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28/02/2011

LE CORPS DE NOTRE EXPRESSION DIVINE

 

NOTRE CORPS EST DIVIN

 

 

 

 

Il serait peut être plus judicieux de dire « nos corps d’expression» sont divins. A partir du moment où le sans forme, le Seigneur dieu de notre Être, sort de l’informe absolu nous ne pouvons éviter de parler de formes, tant spirituelles que bassement matérielles, étant bien compris, et nous sommes déjà expliqué sur ce fait, qu’il est hors de question ici le formes du mal, la forme n’engendre pas forcément la souffrance, à moins qu’elle ne soit formée par l’être détaché de son Centre divin. Toutes formes est, si elle est initialisée par la Lumière que nous sommes, non pas l’expression totale et parfaite de l’unité insécable, mais n’en doutons pas un seul instant, l’expression harmonieuse faite à l’image et à la ressemblance de notre Être.

Ainsi nos corps d’expression demeurent être l’interface entre ce que nous sommes et ce qui est exprimé extérieurement. Lorsque nous agissons ainsi nous ne pouvons savoir exactement qu’elle forme prendra exactement cette manifestation « extérieure » car alors seule l’intelligence infinie, maître d’œuvre divin, sait ce qui correspond le mieux à l’harmonie du tout. Et peut être l’intelligence décrétera qu’il n’est pas opportun d’exprimer quoi que ce soi pour l’instant ; c’est là la prérogative suprême du Tout préservant l’équilibre et l’harmonie du Tout.

Grâce à la force constrictive luciférienne, notre Lumière prend forme et en cette forme involutive, au travers de cette pseudo chute, nous demeurons éternellement en cette bulle évolutive, « l’interface » parfait, multidimensionnel, multi densimétrique, concentrique et non excentrique.

Vous l’aurez parfaitement compris, la qualité de nos extériorisations va dépendre avant tout de la qualité, de l’intégrité de cette interface, de l’interface que nous offrons à notre Être.

Vous l’aurez aussi compris, si nous désirons exprimer ce que nous sommes par cet interface il est préalablement adéquat de devoir créer cet interface idéal. Comment devrions nous nous y prendre ?

 

Tout est et demeure à tout jamais être une question de conscience et comme j’aime à le répéter intentionnellement tout au long de ces écrits « nous ne prenons contact qu’avec ce dont nous aurons préalablement pris conscience » et cette conscience dont il est fait mention ici est et ne peut qu’être notre « Conscience Christ » l’Homme céleste incarné dans la création. Voir cela en soi et s’y transporter en conscience nous confère indubitablement le pouvoir de créer cette « personnalité Christ » que nous sommes au sein même de notre désir divin potentiel. Alors mettons nous en cette place unique, au centre perdu de notre manifestation finie et évolutive, reprenons les choses en mains et achevons cette réalisation que nous aurions dû être si nous n’avions pas perdu le fil des choses en cours de route.

Ce faisant nous incorporons notre principe créateur divin ainsi que notre « main créatrice », notre force de Lumière, tout à la fois force et substance, l’athanor des créations, la Mère.

 

Vous êtes maintenant à même de comprendre l’importance majeure de la mise en œuvre de la Lumière ombrageuse dans ses efforts à pervertir, détruire cette réalité féminine au travers de tous les enseignements religieux sur cette terre. En ce corps de notre réalité, ce « ressort » permettant la circonscription  de l’infinitude de notre Être, Lucifer pour ne pas le nommer, a été décrit comme étant le tentateur de notre féminité afin qu’elle chute au sein de cette création finie, ouh la vilaine pécheresse. Lorsque je fais ici allusion aux enseignements religieux je me dois de n’en exclure aucun, entraînant par là même l’impossibilité de tous leurs adeptes à pouvoir devenir libre en leur Lumière originelle. Nous avons déjà eu l’occasion de le dire, mais nous aimons à le répéter, qu’il faudrait ajouter à cette liste de religions officielles, tous les ordres, fraternités et mouvements dits spirituels ayant pignon sur rue ; alors pourquoi certains ordres secrets diffuseraient ils un enseignement authentique, en cela nous répondrions que s’il sont restés relativement inaccessibles durant tout une ère durant ce n’est certes pas par snobisme, c’est que cette humanité n’étant pas encore totalement sortie de la crèche, avait d’autres choses à vivre. Pour les âmes de bonne volonté il y a toujours eu et il y aura toujours de belles fleurs poussant sur le bord du chemin, quel que soit ce chemin.

