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08/04/2006

PROBLEME DU BIEN ET DU MAL

VISION SUR LE PROBLEME DU BIEN ET DU MAL

 

 

Lorsque nous abordons la compréhension et l’origine du mal, le simple fait d’évoquer cette thématique soulève généralement une foultitude d’interrogations et amène tout naturellement à une infinité de solutions et variantes laissant, au bout du compte, les uns et les autres tout aussi incertains quant à la vision de cette réalité.

Désirer à tout prix plaquer sur cette pensée une idéologie, un substrat religieux, voire même un essai d’œcuménisme planétaire, nous ont menés, durant toute l’histoire de notre civilisation, à des drames humains sans bornes.

Nous ne savons en fait que faire de ce binôme, bien et mal, sans qu’inévitablement nous ne tombions dans les rets de cette pseudo réalité qui est celle de la dualité qu’inconsciemment et par voie de conséquence nous élevons jusqu’au sommet de la divinité ; allant bien évidemment jusqu’à faire de ce Dieu un dieu de Lumière et un dieu des ténèbres comme les deux faces éternellement inséparables d’une même pièce de monnaie.

Afin d’y voir un peu plus clair dans cette affaire cosmique il faudrait préalablement redéfinir ce que pourrait être le bien d’une part et son compère le mal d’autre part.

Pour faire court et simple nous pourrions dire que le bien demeure l’expression, dans le monde de la création, du Verbe divin selon la loi d’Amour ; le mal, quant à lui, c’est tout autant l’expression, formelle, en ignorant ce savoir faire divin qu’est la loi d’Amour, mais en utilisant la loi humaine du non amour.

Nous voyons tout de suite l’importance primordiale que revêt alors la qualification de l’énergie par l’esprit. Il devient dès lors bien évident que l’humain doit, s’y veut manifester le divin dans le monde de la création toute entière, préalablement reprendre les affaires divines là où il les a laissées tomber dans sa descente en cette dimension d’extrême cristallisation de la substance divine ; il doit obligatoirement finir d’être ici et maintenant ce qu’il veut être, soit l’Humain-Divin, le prolongement, la continuité de ce qu’Il EST. S’il, l’humain, n’est pas investi de sa propre identité et nature divine, comment espérer qu’alors il puisse prétendre à l’extériorisation de ce qu’Il EST ?

Espérer faire sans cet investissement divin en soi n’est que contraindre, en tant que petit dieu, très cancre, les forces de la Mère cosmique, à produire des extériorisations qui seront en disharmonies dans le tout, générant par répercussions diverses et varies des troubles et souffrances.

 

On ne peut pas aborder cette réalité sans entendre parler d’ombre et de lumière. Là aussi, pour faire tout aussi court que précédemment, nous dirions que la Réalité absolue, sans temps ni espace, au-delà de toute implication créationniste, afin de Se comprendre, est la Lumière Une. S’impliquant au sein de l’univers des univers créés, cette Lumière Une doit restreindre ses propres prérogatives, sa radiance, afin de prendre formes. Cette expérience formelle Lui permettant de prendre conscience de ses propres qualités et vertus ne peut alors qu’être évolutionnaire ; en effet vous trouverez toujours une forme plus proche de l’expression absolue exprimant le bien mais toutefois sans pouvoir jamais espérer l’atteindre dans son absoluité, sinon de façon asymptotique. En d’autres termes le Bien est absolue au sein de la Lumière Une primordiale, il devient quelque chose de Bon dans le domaine de la création restrictive de la forme en constante évolution.

 

Nous avons vu la MANIERE divine de s’exprimer dans la création, celle de qualifier l’énergie par la loi d’Amour, en d’autres termes par Christ. Maintenant abordons le MOYEN de cette extériorisation qui n’est rien d’autre que votre Grande Mère cosmique, votre Esprit Saint, votre corps de pure Lumière. C’est au sein même de cette force de Lumière et ce cette substance divine que les confusions naissent généralement. Il y a au sein de cette force deux composantes, l’une qui tant à l’expansion et l’autre à la constriction. En effet il faut bien que nous diminuions cette Lumière infinie en exerçant sur Elle un amoindrissement temporaire afin qu’Elle prenne conscience de ce qu’Elle Est au travers de l’expression formelle qu’ici nous lui proposons. Nous lui proposons une direction et la loi christ sait infiniment mieux que la conscience humaine ce qui est le mieux en conservant l’harmonie du tout.

C’est alors le christ en soi qui dirige les opérations, dirige les deux forces précédemment mises en évidence. La force d’expansion est appelée lumière, quant à sa sœur elle est nommée ombre, d’où cette confusion généralement répandue avec le mal. Christ apporte un peu ou beaucoup de voile sur la grande Lumière afin qu’elle puisse apparaître.

