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08/04/2006

HISTOIRE D'UN PARCOURS

HISTOIRE D’UN PARCOURS PARMI TANT D’AUTRES

 

Par son manque de recul et d’objectivité se raconter est toujours un exercice assez délicat. Un parcours pourrait évoquer un cheminement géographique alors qu’ici il ne s’agira que d’un sur place, que d’une modification de conscience. Il ne s’agit ici que de changer son propre aspect inférieur afin de retrouver notre véritable nature. Cette démarche ne relève en aucune manière d’un certain opportunisme existentiel mais résulte inévitablement de l’impulsion d’une force plus intérieure déclenchant chez ceux qui se sentent concernés l’irrépressible invitation à redevenir ce « quelque chose » qu’ils sentent devoir être. Ce déclanchement accepté est forcément encodé dans notre parcours de vie. Il peut prendre la forme prédéterminée la mieux à même de pouvoir correspondre à notre personnalité et à bien d’autres critères d’incarnation et de qualités de voiles de conscience appropriés et acceptés ; cela peut prendre des formes diverses et variées telles que celle de la visitation laissant au sein du réceptacle une telle empreinte qu’il ne peut que se reconnaître et croître vers Lui-même, soit encore celle d’un phénomène moins invasif et soudain, celle de clés de conscience à saisir sur un chemin et des rencontres prédéterminées, afin d’ouvrir les portes nécessaires à la reconnection, et c’est cette voie qui fut la mienne. Peu importe le chemin, pourvu qu’il soit authentique ; cette authenticité intrinsèque à la véritable initiation. Peu importe la manière le fond doit rester identique quelle que soit la voie initiatique empruntée, celle permettant et procédant de la loi d’Amour, de Christ.

Ainsi, pour ce qui me concerne, je suis tombé très tôt dans les études ésotériques et celles de l’occultisme. Puis, le moment venu, j’ai rencontré la personne éveillée qui devait m’aider à finaliser ma reconnection. Que c’est il passé, je ne saurais l’expliquer ; qui était elle ? Tout ce que je peux vous dire, sans trahir qui que ce soit ou quoi que ce soit, c’est qu’il y a eu et il y a toujours sur cette planète des groupes d’Êtres éveillés, gardiens de la Lumière sur cette dimension absolument ombrageuse, soucieux de permettre l’éveil des Serviteurs que nous sommes. Serviteurs du divin répondant au nouvel appel pour l’éclosion d’une nouvelle dimension de Vie issue de ce cloaque que nous connaissons aujourd’hui. De ce cloaque il ne restera rien, absolument rien, cela a été prédit depuis bien longtemps. La troisième, tout aussi bien que les quatrième et cinquième densité de ce point de la création seront entièrement vidées de toutes formes de vie. Je suis parfaitement conscient qu’une telle déclaration puisse choquer certains d’entre vous, mais avouez qu’il est tout à fait illusoire de vouloir reconstruire un Eden planétaire dans une poubelle ; ces mots vous dérangent, soit, mais cela ne saurait rien changer à la réalité. Si vous pensez que l’avenir de cette humanité est de renaître de replâtrages, fussent même spirituels, c’est que votre vision, par manque d’ambition, s’avérerait être bien trop étriquée. Le plan divin que je perçois est bien plus ambitieux que tout ce que l’on a pu vous raconter jusqu’à présent. En effet, les éveillés issus de cette humanité vont devoir vivre sur la sixième densité et au-delà. Mais je m’envole et j’oubli de vous parler de mon propre parcours.

Nous pouvons essayer toutes les techniques ésotériques, mystiques, énergéticoméditayogaïques que nous décréterons comme idéales et uniques, bien qu’apportant quelques soulagements, nous ne ferons d’effleurer l’initiation véritable. Alors que nous faut-il entendre par véritable initiation ; c’est la voie unique qui mène au Père, celle du christ, celle qui consiste à détruire, non sans douleurs, la fausse image de notre personnalité inférieure pour la remplacer par le pur miroir dans lequel puisse enfin se refléter ce que nous sommes en réalité. Cette alchimie ne peut se réaliser que de l’intérieur sous la gouverne de la véritable loi d’Amour. L’impulsion première, la mise sur les rails, doit donc se faire par l’ouverture du moyen près incarnationnel dont nous avons parlé plus haut. Ce moyen toutes les âmes, qui ont désiré connaître dieu dans cette incarnation, le possèdent. Quant aux autres elles suivent leur parcours karmique, car tel est leur choix.