 

Puisque nous en sommes au corps de la création en lequel les scientistes n’ont voulu voir que les divers aspects de la matière dense et les diverses forces élémentaires qui interagissent entre les éléments qui la composent il serait ici souhaitable, pour une compréhension plus élevée de sa réelle nature céleste, d’en dire davantage.

 

Lorsque nous évoquons le corps nous pouvons ne le résumer qu’à la partie visible, en oubliant qu’il est composé de plusieurs niveaux d’expressions, physique, éthérique, astral et mental pour ce qui concerne les niveaux dits inférieurs.

Encore une fois lorsque nous parlons de corps en tenant compte des divers niveaux sus cités faut –il le limiter aux revêtements dont se vêt notre personnalité expérientielle ?

Assurément non, car se faisant nous le couperions du tout manifesté. Comprenez bien que si nous avons accès aux constituants de notre environnement, aux arbres, à l’eau qui coule au milieu des près, au sol sur lequel nous marchons, à l’air que nous respirons en nous transmettant chimiquement et alchimiquement ce pourquoi il est là, c’est parce qu’ils font partie du monde exprimé par la même intelligence, issus de notre Être, parce qu’ils sont nous.

En élargissant la vision de cette réalité il ne nous reste plus qu’un pas à franchir pour affirmer que l’univers créé est bel et bien notre corps.

Au sein même de cette majestueuse arborescence notre rôle, comme nous avons eu l’occasion de le voir et de le comprendre, est de re exprimer notre Verbe dans la diversité et spécificité des innombrables qualités et vertus de notre Divinité. Vous pouvez aisément comprendre et voir ici la nécessité de devoir installer là, entre le Foyer Lumineux installé depuis toujours au centre de notre Être et le monde qui le circonscrit, un ensemble de corps concentriques, une interface d’une qualité permettant la juste et harmonieuse expression du Verbe.

Il est tout aussi vrai de dire que tout ce qui doit « circuler » dans le monde, en fait dans notre corps, dépendra, en quantité et surtout en qualité, de la qualité de cette interface.

 

« L’Être ne peut faire…. pour nous……. que ce qu’Il peut faire…..par nous ».

Et « Nous ne pouvons prendre contact qu’avec ce dont nous aurons préalablement…. pris conscience ».

 

Gardons toujours ces vérités présentes à l’esprit.

L’ensemble de notre système de corporisation d’incarnation au sein même de notre création multidimensionnelle  n’a pas lieu d’être rejeté, accablé du péché de sa chute, blâmé en tant que contrepoids dégénératif et avilissant de l’esprit. Voilà bien ici montré du doigt la faute d’ignorance et le détournement fallacieux des directeurs de religions, des sombres modeleurs de conscience. Rendre la matière comme étant la cause et la source démoniaque de tous les péchés c’est avant tout masquer une grande vérité, celle de la Mère Créatrice, de la Femme céleste, de notre part féminine.

Nous voudrions ici profiter ce cette occasion pour dénoncer une autre manière de perpétuer cette ignominieuse méprise, destinée à piéger les humains dans la chute non ascensionnelle, une manière au goût du jour, new age,  celle qui consiste à prôner le fait que ce doit être les femmes qui vont sauver le monde. Dans le genre il faut savoir que cette humanité, au travers des civilisations qu’elle a vécues, a longuement expérimenté aussi bien le matriarcat et le patriarcat.

Notre humanité ne doit pas maintenant ré expérimenter cela mais doit se reconnecter avec sa réalité, avec sa nature androgyne, avec l’état d’être que nous sommes dans le Ciel, avec notre Christ. Vous avez bien entendu, nous avons bien spécifié qu’il s’agissait d’androgynat.

