ici, dans cet univers local, dans cette galaxie, dans ce système et sur cette planète, sa Vie, en tant que total développement de ses qualités et vertus divines, puisse se manifester selon certains critères, selon un certain schéma directeur et non selon celui que nous pourrions alors trouver dans certains autres secteurs de l’univers. Vos chercheurs et savants devraient prendre enfin ce fait en compte lors de leurs investigations en ce qui concerne les possibilités de vies exobiologiques.

Je vois encore beaucoup d’entre vous s’éveiller à la Réalité de leur JE SUIS, mais ne pas savoir passer à l’action d’Amour, pensant que le seul fait de reconnaître leur Réalité suffit à manifester celle-ci dans leur existence. Ce faisant ils restent perchés tout au sommet de leur ÊTRE en geignant sur leurs conditions de vie et ne comprenant pas cette dichotomie de fait. Ne restez pas des êtres troncs, des culs-de-jatte, donnez-vous des jambes et des pieds planétaires, en accord avec votre partie divine.

………

 

J’ai bien dit, « la RÉALISATION » dans l’ordre divin et non plus dans votre propre vision ténébreuse et égotique de la réalité de la vie, en mettant en œuvre les forces de l’ombre, les dévas de l’ombre. Vous pensez, pour certains, ne pas faire partie de ce monde, certes, mais à vous tous Je le dis, vous êtes venus agir en ce monde afin que le monde d’où vous venez s’y reflète, s’y reconnaisse.

En allant jusqu’au bout de votre rêve divin vous expérimenterez les délices de votre réalité, sans limites, sans être obligés de vendre votre âme aux prélats et mentors de tous acabits, gestionnaires des forces de l’ombre automandatés. Vous ouvrirez naturellement les coffres de vos propres trésors, emportés avec vous dans ce voyage au sein de votre création, découvrant avec ravissement qu’il y en a assez pour tout le monde, jusqu’à satiété.

……..

 

Vous avez, durant des éons, œuvré avec les dévas de l’Ombre, les dévas de la destruction, et vous vous étonnez toujours de voir apparaître, entre autres, sans cesse de nouvelles maladies de plus en plus difficiles à soigner. D’autres maladies incurables et dévastatrices pourraient apparaître si vous ne coopérez pas avec Vous-mêmes. Vos chercheurs pourraient alors ne rien trouver afin de les contrecarrer. Je ne tiens pas à jouer ici les divulgateurs de mauvais augures mais je tiens par-dessus tout à vous mettre consciemment devant votre action désastreuse, devant la récurrence de vos déraisons. Ne voyez donc pas en ces dévas des forces maléfiques, mais voyez plutôt en eux, ces grands seigneurs de l’Ombre, de puissants alliés du divin. Voyez-vous le démon dans la gomme que vous utilisez afin de corriger, voire d’effacer vos erreurs ? Assurément non. Voyez, même votre manière de transformer la matière en énergie, s’avère être négative, entendez par là non conforme à la méthodologie spirituelle, non élaborée avec la loi d’Amour, la seule manière de réaliser son intention dans la substance universelle. En procédant à la fission nucléaire vous libérez, sans le savoir, dans votre dimension, des forces subatomiques qui n’ont de cesse que de trouver, que de se construire un corps d’incarnation leur permettant de concrétiser l’action potentielle qu’elles représentent alors. C’est la loi, TOUT DOIT PRENDRE FORME AVANT DE PRENDRE CONSCIENCE.

Ces forces ainsi libérées vont chercher un vêtement dans les sombres égrégores alimentés par vos pensées. Ainsi revêtues, elles s’en viennent parmi vous sous formes de mutations, de « bugs » insérés dans les programmes de manifestation biologique de la Vie, sous forme, par exemple, de virus dévastateurs. Je peux, aujourd’hui, vous révéler que nous sommes constamment obligés d’intervenir afin de devoir circonscrire ces conséquences désastreuses aux limites de votre planète afin que cette contamination n’aille perturber les éthers des autres systèmes environnants.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

VOTRE LUMIÈRE NE S’EXPRIME PLEINEMENT QU’AU TRAVERS DE VOTRE FLUIDITÉ ET DANS LE SILENCE

 

 

Ce qui précède et peut être tout le contenu de cet ouvrage peut encore, pour beaucoup d’entre vous, vous paraître incompréhensible voire même totalement abscons. Alors, rétorquerez-vous à juste titre, quel crédit pouvons-nous apporter aux divers aspects de cette vision de la Réalité qui nous sont offerts ici ? Pouvons-nous nous y fier ? Ou bien encore, avons-nous bien interprété les mots qui ici et là viennent jusqu’à nous ? Rassurez-vous, mes amis, il n’existe pas de réponse à ces légitimes interrogations car vous êtes Vous-mêmes cette réponse. Ce livre vient à votre rencontre non pas avec les seuls mots que vous pouvez lire mais aussi et surtout il vient vous rappeler à Vous-mêmes, avec les énergies de tout l’Amour divin que J’ai pour vous et qui, oublié de vous, se trouve tout de même au centre de votre incarnation.

Ce centre de votre Être, dont il est ici question, le début et la fin de votre manifestation, est à tout jamais votre refuge, votre Réalité. Devant toutes situations et interrogations allez en ce lieu sacré entre tous, faites silence et ressentez la réponse. Au plus vous vous tiendrez dans la fluidité de l’écoulement de la Vie, sans attachements aux formes de manifestation de celle-ci, dans la vacuité des stimuli extérieurs de votre être inférieur, au plus vous verrez clairement, au plus les circonstances vous inviteront dans l’action juste.

Il n’y a pas vous dont la réalité ne serait au mieux que terrestre et cet autre chose de divin, il n’y a que Vous en train d’expérimenter votre statut divin. Vous êtes, pour l’instant, des dieux en jachère d’Amour ; comme toutes les jachères il faut bien qu’elle est une fin et celle-ci a duré bien trop longtemps.

Est-il besoin de devoir vous rappeler, une fois encore, de ne pas essayer de vous rappeler, coûte que coûte, le contenu de ces écrits. Qu’ils proviennent de n’importe lequel de vos Frères et Sœurs ancrés dans la Lumière, ou de Vous-mêmes, J’espère vous l’avoir bien clairement fait comprendre, cela s’avère être strictement équivalent, vous êtes Eux et ils sont Vous. Ces pages existent dans l’unique but de vous aider à vous rappeler. N’analysez pas leurs contenus, car ce faisant vous ne feriez que les intellectualiser, faisant de ces mots un pseudo-substitut à votre véritable vision de la Réalité. Ne l’oubliez jamais, mes amis, il en va de votre libération spirituelle, la clé qui relie intimement la réalisation de votre humanité Christ à votre JE SUIS n’est autre que la Conscience, la conscience de ce que vous êtes en votre Moi supérieur, l’image de votre Réalité divine et suprême reflétée dans le pur miroir de la Mère céleste. Cette clé pourrait se résumer, comme Je l’ai déjà fait, lors de ma venue parmi vous il y a deux mille ans, par ce commandement qui pourrait précéder tous les autres : « VOYEZ » !

Inutile de devoir regarder en arrière, de réaliser quelque constat que ce soit en ce qui concerne les erreurs et dégâts collatéraux semés tout au long de votre parcours de vie. Tout ceci s’avère parfaitement inutile et quoi qu’il en soit vous n’auriez pas assez de serpillières pour éponger tout cela. Il vous reste donc à devenir l’expression finie de votre nature infinie, vaste programme, mais maintenant en tant que maître d’œuvre divin et non plus humain.

Justement, puisque nous parlons de serpillières, je vois tous les efforts légitimes réalisés par certains d’entre vous afin de « remodeler » leur complexe corporel inférieur à l’aide de ce que vous appelez le « travail sur soi » ou « développement personnel ». Mais il faut bien reconnaître que la plupart du temps cela ne ressemble qu’à un nettoyage dans votre propre eau sale.