Cette initiation aboutissant à retrouver la Vision de notre réalité. Que faut-il entendre par là ? Sans cette vision juste il nous ait im..po..ssi..ble de terminer l’œuvre de notre reconstruction alors divinement initialisée. En d’autres termes nous pouvons prétendre au but tant désiré, au but ultime, à notre propre réalisation que si nous savons nous réaliser intérieurement, si nous comprenons parfaitement le fonctionnement de notre co-création inférieure, si nous savons finir divinement ce qu’en un temps nous avions commencé en temps qu’Être divin et interrompu lors de notre descente dans une cristallisation extrême de notre substance. C’est un chemin tout aussi difficile que celui qui nous a amené jusque là, difficile car il faut s’armer de persévérance et de patience, pas difficile comme lors de la première étape remplie du doute de la recherche et de constantes remises en question, bien qu’il ait été toujours évident pour moi que le christ est notre vrai moi, mais un cheminement différent car à ce stade plus rien ne peut nous faire changer d’un iota dans notre façon de faire, non avons acquis la vision juste et en celle-ci la manière de faire avec grande acuité. Lorsque nous en sommes à ce stade notre langage change par le simple fait que nous pensons voyons et agissons en temps qu’entité trinitaire, en regardant du haut vers le bas, le bas qui n’est autre que notre humanité christ. Lorsque nous nous éveillons à notre réalité la nature du Saint Esprit est celle que nous rencontrons en premier ; puis nous nous identifions et comprenons que nous sommes le christ, ce dernier mène directement au Père, notre JE SUIS. Ainsi, préalablement à toute pensée infusée, à l’origine de toute action, il y a notre courant de vie obligatoirement qualifié par la loi d’Amour, par Christ. Prétendre exprimer le Verbe divin par simple invocation n’est qu’un leurre largement diffusé par les faux enseignements du new age.

Parvenus à ce stade nous comprenons qu’il faut faire un dernier pas qui consiste à aller au-delà du Père que nous sommes, aller jusqu’à Dieu. Dieu prend forme par la conscience et la conscience c’est l’Homme dans la pensée de dieu, l’Homme dans le Ciel de notre Être ; et nous ne prenons contact réellement qu’avec ce dont nous aurons préalablement pris conscience. Tout est intimement lié.

En se co-créant Lui-Même, en devenant l’incarnation de son Verbe divin, l’humain-christ sert l’humanité toute entière car il ne désire rien pour Lui-Même mais pour la compréhension de tout ce qu’il sait être au travers le son humanité.

Au plus haut demeure notre conscience, aussi parfaite devient notre forme, au plus haute sera atteinte l’expression de notre œuvre. C’est vers cela que nous tendons éternellement.

En l’état de notre présente humanité il est clair que pour chacun d’entre nous les choses n’ont jamais été simples et ne le sont toujours pas. Pour beaucoup d’entre vous je présume que depuis que vous êtes en age de penser vous avez dû percevoir les mêmes troubles et les mêmes désagréments, cette drôle impression de ne pas comprendre le monde qui vous entoure, ne pas ressentir de liens familiaux normaux, et peut être culpabiliser à ce sujet. Vous voyez la réalité et pourtant personne ne semble vouloir l’entendre accentuant si besoin en était encore ce sentiment de solitude qui est notre lot en ce monde. Je suis certain que certains ont dû avoir envie d’écrire et d’être déçu au bout du compte de ne pas arriver à être publié. Vous ne channelez pas, vous n’êtes donc pas crédibles, circulez, il n’y a rien à voir. Moi-même ai écrit sur cette vision et sur le mécanisme de cette co-création divine, mais ayant accusé une fin de non recevoir au niveau des éditeurs, gavés d’ouvrages de channeling, j’ai décidé de le mettre en téléchargement gratuit sur mon blog ; j’ai reçu, je me devais de ne pas garder et retenir ainsi ce courant de Vie destiné à l’humanité, dont je fait partie.