Cet état d’Être absolu se manifeste dans son expression multidimensionnelle et formelle par deux entités jumelles, pensant et agissant de concert. L’Être a besoin de sa création, alors ne nous évertuons pas à vouloir à tout prix fusionner ce qui a été intentionnellement diffusé par les forces de la création, mais évertuons nous à valider cette diffusion céleste en la rendant adéquate à rendre le service qui doit être le sien auprès de l’Être, et en cela nous nous sommes déjà expliqués.

 

Nous avons fait allusion plus haut à notre reconnexion avec notre androgynat primitif. Précisons, lorsque nous mentionnons son expression au travers d’un couple d’âmes nous sommes parfaitement conscient que cette réalité spirituelle peut éventuellement poser problème à beaucoup d’entre vous.

Afin d’éclairer quelque peu cet aspect nous pourrions utiliser quelques images beaucoup plus compréhensibles que de longues et nébuleuses explications ésotériques n’amenant rien de mieux et de plus en définitif. Imaginons la première et unique expression divine du divin qui est son Verbe, ou en d’autres termes l’Homme dans le Ciel, quelque fois appelé le Seigneur Dieu. N’ignorons pas qu’à ce stade la nature et la forme que peut prendre cette expression ne peuvent qu’être à l’image et ressemblance de celui qui l’a émise, soit sans forme. Pour des raisons que nous avons largement explicitées par ailleurs le « Sans Forme » doit prendre forme afin qu’Il puisse s’auto évaluer, afin que la Conscience Suprême qu’IL EST puisse prendre conscience d’ELLE-MÊME. Ainsi la création apparaît avec toutes les formes finies possibles et imaginables incarnant le Seigneur Dieu qui, au sein même de cette incarnation s’appelle le Christ. Christ n’est pas un personnage, serait-il même historique, c’est avant tout un ETAT D’ÊTRE. C’est ce qu’en un temps et tout au long de notre ouvrage nous avons appelé la LOI D’AMOUR. Tout ce qui est et sera ré exprimé dans la diversité et spécificité en « Son Nom » sera bon et en harmonie avec toutes les expressions déjà créées dans l’univers. En terme d’expression Humaine nous ne pouvons trouver dans l’univers multidimensionnel manifesté un être formel sans qu’il soit alors représenté « en relief » en « stéréo » par un androgynat non plus informel mais sous forme de bipolarité, masculin et féminin.

« Dieu prend forme par la conscience et la conscience c’est l’Homme ».

« L’Homme demeure à tout jamais la forme idéale de la pensée de Dieu et Dieu est l’idéal de la pensée de l’homme ».

 

Toutes les civilisations qui ont précédé les temps présents ont essayé la manipulation de la matière afin de mettre les forces qu’elle recèle en son intimité à son service et pliée à sa volonté. Ces apprentis sorciers ont tous dû tôt ou tard payer le prix fort de ces actes de non amour, entraînant dans leur creuset maléfique les civilisations qui les ont vu naître.

Nous pouvons transformer, et vous l’aurait bien compris, avec Amour, avec tout ce que cela comprend et implique de notre part. modifier les bases génétiques des formes de Vie n’est en soit nullement un sacrilège lorsque c’est en conformité avec la loi d’Amour.

 

Nous voudrions maintenant vous faire entrevoir une réalité un peu plus étendue de notre corps.

Pour  ce faire nous devons impérativement sortir de nos limitations, de notre illusoire réalité. Posons nous le question de savoir quelle pourrait être la véritable limite de notre corps ne serait ce que physique. Doit-il se limiter simplement à la frontière de notre amas cellulaire ? Pour pouvoir répondre à cette légitime interrogation nous devons prendre de l’altitude et nous remémorer qui nous sommes en réalité. En cette place les choses deviennent bien évidemment plus claire et simples. Nous sommes l’Homme dans le Ciel, notre Ciel, notre Tout ; nous l’avons défini comme n’ayant pas de forme, car naît de l’informe. Nous sommes cette supra conscience éternelle. Afin de comprendre et ressentir toutes ses qualités et vertus le Seigneur Dieu de notre Être, c’est l’autre Nom que nous donnons à cet Homme, « s’implique en une création », une illusion de fini, en éternelle expansion de conscience.