Ce livre qui vous est offert n’a pas à être ingurgité à tout prix, afin de vous rendre soi-disant plus « connaissants ». Il fait appel à votre Divine Présence intérieure dans son travail d’alignement de vos corps inférieurs, composantes de votre petit être extérieur par lequel elle va désormais devoir s’exprimer. Tout ce qui vous est dit ici, comme ailleurs, vous le savez déjà. Nous ne faisons qu’éveiller ces souvenirs afin que votre VISION de Vous-mêmes redevienne celle de Vous-mêmes et nulle autre ; SOYEZ cette VISION et tout redeviendra alors possible.

Ne confondez plus fluidité et « service céleste ». Si votre fluidité vous ouvre les portes du Ciel en mettant ses armées angéliques au service de votre véritable Moi, dans l’accomplissement du plan du créateur sur cette Terre, il n’en va pas de même pour ceux d’entre vous qui croient voir, alors que leurs regards se dirigent toujours du bas vers ce haut, qu’ils espèrent entrevoir leur Réalité, devrions-nous dire, au travers des mentalismes alimentés par des notions spirituelles glanées de-ci de-là tout aux longs des divers chemins d’errance. Ces derniers s’égarent sur leur véritable intention et sur la direction que doit prendre leur regard. Et lorsqu’enfin la vision s’installera en eux, ils ne se trouveront plus dans l’inconfort du décryptage des réponses du ciel, en retour à une attitude relevant d’une intention erronée, mais par syntonie au centre même de leur point de rendez-vous, qui est leur cœur, la Vie s’adressera à eux par sa hiérarchie christique. Ils ressentiront parfaitement l’action à accomplir comme étant la leur, ils deviendront ce à quoi leur intention pure les destinait, l’incarnation même du plan, de leur plan spirituel. Il est simplement demandé de vous identifier à votre vision juste, à l’Amour qui demeure à tout jamais ce que vous Êtes, de faire silence (J’entends les ronronnements extérieurs tels que « je pense que », « il serait souhaitable », « selon moi » et « un tel a dit »…) et de laisser vos forces créatrices rendre cela, tout cela, visible sur tous les plans de manifestation. Cette véritable réalisation ne sera-t-elle pas l’Amour en action, dans le champ de vos forces de lumière ?

 

Comprenez que vous êtes le Ciel… et la Terre, qu’agissant ici et maintenant votre regard doit être dirigé de HAUT en BAS et non l’INVERSE.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

LE MIROIR QUE VOUS ÊTES

 

 

Combien de fois avez-vous déjà utilisé l’expression « L’autre coté du miroir » en désirant simplement évoquer l’aspect invisible de la vie, le dévachan des disparus, l’autre facette de votre réalité.

Vous êtes tellement habitués à cette vision, à celle qui veut qu’il y ait un « ici » et un « autre coté », et avez imprimé cela si profondément dans vos concepts existentiels qu’il vous est aujourd’hui extrêmement difficile, voire impossible, de pouvoir entrevoir simplement votre propre réalité créatrice.

 

« Miroir, mon beau miroir, dis-moi… » ; vous vous mirez afin de voir l’image de Vous-mêmes, et c’est bien là la seule et unique manière de connaître celui que vous êtes, vous n’en possédez pas d’autres.

 

Alors, ce faisant, vous viendrait-il à l’idée de retourner ce miroir et de vous contempler sur sa face étamée ? Cela vous semblerait totalement stupide, mais c’est pourtant ce que vous faites depuis des éons, pour ce qui concerne l’image de votre réalité.

Depuis ces temps si reculés que l’humanité Elle-même en a perdu le souvenir, les images formées dans le miroir céleste n’évoluent depuis lors que dans la couche étamée de celui-ci. Dans ces conditions n’espérez pas voir s’y refléter l’être divin que vous êtes en réalité.

Tout au long de ces pages J’ai essayé de transporter votre vision de l’autre coté afin que vous compreniez ce qui vous reste à réaliser, afin que vous preniez en main votre propre devenir, que l’on puisse un jour entendre la voix des cieux dire : « Enfin des Humains sur cette Terre ».

 

Feriez-vous appel à votre patronyme afin de vous connaître réellement, ou bien chercheriez-vous simplement votre reflet ? Pourquoi, alors que votre réponse paraît ici si évidente, psalmodiez-vous des « Je Suis » et des « Christ » aux quatre vents ? Répondez à cela. Espérez-vous qu’alors, par un effet de sa gracieuse divinité, vous vous retrouviez nantis de la qualité de cela même auquel vous faites alors appel en référence ? Pour l’avoir expérimenté si longtemps ne trouvez-vous pas que les résultats acquis laissent quelque peu à désirer ?

 

Il y a une loi fondamentale d’expression de notre Être que vous finirez bien par comprendre et qui pourrait s’exprimer ainsi :

 

« Nous ne pouvons prendre contact qu’avec ce dont nous aurons PRÉALABLEMENT pris conscience. »

Et NON L’INVERSE.

 

Méditez bien cela afin que cette vérité de votre Être vienne prendre la place qui est la sienne en vous, une place qu’elle n’aurait en fait jamais dû quitter.

 

Et aussi :

Cette CONSCIENCE c’est L’HOMME-CHRIST.

L’image et la ressemblance du divin.

 

Et encore ceci : TOUT DOIT PRENDRE FORME AVANT DE PRENDRE CONSCIENCE.

 

Cette image idéale, qui se forme dans le Grand Miroir de la Mère Céleste ne peut être que cet Homme-Dieu qui pose ses pieds sur cette Terre afin d’agir en ce monde, en connaissant au travers de toutes ses cocréations l’ensemble de toutes ses vertus et qualités DÉJÀ totalement et infiniment développées.

 

Que nous reste-t-il à faire, sinon à former, en nous, cette image jusqu’à devenir cette image même.

Comment pourrions-nous espérer exprimer notre divinité si nous ne le faisons pas par cette image PRÉALABLEMENT FORMÉE… ÉNERGÉTIQUEMENT ?

 

En fait, vous, l’Homme-Dieu, l’image et la ressemblance divine, incarné en ce corps et en ce lieu d’expérience de vos potentiels divins, vous êtes CETTE IMAGE. Si cela ne s’avère pas encore exact c’est que vous n’en avez pas encore pris réellement conscience et qu’ainsi vous n’aurez pas encore pu RÉALISER cette image.

 

C’est le SEUL Homme ainsi créé qui peut à son tour cocréer, de la MÊME manière, non plus dans le générique qu’il est alors devenu, mais dans le spécifique, connaissable et compréhensible, ce à partir de sa propre création infinie et totalement accomplie.

Personne, absolument personne ne peut prétendre exprimer l’Amour du Verbe divin, s’il n’est pas, préalablement Lui-même, son image. Un tel Homme exprime et extériorise la hiérarchie spirituelle qui ne fait alors qu’un avec Lui.

 

Et ce n’est pas en vous mettant dans n’importe quel « état », préalablement admis comme étant béni par votre soudaine élection au rang de partenaire avec le divin et sa hiérarchie, que vous aurez pu, ne serait-ce qu’un instant, rêver et imaginer avoir pu exprimer quoi que ce soit de divin. Vous aurez, dans le meilleur des cas, exprimé ce que seule la conscientisation de votre image et ressemblance vous auraient permis : au pire la réalisation d’une action de magie noire, au mieux la promulgation d’un enseignement, singeant la lumière, afin de maintenir ses fervents adeptes dans les rets du faux Amour, empêchant par là même, pour un temps encore, ceux qui les écoutent d’ascensionner vers leur Réalité. En termes de partenariat vous auriez alors servi, avec beaucoup de dévotion, les forces de la lumière sombre. Mais Je désirerais ajouter ici quelque chose qui au demeurant pourrait effectivement en surprendre plus d’un, à savoir que les singeries des étages « supérieurs » peuvent aussi, d’une certaine manière servir, sans s’en rendre compte, la Lumière.

Qui croire alors ? Nous sommes de plus en plus plongés en un océan de perplexités, me direz-vous. Que peut-on répondre à cela, sinon que tant qu’il vous suffira de croire vous ne saurez pas. De la même manière et pour les mêmes raisons que lorsque vous êtes devant un problème d’arithmétique vous pouvez croire qu’il y a forcément une solution mais la connaître fait forcément appel à une vision intérieure vous permettant d’accéder au cheminement pouvant y parvenir.