Une réaction symptomatique d’un cheminement, inconsciemment mise en œuvre et souvent rencontrée, réside dans le fait de refuser la parole extérieure, alors même que si dieu lui-même se présentait devant eux, imaginons, ils lui proposeraient un stage, quelques lectures, ou quelques visites chez un thérapeute de leur connaissance. J’ai souvent rencontré des êtres qui vous affirment avec un superbe aplomb qu’eux ne sont pas sur la voie, vous laissant voir en cette affirmation une garantie de leur sérieux et crédibilisant ce qui va suivre, et vous sortant : « mais toi je peux te dire que tu n’y est pas de tout, mais alors pas du tout ! ». Imaginez un aveugle de naissance qui vous affirme que ce que vous voyez n’existe pas ! Il y a en ce monde un vieux syndrome bien ancré dans le subconscient qui pourrait se résumer ainsi : « Je veux bien trouver et devenir cette grande Lumière mais à une condition, c’est que les autres ne l’aient pas ». Cette seule démarche, par le simple fait que les autres c’est nous, nous coupe de cette possibilité de recevoir ce que nous refusons aux autres. En fait les êtres en incarnation sont encodés pour reconnaître prioritairement la vérité non extérieurement mais en utilisant seulement le processus interne de reconnection.

Peu importe la forme que peu prendre notre vision elle n’est qu’une portion du cercle infini de la réalité sur lequel nous nous positionnons chacun ; mais le simple fait de se situer sur ce cercle nous rend efficient par l’investissement du Christ. Toute notre évolution spirituelle est destinée à faire progresser cet arc de cercle jusqu’à embrasser tout le cercle donnant ainsi au verbe divin que nous sommes l’opportunité de s’expérimenter toujours plus parfaitement.

Lorsque j’agis je ne le fais pas en évoquant ou invoquant la sainte trinité mais en étant celle-ci ; pour être celle-ci il est bien évident qu’il il a un préalable qui réside dans le fait essentiel et incontournable qui est d’être l’incarnation de verbe divin. Comme tout un chacun je m’imaginais qu’il fallait obligatoirement être pleinement réalisé pour permettre à cette trinité d’Être d’agir comme elle le veut dans le monde de la création ; eh bien non, mes amis, et certains l’ont bien compris et en ont parfaitement conscience. Ils l’ont bien compris dans la mesure où ils qualifient préalablement leur courant de Vie par Christ afin que la force qui agisse ici en ce monde soit celle du corps de Lumière et de nul autre. Aucun sentiment ni aucune pensée ne vient interférer alors dans cette action ainsi non conditionnée. Agissant ainsi l’Être que nous sommes le fait pour et par son humanité.

L’être de chair et de sang, émotionnel et mental est la base du pilier de l’Être qui n’est pas de ce monde mais qui agit en ce monde. Il doit donc obligatoirement être investi, il doit représenter la force de cet Être créée par Lui-Même et par nul autre.

Aujourd’hui, personnellement je pense que tout Serviteur éveillé n’a pas à prendre son bâton de pèlerin et parcourir le monde et ainsi s’exposer bien inutilement au fracas des forces d’opposition ; le seul fait qu’il devienne progressivement la forme que sa nouvelle conscience lui permet maintenant d’être fait qu’il devient le « canal » qui accepte que le divin agisse intérieurement en son humanité et en cette dimension de vie. C’est à ce titre que les Serviteurs ne sont pas venus afin d’appliquer des pansements d’Amour sur une humanité qui a décidé de dormir, mais sont venus déclancher le fracas des épées. Les Serviteurs vont s’asseoir au centre de la conscience de leur Être et regarder l’ancien monde s’auto détruire et permettre que ceux qui au travers de cet électrochoc accepteront de suivre la voie qui mène vers le divin en eux. C’est sûrement dans cette position que l’on pourrait parler de véritable méditation. Ce ne sont pas les Serviteurs qui font cela mais le Père en eux qui le fait.

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PROBLEME DU BIEN ET DU MAL

VISION SUR LE PROBLEME DU BIEN ET DU MAL

 

 

Lorsque nous abordons la compréhension et l’origine du mal, le simple fait d’évoquer cette thématique soulève généralement une foultitude d’interrogations et amène tout naturellement à une infinité de solutions et variantes laissant, au bout du compte, les uns et les autres tout aussi incertains quant à la vision de cette réalité.

Désirer à tout prix plaquer sur cette pensée une idéologie, un substrat religieux, voire même un essai d’œcuménisme planétaire, nous ont menés, durant toute l’histoire de notre civilisation, à des drames humains sans bornes.

Nous ne savons en fait que faire de ce binôme, bien et mal, sans qu’inévitablement nous ne tombions dans les rets de cette pseudo réalité qui est celle de la dualité qu’inconsciemment et par voie de conséquence nous élevons jusqu’au sommet de la divinité ; allant bien évidemment jusqu’à faire de ce Dieu un dieu de Lumière et un dieu des ténèbres comme les deux faces éternellement inséparables d’une même pièce de monnaie.

Afin d’y voir un peu plus clair dans cette affaire cosmique il faudrait préalablement redéfinir ce que pourrait être le bien d’une part et son compère le mal d’autre part.