Mais nous venons de le dire, en cette création rien, absolument rien n’est isolé, séparé du reste de la totalité, rien de peut l’être. Notre réalité ainsi créée est et demeure à tout jamais cela, cette création en sa totalité.

Faisons descendre notre Ame Christ au centre de notre cœur et voyons la étendre son rayonnement bien au-delà de la périphérie de notre physique, jusqu’à envelopper la terre entière ; ce n’est pas là qu’une image destinée à magnifier, par une hypothétique synergie, un quelconque phénomène auto subjectif, mais réactualiser consciemment ce qui a toujours été notre réalité. Nous sommes alors maintenant en unité parfaite avec tout ce qui compose cette sphère de vies. Apprenons en cette nouvelle situation à prendre conscience de notre lien intime avec toutes les formes de vie manifestées en cette sphère de Vie. Comprenons que ce sont là des expressions diverses et variées de Nous-Même, qui parlent de notre Réalité à un niveau perceptible et compréhensible pour notre incarnation. Comprenons que toutes ces expressions demeurent en Nous, en notre corps, non pas comme des parasites mais comme faisant partie intégrante de notre corps, et qu’au fond ce qui les anime n’est pas différent de ce qui nous anime, à savoir notre principe lumineux de Vie.

Cette réalité perçue nous amène  inexorablement vers la reconnaissance du fait que toutes ces expressions peuvent interagir mutuellement, non pas seulement sur le plan physique mais aussi sur les plans plus subtils de leur constitution. A ce titre nous ne mettrons jamais assez l’accent sur le fait que nos propres pensées ont un effet sur les autres formes de vie ; nous en voulons pour preuve la dégénérescence de la conscience humaine entraînant de facto celle de la nature. A ce titre vous avez déjà entendu parler de l’aphorisme du « centième singe » ; lorsque la masse critique de l’apprentissage au sein d’une même communauté de vie atteint un certain seuil critique c’est l’ensemble de l’espèce qui entre en possession de ce même acquis. Mais ce que l’on oubli généralement de nous dire par la même occasion c’est que le phénomène, bien réel, agit dans les deux sens, aussi bien dans le progrès que dans celui de la dégénérescence. C’est en ce dernier que les forces obscures agissent afin de garder cette humanité sous leur joug. L’ère de la fission nucléaire nous donne quelques exemples de dégénérescence en fragmentant, en autres effets, les brins d’ADN sous l’exposition des radiations. Une autre répercussion de la fission nucléaire, beaucoup plus cachée et d’autant plus pernicieuse, celle de la création de monstruosités psychiques ; en quelques mots nous résumerions cela en disant que le simple fait de fissurer un noyau atomique engendre inéluctablement la libération d’une énergie, celle qui est exploitée brutalement, mais libére aussi des forces plus subtiles de création, qui n’ayant aucun but errent en cette dimension cherchant un moule d’expression, moule qu’elles trouvent au sein des égrégores de pensées humaines, égrégores ombrageux, extrêmement puissants, afin de manifester des formes émotionnelles et mentales parfaitement actives ; actives sous des formes pouvant être tout autant physiques, avec apparitions soudaines d’organismes, voire de micro-organismes extrêmement dégénératifs. Nous ne nous étendrons pas plus que cela sur cet aspect ombrageux et nauséabond, cela n’est pas notre propos et notre but. Il y a une façon bien simple et puissante pour se préserver de cette déchéance, c’est celui de cultiver et de déployer notre nature divine soigneusement sertie en chacun de nous.

Nous en profitons pour mettre ici en exergue un autre aphorisme quelque peu galvaudé, « l’ombre révèle la Lumière ». Autant dire que « le mal révèle le bien » ; en cette affirmation nous restons encore dans la dualité et jamais un tel discernement ne pourra nous mener à la reconnection Lumineuse.  En effet au travers de ses expériences ombrageuses l’humanité qui a oublié sa réalité ne peut effectivement essayer de progresser que dans le domaine du relatif, un bien peut être, qui peut le dire, un mieux, par rapport à quoi ? Jusqu’à ce qu’un jour elle arrête de gesticuler douloureusement dans les domaines du manifesté en entre dans celui du manifestant.