……..

 Certains ne veulent pas de votre dangereuse libération. Vous ne devez de compte à personne, même pas au dieu que vous êtes. Ne vous jugez pas si toutefois vous finissez par vous poser quelques questions dérangeantes vis-à-vis de vos « partenariats ». Ils auront, eux aussi, servi le plan divin à leur manière. Il reste à chacun de savoir, en Lui-même, s’il doit y avoir là une clarté ou bien une impasse extrêmement enseignante s’inscrivant profondément dans la dualité, s’arrogeant alors le droit et le privilège de se dire divine.

 

Tôt ou tard, par l’unique et abusif exercice des moyens mis en œuvre vous aurez l’irrésistible envie de dire : « J’y suis, je ressens en moi des choses extraordinaires… », mais ce faisant vous risquerez en fait, sans vous en rendre compte, de n’être ainsi que des manipulateurs d’énergies traqués par les hallucinations des sens. Vous auriez désiré ressentir le divin avant de l’avoir VU.

 

Lorsque tous les faux prophètes auront déversé sur vous tous leurs « enseignements vous subordonnant à leur lumière » dans lesquels vous aurez essayé de percevoir une issue, un aboutissement dans la réalisation de votre être, puis accompli des « miracles » qui finalement seront reconnus vides d’Amour par cette humanité, alors et alors seulement entreront en scène les Frères et Sœurs venus parmi vous tous en endossant les vêtements et les mêmes statuts que ceux de votre expérience de vie. Ce qu’ils feront vous pourrez alors le faire, soyez-en certains.

 

Soyez certains que votre vision installera en vous la certitude tant recherchée et vous saurez que le travail a commencé et s’accompli, vous transmutant par le seul et véritable travail sur Soi qui soit ; quant aux circonstances de vie elles viendront comme l’ombre suit le soleil.

 

Pensez-vous honnêtement pouvoir faire mieux ?

 

 


 

 

 

UN DERNIER REGARD SUR VOUS-MÊMES

 

 

Tout au long de ces pages Je vous ai fait parcourir, avec les limitations que vous connaissez, le sublime chemin qui vous rappelle à Vous-mêmes, tel un parfum cher à votre enfance, éveillant en vous de merveilleux souvenirs, ceux de votre origine en tant que pur esprit.

Vous êtes maintenant à même de pouvoir répondre en toute conscience à cette essentielle question : « Qui suis-je ? ». Et aussi bien à ses corollaires : « que fais-je ici ? », « qu’ai-je donc à faire ? ». Ou encore : « En quel état j’erre ? », vous connaissez ?

Longtemps, durant des éons, après vous être revêtus de ce manteau de matière dense et vous y être perdus afin de vous y retrouver, non plus corps mortels, mais habitants de ce corps à reconstruire et à réanimer divinement.

Longtemps vous vous êtes tenus derrière le mur des croyances diverses ; vous ont-elles libérées ou bien sagement maintenues à l’ombre de cette séparation ? Les religions, censées vous relier à votre propre réalité n’ont eu de cesse de vous figer dans les peurs dominantes, assujettissantes. Au départ de cette ascension réside une illusion en laquelle les fausses démarches spirituelles se font piéger.

Quelle peut bien être cette méconnaissance dichotomique dont il est ici question ?

La méconnaissance de ce que vous êtes en réalité.

La méconnaissance que vous êtes Esprit.

La méconnaissance que votre Âme est divine.

La méconnaissance que votre corps l’est tout autant.

La méconnaissance que vous êtes le Christ humain, que vous êtes le Christ de Dieu, que vous êtes Dieu.

Rejeter la matière en tant que source de tous les péchés c’est alors méconnaître le fait qu’elle ne soit que la cristallisation dimensionnelle de votre corps éternel. Rejeter la matière c’est rejeter votre substance et par là même votre corps d’expression, votre Nature Céleste. Sans la mère céleste que vous êtes, pas d’expression de vos qualités et vertus divines possible. La réalisation de votre but divin devenant alors lettre morte.

C’est bien en cet état que vous vous trouvez depuis bien trop longtemps. Si vous en souffrez daignez ne pas pointer du doigt d’autres responsables que vous-mêmes.

La Mère est le bain révélateur des images engendrées par l’Esprit. Or, depuis des éons, vous étant coupés de votre réalité spirituelle vous n’avez eu de cesse de projeter en Elle des images formées, non plus par votre Esprit mais par votre mental extérieur prenant ses références de la non-connaissance pour des vérités.

Il y a toujours manifestation formelle, que celle-ci provienne de votre Esprit ou bien de vos concepts extérieurs. Sachez tout de même qu’en tant qu’esprits vous n’aviez pas pour but l’instauration du chaos dans lequel vous existez et vous débattez, en espérant naïvement pouvoir vous en sortir par la voie du progrès.

Devant tant de malheurs vous aimez trouver là l’occasion de prouver que Dieu n’existe pas en vociférant votre cri de désespoir favori : « Si Dieu existait… ! ». Cette mélodie longtemps renvoyée, d’écho en écho, dans les profondes vallées de vos ombres, portées comme des fardeaux ne prouvant qu’une chose, celle de votre « méconnaissance ».

Au cri « votre Dieu ne peut rien pour moi ! » je répondrais « Que pouvez-vous pour Lui ? ».

Je vous entends d’ici : « Si maintenant il faut bosser pour lui… ! ».

Souvenez-vous, « Dieu ne peut faire pour vous que ce qu’il peut faire par vous ».

Imaginez simplement que votre main se sépare de votre corps et puisse acquérir un ersatz d’existence autonome. C’est votre statut actuel. Après des temps passés à jouer avec vos propres vérités, à vous épuiser dans vos comportements puérils, vous avez envie de sortir de cette prison, de ce choix d’illusoire liberté.

Qu’attend la tête, sinon que la main puisse traduire en acte ses propres pensées qu’elle désire voir se réaliser dans l’harmonie.

Qu’attend la main, épuisée de n’avoir pu que se porter des coups de marteau sur les doigts, sinon de recevoir de la tête le savoir-faire. Afin que le duo fonctionne idéalement n’est-il pas nécessaire de les concevoir en parfaite unité, au sein d’une même conscience, d’un seul corps ? Un seul Esprit, une seule pensée et un seul corps.

……..

 

La clé permettant de déverrouiller cette porte donnant accès à votre véritable conscience se résume et se concentre en un mot, l’Amour ayant pris forme idéale en Christ, merveilleux joyau que chacun possède en soi et sans lequel aucune forme de vie n’existerait. Le mot magique par excellence. Notion si souvent incomprise, galvaudée, détournée de sa véritable signification, de sa véritable conscience. Il y a autant de différence entre les notions de lumière tridimensionnelle, telle que vous la connaissez et définissez, et la Lumière-Vie divine, sans dimension, que vous ignorez encore être, qu’entre l’amour émotionnel que vous expérimentez et l’Amour divin, votre conscience céleste. Faire appel à cette force unique c’est faire appel à votre Réalité primordiale, à ce que vous êtes réellement, comprenez-vous ? Vous êtes, dans l’absolu, Dieu qui s’aime. L’expérience multidimensionnelle de votre réalité divine doit demeurer à tout jamais n’être que l’exercice de cette force, que l’expression de votre Amour. Mais reconnaissez bien, qu’en ce qui concerne l’état dans lequel se trouve votre scène tridimensionnelle, nous sommes hélas très loin de cette expression idéale.