Pour faire court et simple nous pourrions dire que le bien demeure l’expression, dans le monde de la création, du Verbe divin selon la loi d’Amour ; le mal, quant à lui, c’est tout autant l’expression, formelle, en ignorant ce savoir faire divin qu’est la loi d’Amour, mais en utilisant la loi humaine du non amour.

Nous voyons tout de suite l’importance primordiale que revêt alors la qualification de l’énergie par l’esprit. Il devient dès lors bien évident que l’humain doit, s’y veut manifester le divin dans le monde de la création toute entière, préalablement reprendre les affaires divines là où il les a laissées tomber dans sa descente en cette dimension d’extrême cristallisation de la substance divine ; il doit obligatoirement finir d’être ici et maintenant ce qu’il veut être, soit l’Humain-Divin, le prolongement, la continuité de ce qu’Il EST. S’il, l’humain, n’est pas investi de sa propre identité et nature divine, comment espérer qu’alors il puisse prétendre à l’extériorisation de ce qu’Il EST ?

Espérer faire sans cet investissement divin en soi n’est que contraindre, en tant que petit dieu, très cancre, les forces de la Mère cosmique, à produire des extériorisations qui seront en disharmonies dans le tout, générant par répercussions diverses et varies des troubles et souffrances.

 

On ne peut pas aborder cette réalité sans entendre parler d’ombre et de lumière. Là aussi, pour faire tout aussi court que précédemment, nous dirions que la Réalité absolue, sans temps ni espace, au-delà de toute implication créationniste, afin de Se comprendre, est la Lumière Une. S’impliquant au sein de l’univers des univers créés, cette Lumière Une doit restreindre ses propres prérogatives, sa radiance, afin de prendre formes. Cette expérience formelle Lui permettant de prendre conscience de ses propres qualités et vertus ne peut alors qu’être évolutionnaire ; en effet vous trouverez toujours une forme plus proche de l’expression absolue exprimant le bien mais toutefois sans pouvoir jamais espérer l’atteindre dans son absoluité, sinon de façon asymptotique. En d’autres termes le Bien est absolue au sein de la Lumière Une primordiale, il devient quelque chose de Bon dans le domaine de la création restrictive de la forme en constante évolution.

 

Nous avons vu la MANIERE divine de s’exprimer dans la création, celle de qualifier l’énergie par la loi d’Amour, en d’autres termes par Christ. Maintenant abordons le MOYEN de cette extériorisation qui n’est rien d’autre que votre Grande Mère cosmique, votre Esprit Saint, votre corps de pure Lumière. C’est au sein même de cette force de Lumière et ce cette substance divine que les confusions naissent généralement. Il y a au sein de cette force deux composantes, l’une qui tant à l’expansion et l’autre à la constriction. En effet il faut bien que nous diminuions cette Lumière infinie en exerçant sur Elle un amoindrissement temporaire afin qu’Elle prenne conscience de ce qu’Elle Est au travers de l’expression formelle qu’ici nous lui proposons. Nous lui proposons une direction et la loi christ sait infiniment mieux que la conscience humaine ce qui est le mieux en conservant l’harmonie du tout.

C’est alors le christ en soi qui dirige les opérations, dirige les deux forces précédemment mises en évidence. La force d’expansion est appelée lumière, quant à sa sœur elle est nommée ombre, d’où cette confusion généralement répandue avec le mal. Christ apporte un peu ou beaucoup de voile sur la grande Lumière afin qu’elle puisse apparaître.

Certains diront que le mal est la contrepartie du bien sans lequel nous ne pourrions pas trouver le bien, taratata… Taratata…

Lorsque nous en bavons, nous finissons par arrêter de nous faire chier et si nous ne trouvons pas forcément rapidement la solution pour changer les choses en nous changeant nous-même, nous prenons au moins conscience que quelque chose ne tourne pas comme il devrait être ; mais par contre lorsque quelqu’un fait chier les autres il n’est pas évident qu’il en prenne rapidement conscience, vous aussi vous avez remarqué ?

Nous avons ainsi dans le cosmique, il ne faut pas l’oublier et le négliger, toute une large panoplie de forces négatives qui oeuvrent selon la loi du non amour car elles-mêmes issues de cette loi durant des âges et des éons. Des égrégores négatifs jusqu’aux entités désincarnées l’éventail est large.