 

Tout ce qui a trouvé naissance dans le domaine du manifesté à partir du non amour, c'est-à-dire sans la volonté et la loi d’Amour du manifestant sera déraciné, il appartient au domaine du mal.

Tout ce qui provient du manifestant et prend forme dans la domaine du compréhensible est Bon, mais ne sera pas éternel, il devra tôt ou tard disparaître pour laisser la place à mieux, à une forme de conscience plus élargie, résultant d’une constante ascension.

Tout ce qui Est du domaine de l’informe, du Manifestant que nous sommes est éternel et divin et ne changera pas.

 

L’aphorisme auquel nous nous référions ci-dessus, à savoir « l’ombre révèle la Lumière » peut maintenant revêtir une signification plus subtile. En effet, souvenez-vous, l’informe que nous sommes dans l’Absolu, doit prendre forme afin de prendre conscience de Lui-Même au sein même du lieu qu’est la création. Et lorsque ici nous évoquons la notion de forme il faut bien comprendre toutes les formes ; aussi hautes doivent-elles se situer dans les dimensions, aussi subtiles seraient-elles, il est évident qu’il s’agit bien de forme. Hors il est bien évident que cette circonscription de l’infinitude puisse immanquablement conduire à ce que l’expression formelle ne soit en définitive qu’une limitation de l’Être infini que nous sommes.

Cette œuvre trouve sa réalisation en la Mère céleste, notre divine Force de Lumière, l’athanor de notre réalisation. Nous avons par ailleurs évoqué cet aspect constrictif lorsque nous avons essayé de décrire les ressorts des forces de la création en démystifiant cette notion de « pécher originel » que l’ignorance religieuse exotérique persiste à colporter tout au long des âges afin de lobotomiser ses croyants.

Hors, vous en conviendrez, une limitation au sein même de la Lumière peut être assimilée à une « Lumière Ombrageuse », ou en d’autres termes, à une moindre vérité, une moindre réalité, et c’est en cela que nous pouvons parler d’ombre révélant la Lumière, en cela qu’une moindre Lumière infinie puisse faire lumière finie, formelle. Mais ici nous nous devons, encore une fois, et nous n’y reviendrons jamais assez, mettre l’accent sur la manière de former cette « ombre lumineuse ».

Nous avons le choix entre faire notre propre volonté, celle de celui qui coupé de sa réalité veux exercer ses propres prérogatives, en formant les choses de son monde à son image et ressemblance, et nul besoin de voir où cela peut mener la présente humanité, et faire Notre Volonté divine, en formant les choses de ce monde en harmonie parfaite avec notre Loi d’expression et de co-création, notre Loi d’Amour, notre Christ intérieur, l’incarnation du Seigneur Dieu que nous sommes au sein même de sa création auto révélatrice de toutes ses qualités et vertus.

Ainsi lorsque nous co-créons divinement nous le faisons consciemment en nous ayant au préalable posé les bonnes questions, à savoir :

 

                    Qui crée en lieu et place de cette identité terrestre que nous connaissons depuis notre enfance ?

                     Selon quel plan et quelle procédures cela s’opère t-il ?

                     Quelles sont les forces mises en jeu ?

 

En guise de questionnement nous venons de poser un triptyque. Un triptyque faisant miroir à l’aspect ternaire du Verbe divin ; voyez cet Homme, que nous sommes, dans le Ciel, que nous pourrions aisément, par analogie, comparer à un bâtisseur qui,

 

                          En tant qu’Esprit, ou Père selon la terminologie chrétienne, est pure Volonté.

                          En tant que Fils, ou Âme de cet Être sublime, il représente les plans et modalité de  création.

                          En tant Saint Esprit, il représente à la fois les ouvriers, ou la main du         modeleur, mais aussi, ne l’oublions surtout pas, la substance à modeler, le corps même de notre réalité céleste.