En introduisant ici le fait que cette humanité s’avère être composée d’âmes individualisées et collectives j’ai parfaitement conscience de jeter le trouble. Si trouble il y a cela tient principalement au fait que vos historiens, paléontologues et autres chercheurs, scientifiques et intellectuels de tous acabits ne pouvant concevoir rien d’autre que ce que leur conscience leur permet, vous servent, sous perfusion, leurs vérités. L’histoire de votre humanité n’a pas grand-chose à voir avec cette ou ces vérités. Si l’histoire de vos frères et sœurs « collectifs » s’avère être beaucoup plus récente, il n’en va pas de même en ce qui concerne celle des « individualisés » qui elle remonte, en ce qui concerne cette sphère de vie, à des centaines de millions d’années. Ce faisant vous avez troqué votre lumière luciférienne contre votre signature au bas d’un pacte satanique. Mais vous voilà bien pris au piège de votre pseudo-liberté qui, au fil des temps, vous a amenés insidieusement à votre situation actuelle. Vous vous sentez pris au piège, ne sachant comment ni pourquoi, et vous ne savez quel en est le processus de sortie. Je peux vous confirmer qu’effectivement votre ressenti est bon, vous vous êtes bel et bien fait piéger, vous prenez confusément conscience que cette existence est vide de sens, et qu’en guise d’évolution, par la voie du progrès, celle-ci ne peut en définitive que se terminer, en sa forme, que par celle du chaos. Cette pression intérieure, aussi douloureuse soit-elle, n’est que la réminiscence d’avoir vécu et connu des conditions existentielles autrement plus belles, plus libres, en lesquelles vous n’aviez nullement besoin de trimer comme des damnés afin de parvenir au mieux à concrétiser votre but, au pire à survivre. Sous le système satanique tout but atteint l’est obligatoirement, consciemment ou non, au détriment de quelques équilibres des autres, n’entraînant chez leurs créateurs, à plus ou moins long terme, qu’insatisfaction, épuisement et au pire, pour les cas les plus sévères et persistants, l’anéantissement de la forme d’âme. Vous avez confusément en vous le souvenir que de devoir dépenser tant d’énergie pour si peu dénote une singulière méconnaissance des forces de la Vie. Lorsque vous employez l’expression « remuer Ciel et Terre » en faisant allusion aux efforts colossaux à déployer pour atteindre vos buts, vous oubliez tout simplement le Ciel dans cette affaire, votre Ciel, votre Réalité.

Comment sortir de ce maelström dévastateur ? En vous aimant, tout simplement en vous aimant, non pas en vous aimant selon votre conscience inférieure, gouvernée par votre intellect et votre affectif, cela fait une éternité que vous le faites. Non pas en imaginant tout ce que vous pourriez être dans une perspective de progrès, quelle qu’elle soit. En cette manière d’exister vous avez enfin compris où cela mène, mais en aimant le Dieu que vous êtes, vous entrez alors dans votre réalité et l’unique manière de l’exprimer. Tout au long de cet ouvrage J’ai essayé de vous faire voir ce qu’il fallait entendre par là. Vous vous êtes tant éloignés de votre Réalité, tant éloignés de votre statut divin en vous immergeant corps et âme dans l’aventure de l’éternelle compréhension de vos qualités et vertus divines qu’il vous semble aujourd’hui quasiment impossible, voire très difficile, de recouvrer votre statut primordial. En cette aventure vous vous êtes fourvoyés, avez perdu de vue votre Âme, votre conscience céleste, en lui superposant une âme humaine, tel un masque de carnaval, construite à votre image dénaturée. L’Âme qui se tient derrière cette grotesque apparence est éternelle, infinie, complète depuis le « début », vous ne pouvez rien y ajouter, ni y retrancher quoi que ce soit. Quant au masque de substitution, ce dernier n’est qu’impermanent, il peut s’éloigner ou se rapprocher de la Réalité sur laquelle il se superpose temporairement. Songez au fait que votre réalité corporelle, moulée sur la structure en treillis de votre conscience, de votre âme, ne peut être qu’à son image et ressemblance ; prétendre espérer manifester le contraire relèverait d’une grande inconséquence. Lorsque je vous parle de manifestation substantielle, de corps, ne limitez surtout pas cette notion en l’inscrivant à l’intérieur de votre anatomie, votre corps dont il est ici question s’étend à vos pensées, aux événements, aux circonstances et à vos conditions d’existence, oui tout cela est votre corps. Vous comprenez mieux maintenant le pourquoi et le comment de vos souffrances générées par les totales disharmonies perçues et vécues au sein de votre humanité entièrement dévoyée, en ce que vous pensez, ressentez, vivez en tant qu’expériences sociales, professionnelles et relationnelles. Depuis fort longtemps vous vivez sous la dépendance énergétique de l’égrégore ombrageux de cette humanité égarée. Vous avez envie de dire stop ! Assez ! Nous n’en pouvons plus !

Alors il ne vous reste plus qu’une chose à faire, celle de reprendre les affaires divines, votre œuvre, là où vous les avez laissées, souvenez-vous. Rien ne vous est dissimulé, ce que vous avez abandonné est toujours là, c’est vous les renégats, en cela vous n’avez nullement besoin de supplier afin que la grâce divine vous soit accordée, inutile de vous flageller de mea-culpa. Revoyons brièvement ensemble ce qui, en cet ouvrage, vous a déjà été longuement décortiqué, mais il est toujours bon et productif d’y revenir. Voici :

Vous avez répondu à la question « Qui suis-je ? ». L’un des premiers rêves que tout aspirant à l’ascension spirituelle désire voir se réaliser est la possession de pouvoirs, réminiscence de contes de fée qui ont bercé son enfance. Dans la très grande majorité des cas, sur cette sphère de vie, en cette dimension et en cette phase du plan, les « pouvoirs » quels qu’ils soient sont d’origine psychique. Ils arrivent en cette existence avec l’incarnation et résultent d’un déséquilibre consécutif au surdéveloppement d’une certaine énergie au niveau d’un chakra en ayant « bodybuildé » celui-ci sur d’autres dimensions. Ne confondez surtout pas pouvoirs et développement spirituel. Il viendra un temps où certaines âmes incarnées parmi vous manifesterons ce qu’à vos yeux vous qualifierez de très grands pouvoirs et par manque de discernement vous les prendrez pour des êtres hors du commun, d’une très grande spiritualité, des êtres qu’il faut suivre et écouter. Certains ergoteront sur le fait que la loi d’Amour christique étant unique il faudrait alors y voir en cette unicité la négation de la sacro-sainte liberté. La grâce divine vous accorde la liberté absolue au sein de l’unité du Tout qui, par le biais des Âmes individualisées, peut se diversifier à l’infini. Votre intelligence infinie, votre véritable Nature, demeure la seule force sachant vous créer exactement la forme spécifique, illusion nécessaire, en parfaite harmonie avec le Tout et donc avec toutes les autres spécificités coexistantes. Cette mise en œuvre du bonheur non aux dépens de qui que ce soit et de quoi que ce soit demeure votre idéal à vivre pour l’éternité. À chaque fois qu’une âme franchit le seuil du royaume de sa conscience divine alors une voix céleste se propage dans toute la création « un Humain est né sur cette Terre », béni soit-il.

Dieu vous aime en Christ, le Dieu Homme.

Vous êtes Dieu.

Dieu s’aime en vous.

Aimez-vous comme Dieu vous aime.

 


VU D’EN HAUT

 

Vous vous êtes ainsi réfugiés dans le vide sanitaire de votre réalité. Une partie d’entre vous croit en un toit supposé veiller sur leurs pauvres exigences au seul titre qu’il serait à tout jamais leur créateur. En fait, en cette situation d’isolement vous pouvez considérer que vous êtes des êtres « nés sous X ». Vous entrez pour des temps dans la recherche désespérée de votre véritable identité au travers de l’identification de vos parents géniteurs. L’autre partie, quant à elle, rejette a priori le toit de la demeure, nous désignons ici les scientistes prônant la création matérielle en tant que source de toute vie et de tout pouvoir, source de toute conscience.

En cette sombre situation votre regard intérieur se dirige alors du « bas » vers le « haut ». Au lieu d’être le maître de votre existence vous n’en  que les spectateurs tour à tour fatalistes puis despotes autocrates avec un nuancier s’étalant quasiment à l’infini.