Certains diront que le mal est la contrepartie du bien sans lequel nous ne pourrions pas trouver le bien, taratata… Taratata…

Lorsque nous en bavons, nous finissons par arrêter de nous faire chier et si nous ne trouvons pas forcément rapidement la solution pour changer les choses en nous changeant nous-même, nous prenons au moins conscience que quelque chose ne tourne pas comme il devrait être ; mais par contre lorsque quelqu’un fait chier les autres il n’est pas évident qu’il en prenne rapidement conscience, vous aussi vous avez remarqué ?

Nous avons ainsi dans le cosmique, il ne faut pas l’oublier et le négliger, toute une large panoplie de forces négatives qui oeuvrent selon la loi du non amour car elles-mêmes issues de cette loi durant des âges et des éons. Des égrégores négatifs jusqu’aux entités désincarnées l’éventail est large.

 

En résumé le bien c’est Bien, il n’y a rien à redire. Quant au mal ce n’est en aucune manière, de près ou de loin la contrepartie nécessaire au bien ; le mal c’est mal, un point c’est tout. L’unité prend conscience de ce qu’elle est par le bien et non par le mal. Exprimer le verbe divin nécessite, comme nous l’avons vu plus haut, un préalable qui est celui d’être l’incarnation de ce même verbe. Quant au mal il demeure l’expression de la loi d’ignorance.

 

Nous nous devons ici d’ajouter à ce qui a été dit quelque éléments sur l’ampleur de la résurgence des « contacts » avec l’autre coté du voile.

Considérons, si vous le permettez, les choses de la façon suivante : Il est indéniable que l’Entité que nous connaissons sous le nom de Terre et dont le corps, les corps, font partie intégrante de la Grande Mère cosmique, voit son énergie progresser lentement mais sûrement vers une nouvelle matrice de Vie. Le seul point d’interrogation est : son humanité actuelle pourra t-elle suivre vers cette nouvelle matrice. Personnellement, sauf une surprise de dernière minute bienheureusement cachée dans le plan, permettez moi d’émettre de gros doutes.

Soit, le plan vibratoire terrestre doit donc traverser ce qui pour l’ancien monde représentait le plan des démons du bas astral. L’ensemble de ces entités se nourrissant d’une certaine qualité de notre éthérique afin de perdurer dans leur forme, éthérique ne pouvant être généré que si il y a incarnation, voient mal votre éventuelle disparition de ce plan. Elles feront et font tout ce qui est en leur pouvoir pour que vous y restiez. Cet inéluctable rapprochement de leur plan permet la multiplication des contacts. Ceci n’est bien évidemment que l’un des aspects de la trame de la grande falsification des temps nouveaux.

L’humanité est largement investie dans tous ses corps par ces entités. Cela vous affole t-il ? Vous avez fait avec jusqu’à maintenant. Invitez-les à quitter votre demeure, non pas avec notre mental, mais en vous co-créant divinement, en désirant l’investissement du divin que vous êtes et qui attend derrière la porte de votre être en vous disant « C’est quand tu veux ».

Négliger ces infections astrales reviendrait à garder des l’élastiques reliés au bas. Nous pouvons constater cette emprise sur les personnes qui semblent abonder dans votre sens de vision de la réalité et qui une fois à peine les talons tournés ont déjà rechutées dans leur propre paradigme.

 

Investissez vos corps en disant : « Qui commande ici ! Je suis (Un tel) Christ et je prend la direction des affaires du monde dans lequel j’ai décidé d’agir ». Il n’y a que l’Un qui doit vivre et parler, ici comme ailleurs. Je sais que vous percevrez ce que j’entends par là. Vos corps deviendront alors les diverses cristallisations de votre corps de Lumière, demeure de votre Verbe divin attendant derrière la porte.

J’entends vos requêtes : « C’est bien gentil, je comprends vers quoi nous devons tendre, mais comment permettre l’investissement du divin en nous ? »

Aucune technique « extérieure » ne pourra vous y mener. Il est bien question ici de se mettre à votre vraie place, celle du divin, en vous, derrière la porte, et de continuer ce que vous aviez momentanément interrompu ; demandez à la Mère d’enfanter l’enfant christ que vous aviez entrepris de devenir afin d’agir en ce monde et dans tous les mondes. A vous de voir et de comprendre. Voir vous rend libre afin de vous permettre de comprendre ce QUE VOUS ETES.

14:57 Publié dans Spiritualité | Lien permanent | Commentaires (1) |

Commentaires

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Écrit par : Mickey | 10/07/2013

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