 

Pour se rapprocher d’une analogie plus moderne nous pourrions dire que l’Esprit de cet Être est l’informaticien, que son Âme est le logiciel et que son corps de manifestation demeure être l’ensemble des périphériques et notamment le moniteur.

 

Puisqu’il s’agit bien du sujet qui ici nous occupe nous allons pénétrer plus avant dans ce troisième aspect de notre Être à savoir son corps.

 

Nous pouvons dire avec certitude que le problème que rencontre cette humanité après sa « chute » pourrait être comparé au fait, pour rester dans notre analogie, à un moniteur informatique qui ne fait que ce que lui dit son nouveau logiciel, à peu près n’importe quoi.

En effet notre Âme christique, aspect incarné de l’âme divine du Seigneur dieu que nous sommes, devint au fil du temps et des dimensions et densités descendues, de plus en plus obscurcie et fut progressivement remplacée par une âme humaine personnalisée. Cette âme personnalité devint donc notre nouveau logiciel d’expression de notre nouvelle perception de notre réalité, âme évoluant jusqu’à devoir se reconnecter avec sa réalité. Entendons-nous bien à aucun moment l’âme humaine évoluant au sein de la densification incarnationnelle ne se substitue à celle de l’Âme Christ, mais pour un temps s’efface devant elle sans pour autant disparaître ; jamais notre Âme Christ ne disparaît.

 

Notre corps véritable ne doit pas s’arrêter à l’illusion de la périphérie de notre épiderme. Dans l’Absolu de notre réalité c’est, nous l’avons vu, cette force de Lumière, athanor de toute l’infinie morphogenèse,  et cette Substance infiniment plastique enfermant en elle toute l’intelligence de notre loi d’Amour. Cette conscience d’Être nous amène forcément à connaître que nous ne sommes en définitive nullement séparés de toutes les formes de Vie de la création. Ainsi chaque forme de conscience manifestée révèle une compréhension finie de la connaissance infinie que nous sommes. Prenons conscience que toute action dans le monde n’est pas extérieure à nous-même mais s’opère indubitablement en notre Corps. Changeons la conscience d’une forme de manifestation et nous créerons une transformation de la forme. Oui, nos amis, nous avons tous ce divin pouvoir en nous.

                         

Lorsque nous évoquons la morphogenèse y faut bien entendre le complexe intelligent  président à la formation de toutes les formes, quelles soient matérielles, organiques, émotionnelles, mentales et causales.

Aussi bas que vous puissiez descendre dans la constitution infra atomique de la matière et aussi haut puissiez vous accéder dans les dimensions purement spirituelles, tout ce que l’informe exprime est issu de Lui et est Lui sous une forme spécifique, compréhensible.

L’arbre sous lequel nous aimons faire la sieste, le caillou que nous foulons au pied, notre corps physique, éthérique, astral, mental, nos sentiments et émotions, nos pensées, tout cela est contenu et formé en notre corps de réalité manifesté et destiné à transformation, à l’impermanence, à évolution afin de se rapprocher asymptotiquement de l’Absolu inatteignable.

Mais ne nous y trompons pas, le but de l’évolution n’est pas de nous replonger dans notre Absolu réalité, mais bel et bien de l’exprimer dans des formes de conscience finies.

 

Ainsi nous sommes des dieux co-créateurs de Nous-Même dans des formes évolutives finies afin de prendre conscience du Nous-Même informel, infini à tout jamais.

 

Nous avons en nous, en notre corps, expression spécifique de notre Corps de Lumière, tous les « codes » morphogénétiques concernant l’expression véritable de notre manifestation multidimensionnelle, en ce qui concerne le corporel, mais aussi, et vous l’aurez bien compris, toutes les autres strates de manifestations, émotionnelles et mentales. Incluons en ce domaine de réalisation notre relation avec toutes les autres formes de Vie au sein même de notre corps céleste.

Posons maintenant un regard plus juste sur notre propre expression humaine concernant cette personnalité vaquant à ses occupations journalières. L’illusion de ce que nous sommes présentement est tellement insignifiante par rapport à ce que nous pourrions être fait souvent oublier que nous avons en nous tous tout le matériel morphogénétique permettant cette pleine réalisation.