Arrêtez donc de diriger votre regard vers le haut et comprenez que vous êtes ce Tout manifesté, à la fois visible et invisible. Voyez et comprenez que vous êtes le créé et… le CREATEUR. Toutes ces formes tant matérielles que spirituelles sont votre corps manifesté, votre forme compréhensible.

Le Christ que vous êtes, par l’Amour, crée l’être résultant des expériences de la Vie-Une s’écoulant et se qualifiant à travers vous en vos processus existentiels de conscientisation de la conscience Christ. C’est ainsi que la conscience christique prend conscience d’elle-même par la manifestation de l’Humanité — christ, cet ensemble de formes finies formées par la puissance divine, représentant l’Amour qu’a Dieu de Lui-même. Voyez en cet ensemble la réalisation finie en perpétuelle expansion la manifestation dans le fini de la perfection infinie inexprimable dans le fini, aussi parfait soit-il.

C’est ainsi que le Christ, incarnation du verbe divin, du Seigneur-Dieu, au sein de cet univers multidimensionnel manifesté en ce présent âge de l’univers, représente votre état d’Être idéal, destiné à parvenir à une réalisation aboutie d’un certain potentiel divin en sa personnalisation nommé ici l’Être suprême en constante croissance. Il est à prévoir qu’Il sera, à n’en pas douter, le nouveau point de départ, le nouvel état d’Être idéal, de la prochaine expansion de réalisation du divin en son autorécognition.

Le fini doit en finalité épouser l’infini.

 

Dans un lointain avenir, que nous pouvons toujours imaginer, les super-créations, issues de ce présent âge de l’univers manifesté, ancrées dans la Lumière et stabilisées pour l’éternité, représenteront la création finie parfaite de l’espace-temps, par laquelle chemineront les pèlerins ascendants, issus des espaces extérieurs, se dirigeant vers leur aboutissement sur la création centrale divine.

 

Après avoir abordé assez succinctement l’émergence de l’Être Suprême — et s’il vous plaît, pas d’anthropomorphisme primaire — résultant de la merveilleuse aventure d’ascension cosmique dans laquelle vous vous êtes engagés, Je suis maintenant amené à vous parler de l’émergence d’un Fils de Dieu au sein même des dimensions de Vie de cette planète. Cette venue s’approche de vous par son éveil au sein même de votre conscience. Il vient, d’autant que vos efforts sont dirigés vers Lui, que vous allez vers Vous-mêmes.

La dernière de ces proclamations a été faite par l’un de vos grands frères, il y a deux mille ans de cela : « Aux temps de la fin, Moi, Je serai parmi vous ».

Non pas moi, Jésus, ou bien d’autres personnalités, mais le Moi christique sera parmi vous en la personne d’un grand Fils de Dieu incarnant cette réalité. Sa présence, parmi vous, le sera en tant que « facilitateur anonyme », car, ne vous y trompez pas, ma véritable venue se fera par vous, en vous. Nous ne faisons qu’un, vous souvenez-vous ?

……..

 

Il vous est maintenant demandé de passer à l’action. Qu’est-ce à dire ? Simplement de FINIR AVEC L’ACCOMPLISSEMENT DE L’HUMANITÉ-CHRIST CE QUE VOUS AVEZ COMMENCÉ EN TANT QUE DIVIN, LA RENDRE VISIBLE, EN FAIRE LA RÉALISATION VÉRITABLE : soit connaître que vous êtes le désir divin totalement accompli, incarné en Vous, tel que vous êtes en ce corps, votre identité-humanité civile et morale, connaîtrez que vous êtes Cela, la porte unique vous permettant de finir votre œuvre spirituelle, en ressentant cette réalité dans la multitude d’expériences. Votre boucle sera enfin bouclée.

……..

 

En termes d’action voyez ceci : en votre forme finie vous n’êtes que la ressemblance de l’image-christique formée dans le miroir de la création. Si vous constatez que cette forme comporte quelques malfaçons, dans le meilleur des cas, vous sortez votre boîte à outils magique et vous entreprenez quelques opérations afin de modifier cette image à votre convenance. C’est cela le progrès et non l’évolution. Si vous désirez réellement parvenir à vos fins, transformer le mal en bien, il vous sera alors nécessaire de vous requalifier tel que vous êtes en esprit et non plus tel que vous pensez être en cette forme finie.

J’entends ici que vous vous requalifiez tel que vous êtes censés être et non plus tels que vous l’imaginiez jusqu’à présent. Je vous invite donc à regarder du haut de votre Être et souhaiter que tout ce que vous avez créé dans le sans forme trouve dans l’expérience de votre existence une voie divine de compréhension au travers du jeu infini de la Vie.

Lorsque vos scientifiques daigneront enfin ouvrir leur regard intérieur et qu’alors ils se positionneront au bon endroit et regarderont leur réalisation en partant de leur véritable origine et dans la bonne direction les magistrales découvertes que l’unité leur soufflera à l’oreille leur permettra enfin de faire d’immenses bons en avant.

Lorsque vos enseignants religieux verront enfin dans quelle fausse direction ils ont, durant des temps, incliné les consciences de cette humanité alors ils cesseront simplement d’exister. L’on ne peut continuer à croire lorsque l’on voit.

Au sein de la création formelle Dieu ne crée RIEN, il ne fait que RESSENTIR en incarnant son Verbe par le biais de l’humain qu’il est alors devenu. Sa Vie prend forme par les émotions et la plus haute d’entre elles demeure la JOIE. C’est en cela que je peux vous dire, mes amis, que la joie divine existe depuis qu’Il s’est incarné en l’Humanité Christ. Entendons-nous bien, lorsque Je dis que Dieu ne crée rien, Je veux préciser par là qu’Il ne créé pas les formes spécifiques, car c’est bel et bien là votre rôle en tant que « petit dieu », mais tout ce qu’Il a créé, en une et simple fois, demeure à tout jamais la forme non-spécifique, votre infini et éternel potentiel extériorisable.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

CONCLUSION

 

 

 

Nous arrivons maintenant au terme du cheminement que Je vous ai fait parcourir. Je suis conscient que ce voyage vers Soi n’a pas dû être de tout repos et en disant cela Je ne m’adresse pas seulement à votre intellect mais surtout aux émotions générées par vos peurs, principalement celle du vide car il est souvent difficile de se dévêtir lorsque l’on ne voit pas de quoi nous allons nous revêtir ; mais c’est bien ainsi que J’entendais m’adresser à vous.

Si parfois vous vous sentiez montrés du doigt, si J’ai bien souvent appuyé sur vos plaies béantes, si Je caricature volontairement les grandes réussites de vos sociétés, si Je crée des miroirs dans vos nurseries, ce n’est pas pour porter un jugement de valeur sur vous-mêmes et vos œuvres, mais simplement pour vous faire remarquer que si le Père, que vous savez maintenant être, vous a créés avec des pieds, c’est éventuellement pour que vous vous en serviez et qu’ainsi vous arrêtiez de geindre bêtement en marchant sur la tête.

J’ai voulu avant tout vous faire prendre la mesure du gouffre qui sépare l’affectivité, l’athanor de vos émotions destructrices, de l’AMOUR divin. J’ai voulu vous faire comprendre que cet Amour-là, avec un A majuscule, s’il vous plaît, n’est pas qu’une vue de l’esprit d’ignorance mais demeure à tout jamais la FORCE MOTRICE du Tout que vous êtes depuis toujours.

……..

 

 Ce TOUT que vous êtes et que PAR cette force sublime, qui peut à chaque instant redevenir la vôtre, par le simple fait de la prononciation claire et consciente de votre intention pure, vous pouvez RESSENTIR et COMPRENDRE ce Tout déjà créé pour Vous par Vous, Dieu.

J’ai voulu vous dire, une fois de plus, combien vous êtes divinement aimés ; divinement n’étant ici en rien un simple superlatif mais bel et bien un réel qualificatif. Dans la Vie spirituelle AIMER c’est CRÉER. Apprenez à vous créer spirituellement et la coupe de votre existence s’en trouvera débordante de tout ce que vous n’auriez jamais espéré.