 

En résumé le bien c’est Bien, il n’y a rien à redire. Quant au mal ce n’est en aucune manière, de près ou de loin la contrepartie nécessaire au bien ; le mal c’est mal, un point c’est tout. L’unité prend conscience de ce qu’elle est par le bien et non par le mal. Exprimer le verbe divin nécessite, comme nous l’avons vu plus haut, un préalable qui est celui d’être l’incarnation de ce même verbe. Quant au mal il demeure l’expression de la loi d’ignorance.

 

Nous nous devons ici d’ajouter à ce qui a été dit quelque éléments sur l’ampleur de la résurgence des « contacts » avec l’autre coté du voile.

Considérons, si vous le permettez, les choses de la façon suivante : Il est indéniable que l’Entité que nous connaissons sous le nom de Terre et dont le corps, les corps, font partie intégrante de la Grande Mère cosmique, voit son énergie progresser lentement mais sûrement vers une nouvelle matrice de Vie. Le seul point d’interrogation est : son humanité actuelle pourra t-elle suivre vers cette nouvelle matrice. Personnellement, sauf une surprise de dernière minute bienheureusement cachée dans le plan, permettez moi d’émettre de gros doutes.

Soit, le plan vibratoire terrestre doit donc traverser ce qui pour l’ancien monde représentait le plan des démons du bas astral. L’ensemble de ces entités se nourrissant d’une certaine qualité de notre éthérique afin de perdurer dans leur forme, éthérique ne pouvant être généré que si il y a incarnation, voient mal votre éventuelle disparition de ce plan. Elles feront et font tout ce qui est en leur pouvoir pour que vous y restiez. Cet inéluctable rapprochement de leur plan permet la multiplication des contacts. Ceci n’est bien évidemment que l’un des aspects de la trame de la grande falsification des temps nouveaux.

L’humanité est largement investie dans tous ses corps par ces entités. Cela vous affole t-il ? Vous avez fait avec jusqu’à maintenant. Invitez-les à quitter votre demeure, non pas avec notre mental, mais en vous co-créant divinement, en désirant l’investissement du divin que vous êtes et qui attend derrière la porte de votre être en vous disant « C’est quand tu veux ».

Négliger ces infections astrales reviendrait à garder des l’élastiques reliés au bas. Nous pouvons constater cette emprise sur les personnes qui semblent abonder dans votre sens de vision de la réalité et qui une fois à peine les talons tournés ont déjà rechutées dans leur propre paradigme.

 

Investissez vos corps en disant : « Qui commande ici ! Je suis (Un tel) Christ et je prend la direction des affaires du monde dans lequel j’ai décidé d’agir ». Il n’y a que l’Un qui doit vivre et parler, ici comme ailleurs. Je sais que vous percevrez ce que j’entends par là. Vos corps deviendront alors les diverses cristallisations de votre corps de Lumière, demeure de votre Verbe divin attendant derrière la porte.

J’entends vos requêtes : « C’est bien gentil, je comprends vers quoi nous devons tendre, mais comment permettre l’investissement du divin en nous ? »

Aucune technique « extérieure » ne pourra vous y mener. Il est bien question ici de se mettre à votre vraie place, celle du divin, en vous, derrière la porte, et de continuer ce que vous aviez momentanément interrompu ; demandez à la Mère d’enfanter l’enfant christ que vous aviez entrepris de devenir afin d’agir en ce monde et dans tous les mondes. A vous de voir et de comprendre. Voir vous rend libre afin de vous permettre de comprendre ce QUE VOUS ETES.

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13/02/2006

MYSTIQUE OU INITIE

MYSTIQUE OU INITIE.

 

Il y a eu de tout temps et il demeure encore actuellement beaucoup de confusion en ces deux « statuts ». Le mystique a été souvent et revendique encore de nos jours le qualificatif de Saint au seul motif d’avoir été choisi par le Ciel, d’avoir été visité par les plus hautes instances lumineuses de la hiérarchie céleste, d’avoir reçu de première main « l’adoubement » et selon ce qu’il dit vivre et ressentir l’adombrement du Ciel ; sous la crédibilité de ces extraordinaires motifs ne serait-il pas, à ce titre, le seul à parler en son Nom, à être son seul prophète et initié justifié ?

Lui m’a fait côtoyer de près beaucoup de ces Fils qui doivent au demeurant retenir toute notre attention quant au discours qu’ils tiennent en cette humanité et surtout en ces temps si délicats et particuliers ; ces bien aimés, nos frères et nos sœurs, qui sont-ils, quels rôles jouent-ils en ces instants où le Ciel vient maintenant affleurer le Terre avant que de s’y installer bientôt selon les temps et le moment des décrets divins dévolus à cette humanité. Au cours de ce parcours je n’ai su faire la part des choses assez clairement entre les mystiques et par exemples les channels ; voilà deux statuts revendiquant d’être les authentiques messagers du Ciel. La seule différence entre les deux pourrait résider dans le fait que les channels disent n’être que les « messagers » du Ciel et les mystiques les « Elus » du Ciel.