Si nous prenions la décision consciente de manifester ici et maintenant la Connaissance de ce que nous sommes dans la joie de l’harmonie de notre humanité il est juste de dire que cela ne concernerait pas seulement nos caractéristiques physiques mais bel et bien tous les aspects concernant cette réalisation, à savoir, nos émotions et nos pensées mentales et supramentales.

 

Ce n’est pas à nous de décider des modalités de manifestation mais à Christ que nous sommes en cette réalité de laquelle cette humanité s’est déconnectée depuis maintenant beaucoup trop longtemps. Et lorsque nous parlons de modalités il faut bien entendre la ou les formes que doivent prendre cette limitation de l’infinitude, mais aussi le lieu, le temps et en définitive de savoir s’il est tout simplement judicieux qu’il y est tout simplement une manifestation.

Nous voudrions aborder maintenant quelques aspects de la problématique de réalisation de cette interface divine que devrait être notre corporéité d’incarnation.

Depuis l’avènement du New Age il est beaucoup question de travail sur soi. Certes, en dehors de la grande majorité des techniques qui ne sont en fait que des impasses aux buts plus que douteux et ombrageux, il est bien évident qu’il est nécessaire et vous l’aurez bien compris de remettre le corps en l’état tel que le Seigneur Dieu le désire en permanence en son Esprit et le tient rayonnant en son Âme.

Confiriez-vous la construction de votre demeure à des supposés artisans sans leur fournir les plans et les techniques de constructions spécifiques que seul vous, le maître d’œuvre, le Christ connaissez parfaitement, assurément non. Alors pourquoi chercher et faire appel à l’extérieur pour ce faire ? Parvenus à ce stade de notre prise de conscience, nous savons qu’il est impératif de reprendre notre propre création multidimensionnelle en main. Pour ce faire et avant toute possibilité de réelle extériorisation de notre Lumière en des formes spécifiques et finies, il demeure indispensable de préalablement finir ce qu’en tant que divin, nous avions commencé mais pas correctement fini, à savoir la réalisation d’un corps construit par Nous-Même, un interface divin, permettant une expérience divine.

En fait dès le début de notre descente dans notre création, lieu créé pour nos expérimentations de Nous-Même, nous avions ce corps, mais la descente aidant, par son effet constrictif, nous avons progressivement perdu le contact avec notre Volonté et notre Âme céleste, afin de jouer nos propres partitions. Inutiles de vous faire un dessin pour vous rendre compte du désastre. Mais nous avons en nous tout ce qui est nécessaire afin de reprendre en main nos droits divins et reprendre les opérations en un temps abandonnées et perverties destinées à comprendre toutes nos qualités et vertus divines ici bas, en spiritualisant la matière, composante non rejetable de notre propre création.

Il n’y a rien d’étonnant à ce que cette époque ci soit celle, entre autre, du retour à la connaissance de notre structure de base de notre corporéité, à la redécouverte du génome humain. Nous pouvons réactiver tout notre potentiel génétique par, non pas nos errements « spirituo scientifiques » extérieur, mais en redonnant la main à notre véritable Maître d’œuvre divin qui avec notre force de Lumière doit remettre la maison en ordre de marche telle qu’elle est prévue dès l’origine afin d’accomplir les desseins divins.

 

Pour ce faire nous pouvons, entre autre, réaliser consciemment la visualisation suivante :

 

« Transportons notre conscience en notre Âme christique, notre huitième chakra, situé à environ cinquante centimètres au dessus de notre tête. Se transporter consciemment cela implique bien évidemment de nous voir haut dessus de nous, de s’imprégner de cette position, de s’y ressentir rayonnant, de savoir qui nous sommes en cette position, de visualiser notre corps d’incarnation au dessous de Nous.

Il faut bien ici faire la différence entre visualiser notre huitième chakra et Être ce centre de conscience.

Au bout de quelques instants descendons en notre corps et arrêtons nous au niveau du cœur.