Que vous soyez saints ou voyous, vous n’avez pas à Me plaire, à Lui plaire, mais vous avez le DEVOIR de Vous plaire, vous avez le devoir de vous soumettre à votre loi d’Amour, à votre Moi supérieur, à CHRIST, qui est la manière de vivre de Dieu, du dieu que vous êtes.

Je vous dis que vous êtes des MAÎTRES qui s’ignorent. À la lecture de ces pages, vous l’aurez compris, vous vous rappelez que vous n’êtes en rien ce que votre science et votre prêtrise, vos guides religieux, quels qu’ils soient, ont toujours voulu que vous soyez, un rien évolutionnaire éventuellement soumis à une volonté anthropomorphique.

Je suis venu ici vous indiquer les démarches administratives célestes à accomplir afin que vous retrouviez votre véritable identité, que vous redeveniez enfin Celui et Celle que vous n’auriez jamais dû cesser d’être, Dieu, l’Homme dieu, le « je SUIS humain » et l’univers manifesté réunis en UN SEUL ÊTRE.

Nous vous délivrons aujourd’hui vos nouveaux papiers d’identité cosmique car, compte tenu des changements qui désormais sont déjà là, il est urgent et nécessaire que vous preniez tout d’abord conscience de Qui vous êtes réellement.

Nous, les Fils de Dieu descendants, sommes sortis de l’informe absolu tels que le Père nous aime ou, pourrait-on dire, tels qu’Il aime se manifester à Lui-même. Je suis venu vous dire que VOUS ÊTES tout ce que JE SUIS et qu’à ce titre vous vous devez de finir ce qu’à un moment, hors de l’espace et du temps, vous avez initialisé, afin que par vous nous soyons tous l’expérience autorécognitive du Tout. Alors, mes bien aimés, lorsqu’en ce sens vous serez à l’œuvre faites-le avec Amour, non pas pour vous, non pas pour Moi, mais bien évidemment pour le Père… que vous êtes.

Vous avez tout ce qui est nécessaire pour l’accomplir : la bonne identité créatrice et cocréatrice, la bonne clé qui est celle de la force d’Amour, la substance et la force infinies de la Nature Céleste prête à répondre à votre appel et enfin le devoir de VOUS AIMER.

Comment pourriez-vous prétendre aimer les autres si, vous qui affirmez cela, n’êtes pas au préalable le fruit parfait de l’Amour. Comment pourriez-vous prétendre être celui ou celle qui œuvre pour le Père si vous ne pouvez le faire en son Nom.

Si vous ne saisissez pas encore la différence qu’il y a entre l’affectivité et l’Amour alors laissez-moi vous dire encore ceci : si la maladie et la mort de votre corps demeurent l’objectivation de l’autosuggestion de l’être prisonnier de ses rets égotistes, alors mes amis, la jeunesse éternelle et l’immortalité est celle de l’autosuggestion divine.

Nous allons aujourd’hui remettre entre vos mains le souvenir de votre liberté infinie. Mais libre à vous de pouvoir tout aussi bien laisser s’échapper ces mots tels des grains de sable au travers de vos doigts inconsciemment laissés écartés. Oui, l’Amour rend libre, divinement libre. Croyez bien que c’est cet aspect de LIBERTÉ TOTALE dans l’autonomie et la maîtrise qui va être, n’en doutons pas, farouchement combattu par les forces aliénantes de l’ombre ; pour un temps, mes amis, seulement pour un temps, car là où vous allez ils ne sont plus les maîtres de vos démissions et vos déresponsabilisations car ils ne se sont pas invités au banquet des serviteurs de l’Amour.

Nous sommes venus vous dire que vous n’avez rien à apprendre mais que vous avez le devoir de vous souvenir. Cette intention vous donnera accès à VOUS-MÊMES, à l’abondance pour tous, maintenant, sans peurs, sans compétitions, sans aucun de ces critères que vous semblez tant affectionner, tels que la réussite, l’élitisme, les classements sélectifs, la renommée et reconnaissance sociale, la performance, l’efficacité, la rentabilité…

Vous n’êtes pas seuls, même durant votre si longue amnésie vous étiez toujours deux, deux de vos déités parfaitement réunies, le modeleur et sa pensée créatrice. Mais les mains s’en été allées on ne sait où, à faire Je ne sais quoi d’autre. En fait, après enquête, elles ont été subtilisées et utilisées par quelqu’un d’autre. Maintenant vous êtes à même de pouvoir comprendre que vous devez reprendre votre vraie place et rendre visible votre pensée de potier et ce avec vos propres mains d’artiste.

Cette toute petite planète à l’histoire et à la destinée si exceptionnelle et si singulière va maintenant prendre sa place dans le giron du Père et sous la bienveillance du Christ, s’installer parmi ses sœurs de l’univers vivant sous la Lumière de l’Esprit.

Toute expression, toute forme de Vie, ne pourra désormais exister sur cette sphère si elle n’est pas une « vivance » d’Amour, si elle n’est pas une énergie préalablement qualifiée par Christ en chacun de vous.

Vous l’avez compris, cette sécession ne sera pas orchestrée par un quelconque comité de sages, non, tout cela se fera le plus naturellement du monde. C’est ainsi que l’homme nouveau s’élèvera, rejoignant l’Homme des Cieux, sur cette Terre qui va maintenant se faire appeler de son nom véritable.

Les sombres voyageurs de l’espace qui, plus tard, reviendront ici, dans votre dimension de vie actuelle, n’y trouveront qu’une planète vide, devenue stérile, revêtant le même aspect que les surfaces planétaires observées par vos regards technologiques. Peut-être y aura-t-il quelques gardiens afin de leur conter l’histoire d’une humanité qui un jour, en quelque temps, alors que rien de tel ne s’était produit depuis sa création, s’est élevée sur une octave supérieure d’expression de la Vie, afin de se rapprocher de sa réalité. Cette humanité est pourtant toujours là mais eux, qui sont encore pour un temps restés en arrière, ne pourront plus la voir. Cette imaginaire arrière-garde serait restée là afin de témoigner de la puissance et de la réalité de l’Amour auprès de ceux qui, peut-être comme vous, en douteraient encore.

Lorsque notre sacrifice de temps aura pris fin, Nous irons, Nous aussi, tels les fis de Dieu ascendants, rejoindre notre demeure dans laquelle demeurera votre nouveau lieu d’expérimentations des potentialités divines, dans ce Ciel où les lois sont la loi Christique.

Ces grands changements à venir, dont on vous parle de plus en plus souvent, ne sont pas pour l’une de vos très lointaines descendances mais bien pour… la majorité d’entre vous ! Vous avez choisi de vivre ces temps bénis. Ce temps n’est nullement fixé car il ne peut que dépendre de votre état de conscience.

Souvenez-vous, une Nouvelle Terre, de nouveaux Cieux, l’Agartha et Shambhalla réunis à la surface de ce nouveau plan d’émergence de cette planète. Un Fils de Dieu prendra alors sa place et administrera spirituellement ce nouveau monde avec le rayonnement de l’archétype divin. Les portes du Ciel seront descellées et vous verrez alors parmi vous des êtres venant de tous les univers, de toutes les dimensions de Vie sans pour autant être résidents permanents sur votre sol. Vous serez tenus au courant, en temps réel, de toutes les activités et décisions exercées au sein même de votre univers par l’activation de la réflectivité spirituelle.

Si jusqu’à présent vous vous contentiez d’exister par votre loi de non-Amour, plongés dans vos impasses d’ombres, vous appliquant la loi de « la majorité pensante a toujours raison » comme repère et consolation morale et référentiels intellectuels, nous pouvons maintenant vous annoncer une merveilleuse nouvelle : l’Amour va maintenant vous permettre de VIVRE… au lieu d’exister. De par le détournement de votre regard vers l’intérieur, votre force divine descend vers vous, en vos cœurs, précédée de la voix des Anges vous disant : « Écartez-vous du mur qui s’écroule, votre majorité avait tort ». J’ai bien dit en vos cœurs. Éveillez le Soleil qui depuis des éons s’y tapit, soyez celui-là même en aimant divinement tout ce que vous êtes en réalité.