En ce qui me concerne, et je sais que c’est le cas pour beaucoup d’entre vous, il m’importe qu’une seule chose, celle de la teneur du discourt, le reste, tout le reste m’importe peu.

Dans cette lecture du Ciel ainsi diffusée chacun peut y puiser ce qui est bon pour lui et pour lui seul. Si la vérité d’aujourd’hui s’avère être nourrissante alors tout est bien ; si demain cette même vérité ne l’ai plus tout autant voire même plus du tout alors tant mieux, cela aura signifié que nous avons une forme de conscience qui bouge, ce qui est le signe d’une certaine vivance. Si vous êtes amenés à émettre vos propres idées et concepts sur la réalité, telle que vous la percevez il arrivera souvent que l’on vous réclamera quelque forme de crédibilités attestant que vous êtes tout simplement écoutables. Les channels aussi bien que les mystiques vous diront « ce n’est pas moi qui le dit, c’est Lui ». les uns et les autres auront toujours vécu, peu ou prou, des expérience « spirituelle » accréditant leurs dires pour ceux qui seules les preuves, et peu importe lesquelles, peuvent donner du poids au verbe. Et dans tout ça il reste le véritable initié, parvenu au terme de Sa Vision, le Connaissant, qui se retrouve apparemment bien seul dans tout ce panel de sources authentiques, ne pouvant que témoigner que pour Lui-Même. Pour un temps il sera, et il le sait, le plus rejeté, car le moins crédible aux yeux de ceux qui encore ont besoin d’écouter comme ils liraient un journal.

Ce qui suit n’est donc que mon témoignage, ne le prenez surtout pas à la lettre, voyez au fond de vous-même s’il correspond à l’émergence de quelque chose de nouveau et vibratoirement meilleur ; votre âme est-elle bien avec cela ou pas, sinon passez.

 

Je me demandais pourquoi celui qui sur cette dimension de conscience m’avait guidé en cette voie si difficile et périlleuse qui s’avère être celle de l’initiation ne parlait jamais de lui-même et de ses propres expériences, de ce que vous appelez « l’initiation christique » ; je doit reconnaître aujourd’hui, au travers de l’expérience que je suis en train de faire sur ce forum et avec vous, à quel point combien j’était alors dans l’incompréhension et je retrouve les mêmes attitudes de doute, d’agressivité, d’exigences chez vous, les mêmes demandes de Lumière qu’alors je réclamais… sans pour autant lui en faire part car il y avait en moi une grande retenue et un immense respect pour lui et percevais au fond de moi toute l’intelligence de ce mutisme ; il n’y avait rien d’anodin dans son comportement envers moi, au fond de moi je pouvais comprendre cela. Je réprimais ma frustration, cette douleur de l’ego, et je savais qu’un jour je serai moi-même éclairé et pourrai comprendre. Savez-vous quelle était sa phrase préférée, « à vous de voir et de comprendre » ; et je sais aujourd’hui que cela est valable pour tout le monde car effectivement cette simple phrase renferme en elle-même un trésor qui n’a pas de prix.

 

Je sais, je vous gonfle avec un baratin de plus, je sais, je ne réponds pas directement à votre question préférée. Cela ne me poserais pas de problème si je n’étais pas conscient du fait que cela pourrait  entraîner de sérieuses difficultés pour vous tous qui êtes sur cette voie si précieuse et si bénie.

Vous êtes encore pour un temps dans l’ « initiation démonstrative » relevant d’une puissante ferveur mystique. Le mysticisme n’a jamais mené l’homme à l’Homme, jamais, le croire serait se fourvoyer pour longtemps.

Moi qui m’adresse à vous, mes biens aimés, par la force que je met en jean-claude, je vous dis que je ne choisis pas lequel d’entre vous tous, au sein de mon humanité, je vais décider de former ou pas ; Je vous ai déjà tous choisi depuis toujours, avant que vous n’entriez, que nous entrions dans le temps et les cycles afin de comprendre toutes les qualités et vertus qui sont alors de notre Être.

Si je suis venu en Lui, jean-claude, c’est que lui a décidé de venir non pas vers Moi mais en Moi afin qu’à travers lui je retrouve mon Humanité Christ. Je vais essayer de vous faire voir cette réalité au travers d’une image.