En cette nouvelle position, incarné, nous pouvons y voir ce petit soleil rayonnant de tous ses feux dans son écrin, c’est notre cellule mère, constituée de pure Lumière, prototype génétique non corrompu de toute expression morphogénétique. Telle sont ses prérogatives divines mais aussi de pouvoir garder en Elle, toute l’histoire de notre cheminement depuis notre projection dans notre monde créé. Il nous faut voir en elle toute la magnificence de la magie divine de notre corps de Lumière, immanent.

Maintenant prenons conscience de l’infinité de liaison réalisées entre cette primo cellule et toutes les autres constituant notre corps, nos corps.

Arrivés à ce stade nous devons prendre conscience que notre Être est ainsi reconnecté et finissant ce qui en un temps fût interrompu. Ainsi notre verbe divin se trouve  enfin reconstitué et qu’un flux continu se propage de Nous-Même, Christ, le Maître d’œuvre que nous sommes, via notre force de Lumière ici représentée par notre Cellule Mère afin de créer cette cristallisation de Lumière que doit être notre corps d’expression. Il n’y a plus de rupture, la connection est enfin rétablie.

Effectuer cet exercice régulièrement nous confère un nouveau cheminement vers notre réalisation.

Ne vous attendez pas à ce que dès la première reconnection vous puissiez redevenir le Christ manifesté dans le monde multidimensionnel, mais progressivement et à la hauteur de votre prise de conscience au sein même du processus de reconstruction.

Dans ce processus nous devons voir notre cellule mère sous le rayonnement de la conscience christ transmettre le bon programme morphogénétique à toutes les cellules de notre corps afin de progressivement recouvrer ses prérogatives divines.

 

Puissiez vous simplement imaginer les possibilités de manifestations avec un tel corps, ou pour être plus précis avec un tel complexe corporel.

Le monde en lequel nous expérimentons actuellement la Vie apparaîtrait totalement différent de ce qu’il est. Imaginez simplement ne plus avoir besoin de vous nourrir pour n’aborder que l’aspect physique. Si nous abordons cet aspect là c’est qu’il est parfaitement possible de se passer de nourritures solides. En effet la nourriture pranique est une réalité que nous avons depuis très longtemps oubliée, ici sur cette sphère de l’espace. Avec une telle reconnexion  les cellules peuvent enfin puiser dans les énergies pranique tout ce dont elles ont besoin.

Avec cette simple possibilité imaginez seulement les répercutions induites sur nos systèmes de sociétés ; la dictature de la nourriture ne serait plus, avec pour effets synergétiques la disparition de l’obligation vitale alimentaire, de la faim dans le monde, de l’obligation sociale relative à cette nécessite journalière ayant pour conséquence une refonte complète de notre société. Imaginons puiser toutes les énergies dont nous avons besoin à partir de sources parfaitement naturelles, infinies, illimitées, non pillées à notre planète, gratuites… surtout gratuites.

Déjà, rien qu’en composant avec ces deux aspects nous commencerions à connaître et comprendre ce que libre veut dire. Nous commencerions à comprendre ce qu’est une Humanité fonctionnant avec l’Amour, le Joie.

Cette énumération de bienfaits n’est nullement exhaustive. Effectivement et pour rester dans le seul domaine du physique prenons en considération la disparition progressive de toutes les maladies libérant ainsi cette humanité du joug des drogue savamment distillées afin de garder les êtres dans la dépendance physique, psychique, mentale et financière.

Un des aspects éminemment positif et à ne surtout pas oublier, concerne notre reconnexion avec notre Terre-Mère. Elle a, durant des millénaires, pour ne pas dire des millions d’années, dû prendre sur Elle notre déviance spirituelle en maintenant notre existence en cette dimension de conscience, et ce malgré les cycles cosmiques qui devaient normalement lui permettre d’ascensionner.

La reconnexion  de cette humanité avec sa source de Vie lui fait donc retrouver son identité, celle d’Humanité Christ. Ne faisant qu’un avec la Terre, un Corps local de Nous-Même, cette dernière se fera une joie toute naturelle de nous ouvrir ses diverses portes nous permettant d’accéder à d’autres dimensions de Vie, à d’autres formes de Vie, transformant cette Terre en Ciel.

 

 

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