Vous aurez alors beau médire, vous débattre et hurler au fou, cela n’y pourra rien changer. Vous saurez alors que l’Amour est là, qu’il préexiste à toute forme de Vie, qu’il en est la motivation suprême et la « motorisation » divine ; c’est en cela la plus grande preuve d’Amour que le Père vous apporte, le moyen d’être comme JE SUIS EST et de RESSENTIR ici toute la JOIE d’être CELA.

C’est ainsi et seulement ainsi que vous aurez enfin pu répondre correctement à la question « ? Qui suis-je ».

Cessez de tourner en rond dans vos cages de douleurs, vous ennuyant et soupirant de nostalgie pour cette lumière qu’inconsciemment vous pressentez être. Cessez de vous réfugier dans les dimensions sommitales de votre Être en maudissant ce monde. Réconciliez les deux extrémités de l’expression divine que vous êtes venus expérimenter en confrontant votre Vie à la diversité infinie des formes. Cette réconciliation ne peut se faire qu’en votre véritable Nature d’Amour, celle du Christ que vous êtes.

 

Si dans votre lecture vous êtes parvenus jusqu’ici c’est qu’il y a en vous quelque chose qui bouge ou qui ne demande qu’à s’éveiller, nous vous sommes reconnaissants pour l’effort accompli. Si vous avez voyagé avec le cœur, guidés par des âmes bienveillantes, vous aurez pu en retirer et garder au fond de vous une empreinte, peut-être une simple idée de Dieu, une atmosphère et le sentiment d’avoir trouvé, les yeux clos, un merveilleux paysage de Lumière.

Mes amis, Je vous dis à bientôt, avec vous sur notre nouvelle Terre.

 

Post-scriptum : Ma plus grande joie est ici de vous avoir, avec mes mots, conduits de vous à « Vous » afin que Votre volonté devienne visible, devienne la réalisation véritable.

Par Vous, qui demeurez à tout jamais le TOUT expérimentant toutes les potentialités de votre divinité, vous voici sortis de l’illusion du vous pour endosser la conscience du Vous.

 

 

 

GLOSSAIRE

 

 

 

Adombrement
     
Effusion personnelle d’une énergie spirituelle représentant l’extériorisation de la hiérarchie céleste par l’action d’un être éveillé, d’un adepte.

 

Agartha
     
Lieu de Vie situé à l’intérieur de votre planète et ce sur 7 niveaux de conscience. Une humanité, les agarthiens, occupe ces espaces intérieurs. Vous les verrez bientôt réapparaître parmi vous.

 

Aimer
     
Aimer c’est créer, dans le visible, ce que nous voyons dans notre incompréhensibilité infinie.

Aimer n’est rien d’autre que manifester ce que l’on est déjà sous une forme incompréhensible dans une forme qui le soit.

Aimer c’est exprimer la Vie de notre Être à la manière de Dieu, selon Christ. C’est vouloir pour son prochain ce que l’on veut pour Soi-même. Le Dieu que vous êtes se manifeste à Lui-même en s’aimant. Il aime tout d’abord son « insondabilité », puis la Lumière-Vie qu’Il est devenu, voici l’Homme du Ciel. Devenu cet Homme parfait, possédant tout ce qu’Il est, Il s’aime à nouveau. Pour cela il s’est fait un corps limité, procédant d’une conscience évolutionnaire. Dans cette limitation artificielle Il cocrée son existence visible en aimant ce qu’Il est devenu en Christ. Etant le reflet du bien cette manifestation ne pourra qu’être bonne.

 

Amour
     
Avec un « A » majuscule, fait référence à la force et au principe d’expression de l’Être divin et spirituel. Il est la loi de la réalité de notre Être. Générateur du bien et du bon que se veut Dieu. Réalisation parfaite de l’Esprit.

 

Ascendeur
     
Humain éveillé à sa réalité. Ascensionnant de sa forme de conscience la plus restreinte jusqu’à sa forme absolue, de son statut le plus humain jusqu’au plus divin.

 

Ascension
    
Processus spirituel par lequel l’humain s’élève, en vibration, corps et âme, d’une dimension de Vie vers une autre, située sur une ou plusieurs octaves au-dessus d’elle.

 

Bien
     
Expression divine de la réalité. En cela nous pourrions dire que l’univers créé fini et non absolu ne peut qu’être bon mais pas bien.

 

Bon
     
Réalisation finie, produit de la cocréation du moi supérieur manifestant la volonté de son propre esprit. Il est la ressemblance du bien.

 

Christ
     
Le Seigneur Dieu, Dieu fait Homme au sein de la pensée divine, incarné dans un corps de chair et de sang, dans un corps matériel aussi bien qu’en une forme spirituelle aux prérogatives plus ou moins étendues ou à la conscience spirituelle plus ou moins élevée.

 

Cocréation
     
La cocréation est l’action spirituelle par laquelle l’Être absolu sort de son infinitude afin de s’appréhender. Il le fait au travers, soit de limitations dans ses prérogatives lorsqu’il le fait par sa lignée des Fils de Dieu descendants, soit par la limitation de la conscience lorsqu’il le fait par sa lignée des Fils ascendants.

 

Connaissance
     
La vision ayant pris forme en la personne du Seigneur Dieu de notre Être s’incarnant en Christ. Vous pourrez toujours connaître Dieu mais vous ne pourrez jamais Le comprendre totalement.

 

Connaissant (Un)
     
Qualifie un humain déclaré apte à l’ascension spirituelle, conscient de sa Réalité.

 

Création
     
La première et unique création, parfaite et absolue, demeure être l’Homme dans le Ciel, le Seigneur Dieu, devenant Christ en l’humain visible et compréhensible.

 

Déva
     
Agents constructeurs des créations, tant mentales, émotionnelles, que physiques. Ils sont à la fois la substance et la force bipolaire, de construction ou de dissolution, manifestant les desseins d’un logos ; ils sont tout ce qui dans la Création apparaît.

 

Dieu
     
Pour être synthétique nous dirions que Dieu demeure à tout jamais l’idéal de la pensée de l’homme et que l’homme est la forme idéale de la pensée de Dieu. Aussi appelé le Grand Constructeur.

 

Dispensation
     
Temps compris entre deux effusions de Fils de Dieu et durant lequel les énergies, contenant les patterns spécifiques, apportées lors de la première effusion ont théoriquement dû produire leurs effets sur l’éveil des humanités concernées.

 

Effusion
     
Processus spirituel par lequel le Père s’approche au plus près de vous par l’incarnation de ses Fils descendants, en dispensant sa Lumière, pure manifestation de sa Vie, sa réalité et son Amour. Ces effusions ont de très grandes répercussions sur le devenir des humanités qui en bénéficient.

 

Égrégore
     
Accumulation d’énergie générée et qualifiée par l’ensemble des pensées d’une humanité. Selon que l’intention du penseur est ou non pure celui-ci se branche automatiquement sur cette « conscience collective ». Ainsi chacun, selon son propre éveil, se connecte soit sur l’égrégore le plus noir, celui du non-Amour, soit sur celui du Christ, celui de l’Amour. Les égrégores noirs sont donc destinés à disparaître.

 

Esprits tutélaires
     
Descendance des Fils de Dieu doués de prérogatives spirituelles spécifiques remplissant un rôle divin dans chacune des parties de l’univers manifesté. En très grand nombre ils sont affectés auprès des ascendeurs en tant que guides, médians, séraphins, chérubins etc., en accomplissant auprès d’eux une œuvre merveilleuse aussi bien qu’efficace. Ils sont placés sous la responsabilité administrative de la division universelle de leur affectation, œuvrant divinement au développement du plan divin. Nous comptons aussi parmi eux des ascendeurs provisoirement affectés à une telle œuvre locale.

 

Éther
     
Substance d’un degré plus élevée que la matière dense. Tous les corps, toutes les formes que peut prendre la Vie, possèdent par là même une forme éthérique.