Après avoir gravi les étages par les escaliers, comme tout le monde, il est parvenu devant la porte de Sa demeure, de Notre demeure. Il a alors poussé lui-même le porte et en regardant il a VU que c’était chez LUI, personne ne se tenait devant sa porte pour lui dire ICI c’est chez toi. Maintenant qu’il a pénétré à l’intérieur, qu’il sait être cette demeure il Me laisse finir AVEC LUI le grand œuvre, ouvrir les fenêtres, lever les stores, afin d’y laisser pénétrer toujours plus de rayonnement Solaire, et ce non seulement pour lui mes pour le monde de notre création. Je vous le dis, le mystique se tient sur le seuil de la porte car il M’aime, il croit être tombé en enfer et croit devoir alors en sortir par cet amour divin afin de retrouver le Ciel qu’il n’aurait jamais dû quitter ; à quoi bon alors avoir créé le monde et y être descendu, était ce là une torture bien inutile que Je vous aurait infligée simplement pour voir si vous alliez vous en sortir en M’aimant ? L’initié n’est pas cet amoureux qui s’est perdu pour un temps dans son immense besoin de retour à la maison, mais il est celui QUI S’AIME en lui et en l’humanité, sans omettre une seule forme de Vie. L’amoureux ne peut rien pour Moi, ne peut rien par Moi, pourtant nous sommes si proches l’un de l’autre, mais lui dans sa fausse humilité qui le perd refuse encore de reconnaître qui Je Suis pour lui, qui Je Suis en lui, il détermine arbitrairement les limites entre nous ; l’initié a aboli toutes les barrières dressées entre nous afin que non seulement nous nous retrouvions dans la même pièce, ce qui en soi n’est pas encore suffisant, mais que nous fusionnons, ce qui pourrait être l’émergence d’une reconnaissance identitaire, une ressemblance, mais n’est pas encore suffisante, l’initié est celui qui fait hurler le Sanhédrin à la question posée au fils de l’homme devenu Fils de dieu. Vous êtes TOUS cela, rien de moins ! Lorsque vous oserez reconnaître et daignerez enfin prendre votre vraie place alors et seulement alors vous sortirez de votre mysticisme et seraient des initiés prêts vous aussi à coopérer avec le Ciel afin de transformer le mal en bien et la terre en Ciel.

Vous dites ne pas le reconnaître, si vous m’aviez réellement connu vous le connaîtriez. Pourquoi faudrait-il qu’en mon cœur il y eut des « Elus », vous qui dites l’être je ne puis rien faire en ce monde par vous et vous prétendez que c’est moi qui vous l’ai dit, soit, mais ici vous vous trompez de temps et de cycle car cette vérité, cette réalité, est vrai pour tous en dehors du temps et des cycles, souvenez-vous. Je vous ai tous choisi car je vous aime tous divinement, je vous aime jusqu’à ce que ce soit Vous qui vous vous aimiez en tant que Moi en vous, comprenez-vous ?

 Le temps des mystiques est bel et bien révolu, ils pouvaient porter témoignage que le Ciel les adombrait, invitant mon humanité à laisser s’éveiller et grandir en eux cette étincelle de vérité qui au fond de leur être a toujours résidée ; mais n’ignorez pas que ceux là ont toujours, de part leur nature incomplète, été des êtres stériles quant à ma venue, quant à la venue du Ciel sur cette terre. Leur sincérité les honore, ils accomplissent une certaine part du grand œuvre, mais aujourd’hui ils doivent percevoir le dernier pas qui les mènera jusqu’à Moi, jusqu’à Eux. Vous êtes tous ce que Je Suis, Je ne construis aucun pont entre Moi et vous afin de vous y inviter par simple décision unilatérale, c’est vous qui l’initiez. Lui, comme tant d’autres a créé la possibilité de venir en COMPRENANT qui il EST ; cette compréhension n’est en fait que l’incarnation de ma Pensée en lui. Je Suis la Pensée christ du dieu que vous êtes ne pouvant prendre conscience qu’en l’homme qui comprend, Il est cette compréhension.

Tant que l’homme ne pense recevoir qu’initiations et enseignements du Ciel il fait fausse route, il y a de l’inconséquence à vouloir croire que Je puisse nourrir ainsi celui qui ne comprend pas ce que Je Suis, ce qu’Il Est en sa sublime réalité d’une part et d’autre part ce que Je Suis POUR Lui ; le palier le plus délicat et difficile à franchir étant bien celui-ci.