 

Évolutionnaire
     
Qui procède d’un processus d’évolution de conscience partant de l’inconscience de ce que l’on est jusqu’à embrasser notre conscience absolue. Ce processus est celui de la lignée des Fils ascendants que vous êtes, pour la très grande majorité d’entre vous. Les Fils descendants voient seulement leurs prérogatives changer au cours des âges successifs de l’univers.

 

Fils de Dieu
     
Nous n’aborderons ici que les deux principaux courants de ces représentants divins, à savoir : Les Fils de Dieu DESCENDANTS qui sont des êtres créés parfaits, créateurs, administrateurs spirituels de leurs créations, théâtre de la Vie dans lequel la fabuleuse aventure existentielle peut se produire et les Fils de Dieu ASCENDANTS que vous êtes, créés très imparfaits par la lignée précédente, avec la potentialité de leur perfection.

 

Galaxie
     
Pour les terriens, cette formation est beaucoup plus visible. Un univers local en comporte un très grand nombre. Si nous considérons l’univers manifesté comme étant assimilable à un corps alors les galaxies en seraient les cellules.

 

JE SUIS
     
L’affirmation de ce que l’Être est, hors du temps et de l’espace. Désigne l’absoluité de ce que vous êtes et la potentialité infinie de votre expérimentation de la Vie dans les formes finies.

 

Joie
     
Est l’émotion la plus haute qui soit. La joie existe, elle est l’émotion qui s’élève en Dieu quand Il prend forme absolue en Christ. Incarner cette joie revient à ressentir la connaissance de ce que nous sommes.

 

L’Être
     
L’émergence de notre Réalité lumineuse. Nous pouvons distinguer l’Être divin, résidant permanent du « Soleil Centra » l, l’Être spirituel, en émergence dans sa carrière ascensionnelle et l’Être Suprême, résultant de la totalité du potentiel d’expression finie pour ce présent âge de l’univers.

L’humain s’appliquant sa propre loi de réalisation spirituelle afin que ce qu’il sait Être devienne la réalisation véritable et visible.

 

La Grande Mère
     
Le grand corps absolu de la divinité, la Nature céleste, enfantant toutes expressions. Notre moi inférieur ne fait qu’un avec Elle et en est issu. À la fois forces et substance.

 

La planète
     
Votre planète, que vous avez appelée, jusqu’à présent, Terre, possède en vérité son propre nom céleste. La sphère planétaire est le berceau de votre naissance humaine et le lieu de vos expériences de Vie. Vos corps ne font qu’un avec les siens.

 

Le non-Être
     
L’Être ne peut s’appréhender qu’au sein du NON-ÊTRE qu’il élabore en Lui-même. Cet effort interne passe par ses Fils accomplissant l’acte de la cocréation du fini à partir de l’infini, de la réalité à partir de vérité, du visible relatif à partir du sans forme absolue.

 

Logos
     
De la même manière que l’ÊTRE trin manifeste sa présence absolue par l’apparition d’une création toute aussi absolue, que nous pourrions appeler le Soleil Central de la création divine, lieu d’aboutissement évolutionnaire pour tous les Fils de Dieu ascendants, alors nous pouvons dire que tous les univers créés périphériquement sont la manifestation en devenir de l’un des schémas directeurs de l’ÊTRE pour une création extérieure donnée.

 

Lumière
     
La forme absolue de l’Être de notre réalité divine, Celui qui voit le Fils. Cette Lumière éternelle révèle le Père.

 

Mal
     
Réalisation finie, produit de la cocréation du moi extérieur ne manifestant que les concepts de son mental inférieur déséquilibré et non aligné. Tout ce qui ne naît pas d’Esprit.

 

Moi divin
    
JE SUIS se déclinant, jusqu’en sa réalisation terrestre, en JE SUIS Christ, ne faisant qu’un avec le Seigneur Dieu, en JE SUIS homme/femme, ne faisant qu’un avec le grand JE SUIS.

 

Moi extérieur
     
Votre loi du non-Amour, ne pouvant réaliser que le mal. Destiné à s’éteindre aux frontières de votre système et être consciemment remplacé par votre vision, votre moi supérieur.

 

 

Moi inférieur
     
Votre forme substantielle réalisée par la loi d’Amour. À la fois forces et substance. Le miroir manifestant votre image et construisant votre ressemblance. Il est ascensionnel.

 

Moi supérieur
     
Christ en chacun de nous, la loi d’expression de notre Être. L’image absolue de notre Être.

 

Non-Amour ou amour
     
À l’opposé de l’Amour. Il est la loi du moi extérieur, détaché de sa réalité. Générateur du mal.

 

Ombre
     
Négation de cette réalité précédente. Force de constriction liée inéluctablement à l’apparition du fini par l’exercice de la loi du non-amour.

 

Ombre/lumière
     
Les deux chevaux du char de feu de votre Moi supérieur, Christ. Lorsque vous qualifiez la Vie par Christ, l’ombre et la lumière sont parfaitement équilibrées et ainsi la manifestation ne peut être que bonne ; si elle l’est par votre moi extérieur vous ne manifestez alors que le déséquilibre destructeur.

 

Réalité
     
L’aspect de votre Être absolu au sein même de sa création exprimant la divinité. Elle est notre Vie, notre Lumière à tous, notre corps infini, exprimable dans le fini.

 

Ressentir
    
Dernière phase de l’expression de l’Être dans son processus d’autorécognition. Ressentir c’est prendre forme finie, c’est avoir la joie dans le jeu spirituel des qualités et vertus de notre Être devenues compréhensibles par la cocréation de notre existence.

 

Seigneur Dieu
     
Souvent désigné par l’Homme dans le Ciel. Il est l’expression de toutes les qualités et vertus divines totalement développées en Lui. Il demeure à tout jamais le principe qui dirige la Vie.

 

Shambhalla
     
Foyer d’Amour situé dans l’espace éthérique de votre planète. Relié à l’Agartha dans la même analogie que Dieu vit effectivement en vous tous lorsque vous devenez l’incarnation de votre réalité. Compte tenu de votre statut il est une ambassade temporaire de votre potentiel évolutionnaire.

 

Soleil Central
     
Création absolue d’aboutissement de tous les ascendeurs. Hors de temps et de l’espace, ne peut être appréhendé par une conscience finie.

 

Spiritualité
     
Science de l’esprit. Est l’art d’exprimer notre réalité dans le fini, afin qu’elle soit compréhensible, selon la loi d’Amour, Christ.

 

Spirituel
     
Qualificatif de toute expression de la réalité à la manière du Christ. Toutes manifestations ainsi réalisées sont bonnes, qu’elles soient matérielles ou d’un taux vibratoire infiniment plus élevé. Tout ce qui représente la volonté et le désir divin.

 

Substance
     
L’un des termes les plus mal compris. La substance divine est la Réalité du corps divin, elle est ici pure Lumière, et manifeste la plénitude de l’Amour divin. Par l’exercice de ses propres forces internes elle peut, à chaque instant, par jeu, abaisser sa vibration et décliner la Réalité absolue en une quasi-infinité de matières et de formes finies.

 

Trinité
     
Autre appellation de l’Être divin faisant référence à sa constitution trine : Le Père, le grand JE SUIS, le Fils éternel, la grande Lumière et l’Esprit infini comme révélateur, le corps divin.

 

Univers
     
Ensemble de toute la création matérielle et spirituelle manifestant l’aspect compréhensible de la Vie divine.

 

Vérité
     
 La Vérité est à l’Être ce que la réalité est au non-Être. La vérité est insondable, inexprimable, elle est Dieu. La Réalité est la Vérité adaptée à la forme idéale, Christ, l’Homme dans le Ciel, l’image de la Vérité.

 

Vie
     
Avec un grand « V », est la vibration supérieure de l’esprit, s’écoule et s’appréhende au sein de la création finie. Souvent appelée la Lumière-Vie ou la Vie Une. Elle seule est votre réalité. Le mouvement du rien qui devient le tout manifesté.

 

Voir
     
Demeure la première des manifestations de notre « insondabilité », par laquelle vous devenez la conscience absolue de tout ce que vous saviez potentiellement Être. Vous émergez de votre « néant ».


 


 

 

 


 

 

 

 

 

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