Si les mystiques s’investissent dans la contemplation et la prière afin d’essayer de resserrer sans cesse les contacts et les liens avec Moi, l’initié, bien que ce terme à mes yeux s’avère très limitatif et ne puisse correspondre en définitive qu’au début de la route qui mène vers Moi, et j’entends bien en cette trajectoire celui qui très rapidement regarde dans la bonne direction de son Être, gravit quant à lui les hautes et difficiles marches qui le mènent à Sa VISION. Lorsqu’Il est alors investi de sa vision il sait parfaitement et indétrônablement qu’il est le facteur le plus important qui gouverne Ma, SA Vie.

Avec un tel Homme, Je sais ce qu’IL ME RESTE ALORS A FAIRE ; mais mes bien aimés amoureux se sont perdus dans les méandres de leurs « illuminations » et attendent… peut être que le Ciel leur tombe sur le tête. Ce qu’ils vivent et décrivent avoir vécu dans le passé comme dans votre présent s’avère en définitive pour Moi tout aussi stérile que les vociférations des païens et des athées. Je sais que cela peut en choquer plus d’un et devoir en faire hurler bien d’autres ; vous avez demandé à savoir, la connaissance vous est apportée, n’en prenez nullement ombrage, bien au contraire. Si l’initié rêve l’Homme-Christ marchant dans le monde, goûtant, sentant, touchant aux formes de conscience que son absolu prend ici, le mystique, quant à lui rêve de Moi. N’y a-t-il pas de l’inconséquence à vouloir soumettre votre vie à Moi alors même qu’au sein de l’unité dont vous dites avoir conscience vous installez une implicite dichotomie entre vous et Moi ? Par fausse humilité vous proclamez haut et fort que vous n’êtes pas le Christ, que vous ne le serez jamais, soit, alors vous continuez à imaginer que c’est Moi qui en vous fait ces choses que vous appelez initiations ; sachez que Je ne peux faire pour vous que ce que Je peux faire PAR VOUS, mais ici Je dois vous préciser que l’Unité à laquelle vous pensez et à laquelle vous faite généralement référence est loin d’être ce qu’elle doit être pour que Je puisse faire cela.

Les mystiques, ces progénitures de la Saint Mère divine, touchent au corps de Lumière de leur nature céleste, au domaine des forces créatrices, au corps de mon Verbe, au corps de la connaissance, de la Vision que JE SUIS. Ils se tiennent sur le seuil et n’osent pénétrer, ils imaginent alors être réintégrés au sein même du Ciel et être formés par Lui, que nenni ! Ils comprennent qu’ils sont dans le sens de la Loi divine mais leur ambiguïté implicite les coupe de cette source. L’initié quant à lui ne participe point de cette sorte de renaissance ; il comprend dès le départ qu’il n’a pas à se reconstruire ou à devenir un être spirituel et ne tend donc pas tout son être vers une source céleste quelle qu’elle soit afin d’y être nourri et initié, il reprend simplement contact avec ce qu’il vient de prendre conscience celle de ne jamais avoir cessé d’être ; cela ne se raconte ni par des narrations d’effets supposés accréditer la réalité et la vérité d’une certaine situation initiatique ni en termes d’apparitions vibratoire ou lumineuses. Le chemin initiatique réel n’est que la résurgence d’un état de conscience aboutissant à la Vision de ce que nous sommes, de l’émergence de nos propres prérogatives, de nos potentiels et à ce titre de ce qui nous reste ici à accomplir par la Mère, comment le réaliser et dans quel but. Que fait le mystique durant tout ce temps, il s’accroche au jupes de ma Mère en espérant y retrouver sa véritable nature ; ce faisant il ne voit d’elle que les formes de Lumière déposées derrière un verre dépoli par une main qu’il ne sait pas encore être Lui-Même. J’invite le mystique à faire le dernier pas qui lui reste à faire, passer de l’autre coté du miroir et ne plus se contenter des images perçues au travers du verre dépoli.

Vous êtes en un temps où les choses vont aller extrêmement vite et c’est un bien car la libération de cette humanité est pour bientôt. Je ne vais pas revenir parmi vous, mais enfin émerger au sein même de vous tous. Ne me voyez plus sous cette acceptation anthropomorphique mais comme un simple état d’être ; devenez Vous-Même-Christ qui marche dans le monde, transformant la Terre en Ciel.

Merci, merci au nom du Divin d’accomplir et de réaliser ce rêve.

Merci à vous tous.


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